Shuji passa dans son dos et il l'entoura de ses bras.
– Calme-toi, Kyô, dit-il. Je te connais, tu n'arrives à rien quand tu stresses.
Kyôko se laissa aller contre sa poitrine et elle s'efforça de respirer calmement.
– La situation n'est pas brillante, dit-elle. Parti comme c'est, on risque de se faire descendre d'ici peu sans avoir la moindre chance. En plus, je n'arrive pas à me sortir de la tête qu'il y a quelque chose que j'oublie.
Il se pencha vers elle et l'embrassa dans le cou.
– Je t'ai dit de te calmer, souffla-t-il.
Kyôko l'entendit à peine.
– Il y a sûrement un moyen de trouver qui a fait le coup, dit-elle. C'est impossible qu'il n'ait laissé aucune trace. Ou alors Koko ou Waka a menti. Peut-être les deux après tout ? Qui dit qu'ils ne sont pas de mèche...
Shuji la saisit par le menton, il souleva son visage et il l'embrassa, la coupant dans ses réflexions. Sa langue se fraya un passage dans sa bouche et s'empara de la sienne avec autorité, tandis que ses doigts parcouraient l'angle de sa mâchoire, glissant jusque dans son cou avant d'agripper sa nuque.
Lorsqu'il la relâcha, Kyôko avait le souffle court. Elle plongea son regard dans le sien.
– Je ne suis pas sûre que ce soit le bon moment, dit-elle en riant.
– Et moi je suis sûr que c'est le bon moment, répliqua-t-il sans la lâcher.
Son pouce alla caresser sa joue et il frôla sa bouche de ses lèvres.
– T'es tellement à cran, reprit-il, que tu arrives plus à réfléchir, pas vrai ?
Kyôko le regarda, elle hésita.
Shuji n'eut pas besoin de plus.
Ses lèvres retournèrent épouser les siennes et cette fois elle répondit à son baiser. Sa main alla chercher son cou et elle l'attira contre elle, pressant son corps contre le sien.
Elle avait beau éprouver du plaisir avec d'autres, c'était de son corps à lui dont elle n'arrivait pas à se rassasier.
Shuji glissa sa main le long de sa taille jusqu'à ses fesses qu'il l'agrippa.
La sensation de son érection contre son ventre lui fit courir des frissons sur la peau et, pendant une seconde, Kyôko oublia même pourquoi elle était tellement nerveuse une seconde plus tôt.
Sa langue caressa la sienne avec une ferveur nouvelle et elle sentit une chaleur se répandre entre ses cuisses.
Shuji la repoussa contre le mur, près de la baie vitrée et, sans cesser de l'embrasser, il détacha les boutons de son chemisier pour passer la main dans l'encolure. Il saisit un des ses seins qu'il se mit à pétrir au travers de son soutien-gorge.
Kyôko gémit et il écarta sa bouche de la sienne.
– Tu vois ? Dit-il avec un sourire. Je t'ai dit que ça te ferait du bien.
Kyôko le ramena contre elle et il retroussa sa jupe pour saisir une de ses fesses à pleine main. Puis, abandonnant son sein, il la souleva contre le mur et ramena ses jambes autour des siennes.
D'un geste il déboutonna son pantalon. Il sortit son membre de son boxer et écarta la ficelle de son string pour s'enfoncer en elle d'une poussée.
Kyôko cria de surprise, mais son cri fut vite remplacer par un gémissement de plaisir. Elle s'agrippa à lui et laissa sa tête retomber contre le mur tandis que Shuji la pilonnait méthodiquement.
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La voie du crime [Hanma x OC x Bonten]
Fanfiction[Terminée] ➤ Prochainement sur Ao3 - Pouick_Pouick ━━━━⊱⋆⊰━━━━ " 𝗤𝗨𝗘 𝗟𝗘 𝗠𝗔𝗥𝗧𝗘𝗔𝗨 𝗗𝗨 𝗕𝗢𝗡𝗧𝗘𝗡 𝗦'𝗔𝗕𝗔𝗧𝗧𝗘 𝗦𝗨𝗥 𝗟𝗘𝗦 𝗧𝗥𝗔Î𝗧𝗥𝗘𝗦 !" 𝗛𝗮𝗿𝘂𝗰𝗵𝗶𝘆𝗼 𝗦𝗮𝗻𝘇𝘂 "𝗖𝗲 𝘁𝘆𝗽𝗲 𝗲𝘀𝘁 𝗳𝗼𝘂" 𝗦�...