NDA : C'est parti ! Pour information, je rappelle que les personnages ont 18 ans.
Kyôko sortit de la salle de bain seulement vêtue d'un t-shirt large qui lui arrivait à mi-cuisses, les cheveux enroulés dans une serviette. Elle alluma la lumière de la cuisine et se prépara une tasse de thé. La maison était vide, ses parents étaient absents. Ils n'étaient presque jamais là en réalité, son père était un médecin réputé dans un des plus grands hôpitaux du centre-ville et sa mère travaillait pour une ONG qui venait en aide aux populations défavorisées. Elle passait son temps à l'étranger et voyait son mari et sa fille que trois ou quatre fois par an, ou entre deux avions, lorsque ses missions le lui permettaient. Kyôko vivait seule avec son père le reste de l'année, mais cela ne la gênait pas, elle aimait la liberté que lui octroyait cette existence.
Elle prit sa tasse et éteignit la lumière en quittant la cuisine. La sonnette de la porte d'entrée résonna alors qu'elle était à mi-hauteur des escaliers. Elle redescendit, posa sa tasse sur la console de l'entrée et retira la serviette de ses cheveux. Dehors il faisait nuit et elle ne distinguait pas le visiteur au travers des carreaux fumés de la porte. Elle enfila une paire de chaussures pour traverser le genkan (NDA : le genkan est la partie de l'entrée où les japonais laissent leurs chaussures) et elle alla ouvrir.
La silhouette de Shuji Hanma s'encadra dans l'ouverture.
– Alors comme ça prez', dit-il, tu hésiteras pas à sévir ?
Il ricana. Kyôko avança la main, elle saisit le devant de son t-shirt et elle l'attira à lui pour écraser ses lèvres sur les siennes. Elle le tira à l'intérieur et referma la porte d'un geste.
– Je vois qu'on est affamée ce soir, dit-il.
Il glissa les mains le long de son dos jusqu'à ses fesses et il la souleva avec facilité avant de la plaquer contre le mur. Kyôko enroula ses jambes autour des siennes et sa langue retourna jouer avec la sienne. Lorsqu'il descendit mordiller son cou, elle gémit.
– Tes vieux sont pas là ? Demanda-t-il.
– Il n'y a personne à part nous, répondit-elle.
– Cool.
Hanma la porta jusque dans le salon et il la laissa tomber sur le canapé. Il la regarda un instant avec un sourire, avant de s'accroupir entre ses cuisses.
– Tu ne veux pas aller prendre une douche avant ? Dit-elle.
– Seulement si tu viens avec moi.
– Je sors du bain, protesta-t-elle.
– Alors c'est mort. En plus j'ai une punition à t'administrer.
Elle haussa un sourcil interrogateur et il répondit :
– Tu m'as interrompu tout à l'heure. Il va falloir que je retrouve ces blaireaux pour les finir maintenant.
– Je vois.
Elle n'eut pas le temps d'en dire plus, Hanma glissa les doigts sous l'élastique de sa culotte et il la fit glisser le long de ses jambes.
Puis, sans attendre, il saisit sa cuisse, il la posa sur son épaule et sa langue alla agacer son clitoris.
Kyôto se cambra avec un cri sous l'effet des décharges électriques qui lui dévalèrent l'échine.
– Shuji... gémit-elle.
Il se redressa pour lui retirer son t-shirt.
– Jouis pour moi Kyô, dit-il, avant de se remettre en position entre ses jambes.
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La voie du crime [Hanma x OC x Bonten]
Fanfiction[Terminée] ➤ Prochainement sur Ao3 - Pouick_Pouick ━━━━⊱⋆⊰━━━━ " 𝗤𝗨𝗘 𝗟𝗘 𝗠𝗔𝗥𝗧𝗘𝗔𝗨 𝗗𝗨 𝗕𝗢𝗡𝗧𝗘𝗡 𝗦'𝗔𝗕𝗔𝗧𝗧𝗘 𝗦𝗨𝗥 𝗟𝗘𝗦 𝗧𝗥𝗔Î𝗧𝗥𝗘𝗦 !" 𝗛𝗮𝗿𝘂𝗰𝗵𝗶𝘆𝗼 𝗦𝗮𝗻𝘇𝘂 "𝗖𝗲 𝘁𝘆𝗽𝗲 𝗲𝘀𝘁 𝗳𝗼𝘂" 𝗦�...