I Asher

10.5K 254 13
                                    

J'ai été envoyé dans un lycée pour gosse de riche il y'a deux semaines. Ces fils à maman et filles à papa sont juste insupportable surtout Azur Wilmer. Il se permet des réflexions, à une manière de parler aussi insupportable qu'insolente et constamment ce sourire provocateur qui me donne envie de lui faire l'es pire torture que je connaisse.

Je tape du poing sur sa table en lui lançant un regard noir qui semble faire son effet.

-Vous resterez à la fin des cours monsieur Wilmer!

Son naturel reviens au galop, il affiche son plus beau sourire.

-Mais bien sûr monsieur Millicci.

-Vus que votre très cher ami semble vouloir jouer la provocation une fois de plus, prenez une feuille, dis-je en me mettant face à la classe. Selon vous, que veux dire Voltaire quand il dit cette célèbre phrase, si Dieu n'existait pas il faudrait l'inventer, je m'exclame en écrivant la dite phrase au tableau. Bien évidement cet exercice est noté.

Un silence de mort s'abat sur la classe. Je ne suis guère plus vieux qu'eux. Je n'ai que vingt trois ans, je dois faire preuve d'autorité.

J'aime l'autorité, être sévère et sadique, surtout dans le sexe. D'ailleurs j'ai rêvé plusieurs fois de bâillonner Azur et lui fouetter le cul jusqu'à qu'il me supplie d'arrêter. Le faire taire en le faisant passer sous le bureau et l'étouffer avec ma queue. Je tapote mon crayon pour revenir à la réalité. Le bémol c'est que Azur et totalement mon types, enfin si il avait été majeur. Plus petit que moi, les muscle visible uniquement parce qu'il est fin, les cheveux coupés à la mode et frisée et des prunelles exceptionnelles. Des yeux vairons sublimes, l'un bleu foncé, l'autre vert claire.

La fin des court sonne, les élèves posent leur copie sur mon bureau avec leur visage dépité. Ça me fait rire. Azur se lève et se met face à mon bureau avec toujours cette aire totalement insolant. Merci pour moi, l'école fonctionne à l'ancienne, seulement l'es punition physique doivent être administrées en privé et non devant la classe.

-Tendez les doigts.

Il roule des yeux et ne bronche même pas quand la règles fouettes le bout de ses doigts, l'école m'autorise plus mais pour le moment je contrôle.

-C'est tout, rit il en regardant ses doigts.

C'est la provocation de trop, ça fais trois mois que je supporte s'en insolence en contrôlant mes plussions, cette fois si je craque. Je lui en colle une qui lui perdre l'équilibre un court instant. Il se rattrape à la table il pose la main sur sa joue en perdant enfin son aire de tête à claque.

-Monsieur vous n'avez pas le droit de...

-Si c'est dans la charte que vos parents on signer, j'ai même le droit de fessé si je veux alors estimez vous heureux jeune homme.

-Mais...

-Vous contestez? Vous voulez vous la prendre maintenant!

-Vous n'oseriez pas...

Je tire ses cheveux vers l'avant et m'assoie, je le fait basculer sur mes genoux et le fesse sans maîtriser ma force. Bien évidement les fessés doivent être faites sur les vêtements et non sur la peau. Mes pensées salaces et perverses reviennent à la charge. Je lui en donne une dizaine puis le balance au sol pour enlever ces envies. Il me regarde avec les larmes au yeux. Le gosse de seize ans se la ferme enfin.

-Chaque fois que vous ferrez n'importe quoi dans mon cours je punirais de la sorte. Est-ce bien claire?

-Oui...

-Oui qui, je grogne en levant là main.

-Oui monsieur, s'exclame t'il en reculant sur le sol de peur et en pleure.

Merde je suis peut-être aller trop loin.

Je le relève doucement et essuie ses larmes. Il baisse la tête honteux.

-File dépêche toi, je soupir en ouvrant la porte.

Il quitte la pièce. Je soupir et range mes affaires. Encore une soirée de folie a corriger des copies ou la plupart n'auront pas la moyenne

A.M & A.WOù les histoires vivent. Découvrez maintenant