XXXI : Asher

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Mes élèves déposent leur devoir sur la table puis quittent la classe. N'ayant pas faim je profite de la pose déjeuner pour lire leur rédaction sur la vie en générale. Certaine me touchent particulièrement car elles parlent des violence subit dans le passé ou le présent. D'autre de la peur de l'avenir, parfois quelques une parlent de combat pour vivre et une m'inquiète particulièrement car elle parle ouvertement de suicide. Je la met de coté et demande via le téléphone à ce que cette élève soit envoyer dans ma salle pour en discuter avec elle. J'ai le temps de corriger une dizaine de copie avant de voir l'élève en question toquer à ma porte.

-Mademoiselle Saito, je vous en pris asseyez vous.

-Que ce passe t'il monsieur?

-Votre copie est pour le moins intrigante, est ce que tout vas bien?

-Oui, j'ai juste pensé à une chanson triste c'est pour ça que j'ai écrit ça, ment elle en ricanant.

-Mademoiselle Saito, vous parler de harcèlement d'autre élève envers vous car, je cite, vous ne faite pas une trente huit alors que vous avez les yeux bridés. Plus loin vous expliquez que la vie est bien faite car elle il suffit de prendre un mélange de médicament pour l'arrêter quand on en a marre de se battre. Heureusement que les chemise existent pour cacher les trace de douleur que la vie vous as obliger à vous faire pour sentir mieux. Je vous cites une dernière fois. « Heureusement j'ai trouver le moyens de partir sans souffriez et la vie ne sera qu'un lointain souvenir, je pourrais enfin quittez ce corps répugnant et oublier la souffrance que la vie m'a forcer a ressentir. ». Ce sont des mots bien précis pour une chanson vous ne trouvez pas?

-J'en peux plus...

Elle s'effondre en larme en m'expliquant que depuis trois ans elle subit du harcèlement à cause de son quarante quatre. Elle me parle du syndrome des ovaire poly kystique, qu'elle a tout essayer pour perdre du poids mais que rien n'y fait. Elle me parle également de chez elle, qu'elle a avouer à ses parents qu'elle a avorter il y a un an et que depuis ses géniteur lui dise que c'est bien fait pour elle qu'elle ai de syndrome car c'est une meurtrière. Je reste sans voix face à ses confessions aussi violente que dénigrante. Je lui tend la boîte de mouchoir et la laisse se confier. J'ignore si c'est l'envie de tuer ses parents ou de l'empathie à son égard mais je sens un noeud dans mon estomac. Elle fini par reprendre son souffle et s'excuse d'avoir craquer comme ça devant moi.

-En avez vous parlez a quelqu'un de l'établissement?

-Mise à par vous non, vous savez comment ils sont ici, ils prônent le parti conservateur...

-Avez vous report contact avec le planning familial pour parler de tout ça?

-Bah je ne suis plus enceinte donc ça sert à rien.

-Ils ont des psychologues et des médecins qui pourront vous aidez à traverser tout ça. La vie vaux la peine d'être vécus, vous êtes une jeune fille avec un potentiel exceptionnel ne le gâchez pas pour des abrutit. Je vais vous donner quelque numéro à appeler en cas de coup dure ou simplement si vous avez envie de discuter et d'être écouter.

Je lui note les numéros utiles puis me lève.

-Merci monsieur...

-Je vous préviens que je suis contraint de faire remonter votre harcèlement scolaire à mes supérieure, en espérant qu'ils prennent les bonnes décisions. En attendant n'hésiter à revenir dans ma classe pendant les pauses si besoins.

A défaut de ne pouvoir rien faire de plus je me dit que si elle a un endroit où se réfugier ça peu quand même l'aider un minimum.

-Merci monsieur.

-Ça ira mieux d'ici quelques temps promis, maintenant je vais vous demandez de venir avec moi dans le bureau du principale pour discuter de votre harcèlement.

-Oui d'accord.

On descend. Face au principale elle reste silencieuse, elle déjà fait preuve d'un grand courage d'écrire cette rédaction comme appelle à l'aide. J'explique la situation en gardant le silence sur son avortement et son syndrome, ne parlant que du harcèlement. Je rappelle au passage mes texte de lois punissant ça et la grossophobie puis demande des sanctions envers ces élèves. On discute des potentiels solution puis, sur ordre du directeur, je quitte la pièce. J'espère bien faire.

-Monsieur Millici?

Je me retourne vers Azur qui a son sourire provocateur légendaire.

-Un problème?

-Vous êtes occuper?

-Je remontais en salle de classe.

-Je peux vous accompagner j'ai dès question sur la philo?

-Oui.

Quelque élève nous regarde passer sans prêter tellement attention à nous, j'entre en classe avec lui et referme à clef derrière lui.

-Que ce passe t'il?

-J'avais envie d'un court approfondi.

-Seulement si tu fais le moindre bruit je toque d'avoir de sérieux ennuie.

Je m'assoie sur mon bureau et effleure ses lèvre sans jamais l'embrasser. Il agrippe mes hanches avec ses jambe et colle nos bassin. J'arque un sourire mais n'irai pas plus loin. Je ne veux pas perdre mon job. On s'autorise quelque baisé avec quelques caresses. Il glisse sa mains dans mon pantalon, je le repousse gentiment malgré mon érection qui commence à monter.

-Azur, ce n'est pas l'envie qui manque mais dans une demis heures les court reprennent.

-J'ai envie de le faire ici.

-Je ne veux pas finir en taule mon mignon, plutôt passe dans ma classe à la fin des courts, quand il n'y aura plus personne dans l'établissement.

-Je peux pas mes parents m'ont confisquer la voiture jusqu'à nouvel ordre, je dois rentrer en bus.

-Je te ramènerais.

-Ok.

Il mordille ma lèvre, nos mains s'entremêlent pendant un baisé plus ou moins long puis je le fait sortir de classe. Il souri de toute ses dents et semble heureux de ma proposition. J'aime le voir comme ça, complètement différent de l'image du sale gosse égoïste et égocentrique qu'il laisse paraître devant les gens.

A.M & A.WOù les histoires vivent. Découvrez maintenant