Je le remercie à chaque coup de ceinture et savoure l'excitation qui monte en moi. Un court instant j'imagine que si quelqu'un rentre dans la maison, la première chose qu'il verra se sera moi, la tête collé à la table avec les mains attaché de part et d'autre aux pieds de cette dernière, le cul en l'aire, entrain de recevoir une sanction pour le moins plaisante. Ce fantasme m'excite deux fois plus. Les coup s'arrêtent. Un liquide brûlant me coule dessus, j'ai un sursaut de surprise puis un gémissement de douleur et de plaisir intense. Mes jambes tremblent je l'entend lâche un petit rire satisfait. Il me détache et donne un dernier coût sans mesurer sa force. Je me redresse instinctivement de souffrance, il me retourne et claque mon intimité. Je tombe genoux devant lui à cause du supplice. J'ai une larme qui m'échappe et peine vraiment à relever la tête malgré son ordre. Il n'y est vraiment pas aller de main morte. Il agrippe mes cheveux pour me forcer à obéir et entre jusqu'à ma gorge. Je m'étouffe plusieurs fois avant qu'il ne décide de s'enfoncer au plus profond et de maintenir la position jusqu'à ce que je manque d'aire. Il me pilonne, sa brutalité me fait littéralement baver, il se retire et me relève en maintenant le collier qu'il m'a passer au cou juste avant mon réveille. Le corps haletant, le souffle court, je me jette sur ses lèvres, il m'éloigne avec un sourire ravageur.
-Est ce que t'ai dit que tu pouvais m'embrasser et me toucher?
Je rougis en mordillant ma lèvre, c'est dingue que cette phrase me fasse un tel effet.
-Maître, est ce que je peux vous embrasser?
Je me prend une baffe en guise de réponse, je me me mets à genoux, relève la tête vers lui et supplie. Il me soulève et m'assoie sur la table en m'embrassant. Ça peux paraître insignifiant pour beaucoup mais pour moi les baisés sont tout aussi excitant que le reste. Il sépare nos lèvres pour mon plus grand malheur et attache un laisse au collier. Je le suit à quatre patte jusqu'à la cuisine il se prépare à manger en oubliant presque que je suis là. Je gémis plusieurs et l'appelle mais il m'ignore. J'entre dans la gueule du loup sans réfléchir et me met à lui embrasser la cuisse et remonte jusqu'à son bas ventre. Depuis que jais qu'il fait attention à ne pas finir en moi ni sur moi je le suce plus volontiers.
-T'as aussi faim que ça, rit il.
Je rougis de plus bel et m'applique à la tache. Il me bloque entre un meuble et lui, je joue avec ma langue tout en frottant mon piercing contre son gland. Il lâche un juron dans un soupir et souffle profondément pour garder le contrôle. Il me débloque et par s'assoir à table. Moi aussi j'ai faim pourtant je n'ai pas d'assiette. Il m'ordonne de reprendre la ou je me suis arrêter. J'obéis et le suce tout le long du repas.
-Stop et ne bouge pas.
J'attend jusqu'à ce qu'il me pose l'assiette qu'il n'a pas fini sur le sol. Il se rassoie après avoir posé l'assiette et s'être prit je ne sait quoi dans le frigo.
-Mange.
-Je n'ai pas couvert ni de...
-Tu es un esclave mon mignon, un moins que rien tu as simplement ce que tu mérites.
C'est violant mais je me prête au jeu. Je mange et m'assoie a ses pied une fois terminer. Il détache la laisse et me demande de ranger et lui préparer un café. Je m'exécute mais n'ose pas sortir dans le jardin vue que je suis totalement nue. Il me fait signe de venir en menaçant avec la ceinture. Je regarde autour de moi et enfile une de ses chemise qui me fait une tunique tellement elle trop grande pour moi. Je lui apporte son café, il me dévisage de bas en haut.
-Je ne t'ai pas dit de te rhabiller.
-Je ne veux pas sortir entièrement nue.
-A quatre patte.
Je m'exécute. Il pose sa tasse dans le creux de mon dos qu'il dénude en remontant ma chemise et sort une clope. L'envie de la clope me saisie mais ne me fait pas perdre mon érection pour autant. Je le regarde surpris, il l'allume et la laisse se consumer, il me cendre dessus et tir un latte exceptionnellement. Je suis humilié et j'admet que ça me plaît bien plus que ce que je pouvais imaginer. Sans quitter la fraise de la clope des yeux, j'imagine qu'il me brûle légèrement avec, voir beaucoup. Ma queue claque contre mon ventre à cette pensée. Il me regarde amusé.
-A quoi tu penses?
Sa voix sensuel me fait frissonner. Il me rend fou.
-Je...j'imaginer un truc.
-Arrête de trembler tu vas renverser le café brûlant sur ta peau déjà lacérée. Dit moi ce que tu imagines.
Il passe son doigt sur ma colonne pour accentuer mes tremblement.
-Vous entrain de me brûler avec la clope, j'admet en essayant de contrôler mon souffle.
-Tu es plus maso que ce que je pensais.
Il pose la clope urne demis secondes sur ma peau puis la retire. Je gémis en essayant de rester concentrer pour ne pas bouger et éviter de faire tomber la tasse.
-Je me demande si tu préfère que je te brûle ici, dit il en me brûlant sur bas du dos, ou là, demande t'il en brûlant mon cul.
-Les deux.
-Et si je te brûle là ça fait quoi, rit il.
La clope s'écrase entre mon anus et mes bijoux de famille, je hurle en bougeant et forcément me renverse le café brûlant dessus. Je gémis et me bouge dans tout les sens de douleur, il ricane et fait claque la ceinture sur mon cul avant de m'asperger au tuyau d'arrosage pour calmer tout ça. J'ai coeur bas à dix mille. Là où la plupart des gens n'y verrai que souffrance et maltraitance moi j'y trouve du plaisir. Forcément la douleur est plus intense que ce à quoi je m'attendais mais je bande toujours autant. Je tremble de froid mais me prosterne quand même devant lui, il me redresse et dévêtis totalement.
-Il n'y a personne ici mise à part moi, tu as bien vu qu'il n'y a pas d'autre maison mise à part la mienne, dit il calmement en voyant que je ne suis pas à l'aise.
-Oui.
-Alors pourquoi tu a l'aire gêné comme ça?
-Je sais pas le fait d'être dehors et nue ça me gêne.
Il ouvre un placard et sort une grande serviette qui me pose sur la tête. Il s'assoie et me fait signe de venir sur ses genoux. La serviette et tellement grande que je suis entièrement caché par elle quand je suis assis à califourchon sur lui. Il passe sa main sur mes bourse et joue un peu avec je me colle d'avantage à lui en laissant quelque soupir de plaisir sortir.
-Prend appuis sur tes genoux, souffle t'il.
Je me redresse, il titille mon anus avec son doigt sans me lâcher de regard. La peur m'envahi.
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A.M & A.W
RomanceLes sanctions physique étant autorisé dans l'établissement. Monsieur Asher Millicci ne se prive pas pour, un soir, sanctionner Azur Wilmer. Au lieu de provoquer un effet disciplinaire sur son élève il lui provoque une envie d'un tout autre type. Tou...