A.M & A.W

22 : Azur

Je le vois me mater et m'applique pour être plus sensuel que d'habitude. Ma thérapeute m'a dit que je devais prendre mon temps, assumez qui je suis et me battre pour obtenir ce que je veux. J'ouvre la porte en peu plus grand et lui prend la main. Je doit abuser de mes charmes pour l'avoir. Je coupe la caméra et sur le ton de la plaisanterie lui demande de me laisser lui apprendre une danse. Il vérifie que la caméra et bien coupe puis accepte. Je me place devant lui, mes fesses coller à son bassin et lui apprend la danse sexy à deux sur le remix de gentleman de psy. Son déhanché et tout aussi bien que le miens. Étrangement se moment sensuel se transforme, pour je ne sais quelle raison en fou rire. Je pense que ça doit être à cause de la tension qui règne. Il se moque gentiment en me disant que si j'étais aussi douer pour les cours que la danse je serai déjà diplômé d'Harvard. Je le pousse sur le lit et m'assoit sur bassin en faisant la moue.

-Si vous étiez aussi bon prof que dominant vous pourriez enseignez à Harvard, malheureusement vous comme moi on en est là, je ris.

-T'es un sale gosse, rit il.

-Hey moi au moins au reste fidèle à moi même, chiant, capricieux, égocentrique.

-T'as oublié insolant et casse pieds.

-Moi insolant, je m'exclame en rigolant d'avantage. J'ai même pas été exclue de cours depuis mon retour.

-Et tu veux un médaille?

-Non, je veux ma récompense pas une médaille.

Je bascule pour mettre mes lèvres à quelque centimètre des siennes.

-Oh non Azur, si on repart comme ça je vais encore te faire te faire du mal, dit il sérieusement.

-Je veux avoir mal, je murmure à son oreille.

-Putain arrête ça, souffle t'il en essayant de garder le contrôle.

-J'ai envie de retrouver mon maître.

Mes murmures s'écrase contre sa peau, je caresse son érection à travers son pantalon tout en continuant de susurrer mes envie à son oreille.

-J'ai envie de vous, que vous me sanctionner en me fouettant à sang, de trembler entre vos mains. Je veux ressentir la douleur et le plaisir à travers vos tortures.

-Quoi d'autre.

Sa voix suave me fait frissonner, je frotte mon érection contre la sienne.

-Que vous m'attachez sur la croix de saint André et me fouetter avec le fouet à crochets. Me faire lâcher en laisse et sucer jusqu'à étouffement puis me baiser.

J'embrasse et mordille son cou en continuant de frotter nos intimités. Il agrippe mes cheveux et tire ma tête en arrière.

-Mets toi nue, crache t'il en me poussant en arrière.

Je m'exécute. Il m'attache sur la croix et sort le fouet, sans aucune retenue il le fait claque sur ma peau. Je gémis de plaisir en me cambrant d'avantage. Putain ça m'avais manqué. Je compte à voix haute et le remercie a chaque coup. Il me détache sans me prévenir, je tombe sur le sol et me met à genoux face à lui. Je fait mine de la prendre en bouche mais il recule son bassin.

-Pourquoi...

-Demande la, dit-il amusé.

Je souri timidement en rougissant.

-Maître, je peux vous sucez s'il vous plaît.

Il s'enfonce dans ma gorge. Il fait en sorte que je bave beaucoup puis se retire et et étale la bave sur mon visage avec sa queue. Il me tire par les cheveux, à quatre patte je marche jusqu'au lit. Il tire des liens et m'y attache les mains, mon trou et pile à hauteur de sa queue.

-Tu es clean?

-Oui pour...

Un petit cris de douleur et surprise me coupe dans ma phrase. Il est est entré sans capotes ni lubrifiant. Ça brûle mais ça fait moins mal que ce à quoi je m'attendais.

-Ça va, demande t'il en passant mes jambes sur ses épaules et en se penchant sur moi pour embrasser ma peau.

-Oui, je gémis.

Il commence doucement ses vas et viens pour m'habituer à la sensation. Je gémis en agrippant les liens. Il accélère soudainement, je ne contiens pas mes bruit de plaisir et douleur. J'ai a peine le temps de reprendre de l'aire entre deux cris. Il ralentis, accélère, se retire, rentre d'un coup sec, il me rend totalement fou. Je gigote dans tout mes sens en suppliant pour qu'il me termine mais il n'en fait rien et continue son jeu. Il introduit un tire à urètre et reprend brutalement ses vas et viens. Il tiens la tige, ses coup violant suffise que cette dernière fasse des va et viens sans qu'il ai besoins de bouger la main. Je hurle de plaisir en sentent que je vais jouir dans peu de temps. Il mord mon cou, mon oreille, me défonce le cul et l'urètre. Je jouis dans un vacarme assourdissant. Le corps haletant, la respiration saccadée, je plonge mon yeux dans les siens. Son regard et son sourire pervers m'indique que ce n'est pas fini. Il se redresse et attrape mes jambes, il me retourne sur sa queue enfile un gant qu'il avait à portée de main avec des petits pique et reprend de plus bel ses vas et viens. Entre la tige à urètre, le fait qu'il me branle avec le gant à pique et qu'il me pilonne, je ne tarde pas à urètre l'orgasme pour la deuxième fois. Il se retire, enlève la tige et le gant et enfonce trois doigt directement. Il me dit des saloperie qui m'excite d'avantage, comme le fait que j'ai le cul aussi ouvert que celui d'une pute. Je ne pensais pas que j'aimerai entendre ça. J'entends qu'il met du lubrifiant et enfonce d'avantage de doigt. Je continue d'exprimer mon plaisir en me cambrant d'avantage. Il me fist, je hurle. Il s'amuse à enlever et remettre son poing plusieurs fois puis claque mon cul avant de s'y introduire de nouveau, il fini en moi et se retire.

-Tu as interdiction de bouger.

Je sens le sperme couler de mon cul ouvert. Il va prendre sa douche et reviens quelque minutes plus tard.

-Tu sais que t'es mignon dans cette position. Elle défini parfaitement ce que tu es, une salope salie de sperme, vide couilles prêt à recevoir.

Je rougis de plus bel en mordant ma lèvre. Il me branle rapidement pour que je reste en érection puis se stoppe quand il entend que je prend du plaisir. Il me bande les yeux et embrasse mon dos.

-Tu vas tellement subir que tu sera incapable de t'asseoir du week-end.

-Merci maître.