XVII : Asher

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Je lui ordonne de sucer mon doigt avant de lui insérer d'un coup sec. Il est terrifié ça se vois dans ses yeux. Je ne bouge pas pour qu'il s'habitue à la sensation. Il pose sa tête dans mon cou, sa respiration se calme, je commence à bouger légèrement. Une larme tombe sur moi puis une deuxième et je perd rapidement le file. Je retire mon doigt au même moment où il commence à prononcer la première lettre du code. Je le garde contre moi, en réalité cet acte n'as pas duré plus de dix seconde mais pour lui ça semble avoir été bien plus long.

-Je suis désolé, sanglote t'il.

-Pourquoi, je demande perplexe.

-J'ai trop peur et j'ai eus une sensation bizarre et je...

-Hey calme toi. Ce n'est pas grave c'est particulier comme sensation surtout la première fois, j'essaye de me montrer le plus doux et calme possible pour qu'il reprenne ses esprits.

Pour ma part ma première fois c'est plutôt bien passé, même si il est rentré en forçant. J'avais pas mal mais le plaisir a radinent prit le dessus et m'a comblé. D'ailleurs...

-Ça te dis de jouer d'un autre manière?

Il relève ma tête en essayant ses larmes, je l'embrasse et le porte jusqu'à la salle de jeux. Il me regarde intrigué, je le suce pour faire revenir son érection. Je lui passe un anneau pénien pour retarder au maximum l'éjaculation et remonte à son oreille une fois qu'il est bien dur.

-Je suppose que je dois avoir vôtre permission pour jouir, dit il en voyant l'anneau.

-Je veux surtout que tu me prennes.

J'ai l'impression de lui offrir le plus cadeau du monde en disant ça. Ses yeux se remplissent de désir, il ne se fait pas prier pour me sauter dessus. Personnellement je préfère être assis au dessus de l'autre pour garder le contrôle du rythme et de la jouissance et surtout pouvoir toucher mon partenaire. Seulement j'ai envie aussi de lui faire plaisir, donc je vais le laisser me placer comme bon lui semble. Il m'embrasse et nous fait tombé sur le lit. Forcément je pense à me déshabiller car il semble oublier ce détail. Il joue légèrement avec mes tétons pour mon plus grand plaisir puis s'arrête d'un coup.

-Je peux faire ce que je veux?

-N'oublie simplement pas qu'après c'est moi qui reprend le contrôle.

Il souri et me mordille les tétons. Je gémis doucement. J'ai toujours un mal fou à être expressif au lit. Mon maximum c'est une vulgarité au moment de l'éjaculation, voir, cas vraiment exceptionnel, le prénom ou surnom affectif de la personne. Il lubrifier sa queue avec sa salive puis me retourne, il entre et va directement au plus profond. Ferme les yeux en réalisant qu'il est aussi bien membré que moi et que forcément ça pique un peu. Je ressert plus ou moins les draps en fonction de l'intensité de ses coups de rein. C'est dingue comme il va fort. Je gémis de nouveau et me cambre d'avantage, il me déboite sans scrupule. Je me branle en même temps, il arrive à accélérer encore. Il s'agrippe à mes hanche pour donner son maximum. En seulement quelque dizaines de minutes je me retrouve à souillé les draps avec ma semence, il se vide en moi et se retire. Je commence à me redresse mais il me pousse pour que je reste sur le lit.

-A quoi tu joues la, je demande amusé

-Je voudrais faire un dernier truc avant que vous ne partiez vous rincer.

On se met en cuillère, il entre facilement et recommence à me pilonner mais en me branlant cette fois ci. Je savoure ce moment même si n'avoir aucun contrôle n'est pas mon genre. Soit il a vraiment progresser en branlette d'un coup de baguette magique soit il se fait enfin confiance. Dans tout les cas ça me plaît énormément.

-Putain Azur.

Je me surprend à gémir ça à bout de souffle. Je bascule mon bras en arrière pour agripper ses cheveux puis agrippe son bras en le griffant par la même occasion. Il ralenti. Ce sale gosse ralenti! J'attrape son bassin sans comprendre ce qui se passe, il n'a pas fini, ne tremble pas et semble bien si je me fis à sa respiration.

-Pourquoi, je m'exclame en serrant sa peau d'avantage.

-Une vengeance personnelle.

-Je te préviens je ne te supplierai pas.

Il accélère de nouveau ses mouvement et embrasse le haut de mon dos en même temps. Le bras sur le quel me tête reposai bouge, il m'étrangle légèrement. Ça faisait très, mais vraiment très longtemps que je ne m'étais retrouvé en position de soumis, la dernière fois c'était à mes dix huit ans. Je grogne contre lui, d'autant plus qu'il fait en sorte que je n'atteigne pas la jouissance.

-Je veux l'entendre juste une fois, murmure t'il.

-J'ai plus de mentale que toi, je rétorque à bout de souffle.

La soumission dans un premier temps puis la domination m'ont appris à voir un contrôle constant sur mon éjaculation et à être frustré. Il m'étrangle d'avantage en accélérant, je commence à être en manque d'oxygène et c'est tellement plaisant. Plus aucun son ne peut sortir de ma bouche je sens que je suis sur le point de venir et forcément il s'arrête et relâche ma gorge. Je reprend mon souffle en collant correctement nos deux corps. Je pose ma main sur la sienne, il relâche légèrement ma queue en sentant mon contacte.

-Je ne me soumettrais pas, dis-je essoufflé.

-C'est n'est pas ce que je veux.

-Ne pas le faire jouir jusqu'à ce que je le demande c'est me soumettre.

-Ou simplement excitant pour l'autre sans pour autant considérer que vous vous soumettez.

Il reprend des vas et viens tendres aussi bien devant que derrière. Je mordille ma lèvre en réfléchissant à son point de vue. Ce genre de phrase est bien plus compliqué à dire que ce qu'elles en ont l'aire. J'avais déjà du mal à les dire en étant en position de soumission, alors maintenant...

-Je ne force pas quand quelque chose et trop dur à admettre, je gémis entre deux coup de rien.

-Je fais comme vous je vous laisse le choix. Soit vous garder votre ego, soit vous jouissez.

Le fait qu'il continu malgré tout de me vouvoyer m'indique qu'il était sincère, ce n'est pas pour me soumettre mais par plaisir. Je vais le faire mais à ma manière.

-Plus fort je murmure.

Il s'exécute aussi tôt.

-Fais comme avant, étrangle moi et défonce moi.

Il ne se fait pas prier. On en revient au même moment que tout à l'heure, je n'ai pratiquement plus d'aire et il faudrait qu'il soit à peine plus brutale pour me faire jouir.

-Encore, je peine à dire avec le peu d'aire qu'il me reste.

Je jouis, enfin. Il lâche mon corps aussi tôt et bascule sur le dos. Je me retourne pour lui parler et constate qu'il y a plus de sperme que ce que je pensais qui a couler sur les draps.

A.M & A.WOù les histoires vivent. Découvrez maintenant