-Seigneur Azur, ce n'est pas compliqué, quand vous rédigez en philosophie, si vous citez les auteurs avec leur phrase vous avez déjà plus que cinq, j'explique en essayant de rester calme.
-Mais monsieur, je retiens pas toute les phrase du monde comment je fais pour savoir la quelle je doit mettre je ne suis pas devin!
J'inspire et expire profondément. Vue que j'ai oser mettre le doigt sur un problème de dys au lieux de dire que c'était un idiot, je me retrouve à devoir lui donner les cours de rattrapage tout les soirs. Je suis complément à bout. Moi le premier je suis multi dys, dyslexique, dyscalculie, dys pratique, je suis bien placer pour le comprendre, seulement il ne fait aucun effort.
-Azur, si vous ne donnez pas un petit peu de vous je ne peux rien faire. Vous irez au rattrapage d'été.
-Nah je veux pas.
-Alors travaillez un minimum, je m'exclame en tapant le poing.
-Pourquoi touts les profs vouvoie les élèves c'est bizarre quand même.
Je lui en colle une, c'est bon je craque. Tout les soirs depuis un mois je lui donne des cours et il ne progresse en rien.
-J'ai fais quoi encore.
-Vous êtes une cause perdu tout simplement.
Mes mots semble faire échos dans sa tête, il roule des yeux et croise les bras. C'est foutu pour les cours il est totalement fermé.
-Azur, pourquoi vous refusez de travailler vos faiblesses, je souffle en m'asseyant en face de lui.
-D'abord vous m'avez humiliez en me donnant une fessé, aujourd'hui vous m'en collez une en disant que je suis une cause perdu et maintenant vous faites mon psy? C'est quoi la prochaine étape? Me border puis me violer dans mon sommeille?
Je serais plutôt pour un acte consentie.
-Non, je ne vais pas te violer j'essaye simplement de comprendre sinon on va se voir toute les vacances d'été et je n'en aies vraiment pas envie.
C'est déjà assez dur de ne pas te plaquer au mur et goûter tes lèvres, ce n'est pas pour endurer ça deux mois de plus que prévu!
-Je suis simplement l'étiquette qu'on m'a collé.
Il soupir en posant les pieds sur la table. Je claque la règle sur son pantalon. Il se plains mais ne retire pas ses jambes pour autant. Son manque de discipline m'exaspère.
-Lève toi et penche toi.
Dans un mot il obéit, ce qui me surprend d'ailleurs. Je le fesse avec la règle. A la sixième il lâche un gémissement qui laisse penser à autre chose que de la douleur. Je m'arrête en pensant que c'est moi qui ai mal interprété puis recommence. Il gémis de nouveau, cette fois j'en suis sûr, c'est autre chose que de la douleur.
-Tu n'as pas honte de gémir à ça, dis-je en jouant sur ma voix.
Il baisse la tête, j'aperçois une larme glisser sur sa joue, je me redresse et essuie sa peau légèrement rose. Il n'ose pas me regarder dans les yeux, il se contante de fixer le sol en posant sa main sur la mienne.
-Répond à ma question, j'ordonne.
Je n'entend pas sa réponse, il parle trop faiblement. J'attrape sa nuque et la serre.
-Je n'ai pas entendu, dis-je sévèrement.
-Si, hurle t'il presque en relevant la tête. La première fois que vous m'avez humilié j'ai eus un sentiment bizarre que je ne suis pas sensé avoir et encore moins avec des hommes! Ça fais un mois que je vous provoque pour retrouver ça parce que j'ai bien remarquer vous aviez aimé aussi.
-Tu es au courant que ce n'est pas grave d'aimé ça.
-Vous êtes au courant que j'ai grandi en entendant depuis le plus jeune âge que le sexe sans procréer est aussi sale que d'être gay, réplique t'il en retrouvant son insolence.
-Je préféré te voir comme ça que comme la chose fragile que tu as été il y a une minutes.
Il arque un demis sourire puis me pousse.
-Je ne suis pas fragile!
-Tu viens vraiment de me pousser, en quel honneur?
-J'avais envie.
Je me rapproche et saisie sa gorge, vue son sourire j'ai la réaction qu'il attendait. J'effleure ses lèvres sans y goûter puis le balance contre le bureau. Je lui plaque la tête contre le bois massif avec une main et défait sa ceinture de l'autre. Je lui retire du pantalon et lui fait glisser se dernier sous les fesses.
-Ne bouge pas, j'ordonne.
Je vérifie que la porte soit bien fermée puis l'admît un court moment. Je vois son sous vêtement totalement déformé par la fermeté de sa virilité. Je fait claque doucement la ceinture sur sa peau ne sachant pas comment il va réagir.
-C'est tout ce dont vous êtes capable, souffle t'il hautin.
Je frappe sans modéré ma force, il crit de douleur et de plaisir en même temps que sa peaux s'ouvre et du sang s'écoule de sa plaît. Je continue en lui ordonnant de compter. Au fur et à mesure sa voix s'étrangle à cause de la douleur et il se cambre d'avantage de plaisir. Je suis entrain de franchir toute les limite que je m'étais imposé. Non seulement je risque mon poste mais également ma vie. Si il en parle à quiconque, je risque la prison ferme pour abus sur un mineur.
J'arrête de frapper, il reprend son souffle, moi aussi. Il se retourne, ses joues sont rouges et couvertes de trace de larmes. Il touche ses fesses pour constater qu'elles saignent plutôt bien puis pose sa tête contre mon épaule.
-Azur que fait...
-Vous allez trouver sa absurde mais j'ai envie d'un câlin.
Il est vrais que c'est assez éprouvant physiquement et mentalement de se faire fouetter le cul aussi violemment. Je pose ma main dans ses cheveux en lui remontant le pantalon.
-Azur, nous sommes d'accord que ce qui vient de se passé est exceptionnel et doit rester entre nous.
-Oui monsieur.
-Tu peux quittez la classe, je souffle en reculant d'un pas.
Il sort, je m'empresse de ranger mes affaire et monte dans ma voiture. Je conduit à vive allure jusqu'à ma maison. Je laisse mes affaire dans l'entrée et me sert un verre. Je dois impérativement éviter d'être seul avec Azur. J'envoie un message à une collègue qui me dois une faveur pour lui demander le de remplacer.
Seigneur mais qu'est ce que j'ai fais.
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A.M & A.W
RomanceLes sanctions physique étant autorisé dans l'établissement. Monsieur Asher Millicci ne se prive pas pour, un soir, sanctionner Azur Wilmer. Au lieu de provoquer un effet disciplinaire sur son élève il lui provoque une envie d'un tout autre type. Tou...