XXXIX : Asher

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Il arrive à gémir avec le baillons et se cambre en même temps. Je fait couler la cire jusqu'à ses plaies ou là il s'agite un peu. Je le retourne et recommence un chemin de son coup à sa queue tendu. Il serre les draps avec mouvement de bassin qui m'indique qu'il prend son pied. Avant de lui verser sur le gland je prend une tige à urètre et lui enfonce. La cire brûlante plus la tige lui font révulser légèrement les yeux. Je lui attache mes jambe au deux cordes qui pende au dessus du lit puis continue de verser le liquide. Il lui tombe ses bourse et coule jusqu'à son entrée. J'enfonce directement une bougie allumer dans son cul et fait des vas et viens avec la tige à urètre. Il ressert les draps et cherche à humer son son plaisir. Je retire le cierge qui a légèrement fondu dans sont anus et lui détache les jambes. J'attrape sa gorge et le guide jusqu'à la table de pliable dans la douche. Il me regarde intrigué pendant que je l'attache au quatre coin sur la table. J'embrasse son fond et lui enfonce le petit pommeaux de douche spécial lavement. Il secoue la tête, je sais que c'est désagréable au début, je règle un peu mieux l'eau et le laisse comme ça. Si il est un minimum intelligent il va bien se rendre compte que le bâillon n'est pas assez serrer et que si il ferme brutalement la bouche il saute. Je regarde la cage à côté du lit, j'aimerai me faire dormir dedans.

-Maître je vous en supplie arrêtez ça!

A il a enfin compris. Je coupe l'eau me fêle bien et lui retire, je le détache, embrasse son front puis lui ordonne de nettoyer la douche. Elle est spécialement étudier pour les golden shower et les lavement donc ça par vite et bien si on nettoyé tout de suite.

Il reviens tout propre, il a certainement pris une douche après avoir laver.

-Pourquoi vous avez une cage?

-Ça semble assez évident.

Je m'assoie et le prend sur mes genoux. Après quelque baisé je lui tend le paquet.

-Ouvre le.

Il déchiquette mon jolie emballage et ouvre la boîte rectangulaire en fichant un sourire.

-Il est magnifique, mais pourquoi ce collier?

-Parce que tout bon soumis se doit d'avoir un collier.

Il touche le cuire en se mordillant la lèvre puis le regarde. Il est assez en soit, une bande de cuire avec un anneau pendant pour y attacher une laisse, j'ai simplement fait graver un A en calligraphie a l'intérieure. Je lui passe autour de cou et le sert légèrement. Il souri de plus bel et m'embrasse en me remerciant. Je le fait descendre pour qu'il me suce et passe mes main des ses cheveux en lui donnant le rythme. Je me tend pour prendre un crockring et le garde dans la main pour le mettre à température du corps. Je le fait arrêter et l'allonge sur le lit. Le gros problème avec lui dans se genre de cas c'est qu'il est en érection au moindre contacte. Son érection redescend, je lui passe l'anneau puis m'amuse avec ses zones érogènes. Son érection repart de plus belle.

Après une séance de fouet sur diverse parti de son corps je l'attache en levrette, les mains au niveau de son érection, la tête contre le lit. le cul en l'aire et le baillons de nouveau en bouche. J'entre en lui facilement et m'assume à varier le rythme. Je l'autorise enfin à se branler en même temps que j'accélère. Grâce à l'anneau son éjaculation est retardé ce qui me permet de finir en même temps que lui. Il tremble après avoir eus l'orgasme, je me retire doucement pour l'entendre gémir faiblement, je le détache et enlève l'anneau, un petit bruit de plaisir lui échappe. Je m'allonge à côté de lui en le câlinant. Je commence à fatigué. Mine de rien j'ai rouler de seize heures à vingt deux sans pose et la baise m'a achevé

Je suis réveiller par une sensation plus que agréable. Je sens son piercing frotter contre mon gland. Je ressers ses cheveux et souri de bien-être. Il s'étouffe sur ma queue, bave bien dessus et caresse en même temps mon entrée bien fermée. Même si je ne jouis pas j'apprécie grandement ce réveil. Il fini par s'arrêter à cause d'un douleur à la mâchoire et remonte à mes lèvres.

-Bonjour, dit-il timide après m'avoir embrassé.

-Bonjour mon mignon. Tu as bien dormi?

-Très bien et vous?

-Oh oui, viens par la.

Je tire sur son collier pour coller de nouveau nos lèvres. Il souri en laissant ma langue trouver la sienne. La sonnette retentis. Je me lève en lui ordonnant de ne pas bouger puis descend. Je met simplement une serviette autour de ma taille et ouvre.

-Akio, Samuel, ça fait plaisir de vous voir, je m'exclame en souriant.

-Nous aussi, Sam m'a dit qu'il avait vue ta voiture hier soir passer, donc on a décider d'apporter le petit déjeuné. Tu es avec quelqu'un, demande Akio en voyant les deux paires de chaussures dans l'entrée.

-Oui c'est sa première fois ici. Azur descend prendre le petit dej, je cris en installant les deux homme dans le salon.

-Ça faisait longtemps qu'on ne t'avais vue ici.

-Ouais, les dernier mois on été compliqué. Et vous alors toujours ensemble ça fait combien de temps maintenant?

-Ça va faire six ans.

-Je sais pas comment tu fais pour qu'une relation dure si longtemps.

-C'est l'amour que veux tu. Puis comment résister à corps magnifique et cette âme aussi belle, dit amoureusement Akio en caressant le visage de son soumis.

-Et le mariage c'est pour quand, je ris.

-J'aimerai bien mais Sam ne veux pas, il risque la prison dans son pays natal pour relation contre nature. Et vue qu'il tient à aller voir sa famille tout les ans je peux comprendre.

-Et toi tu l'as déjà emmener au Japon?

-Oui, nous somme déjà aller voir ma grand mère trois fois. Heureusement qu'elle est ouverte d'esprit.

-Tu m'étonnes. Par contre pour Azur, je te demanderais d'être indulgent, il est encore en découverte et peux rapidement prendre peur ou s'offenser pour certaines choses qui pour nous sont normales.

-Ah tu y va fort toi, il débute et tu l'emmène déjà au jardin des plaisirs, le pauvre il ne vas rien comprendre à sa vie.

-Il voulait venir quand je lui ai parler d'ici donc je me suis dis pourquoi pas. Mais j'attends déjà de voir sa tête quand il va voir que Sam est entrain de te sucer pendant notre café.

-Il ne fait ça?

-J'ai jamais testé en publique avec lui. En privé si il le fait.

A.M & A.WOù les histoires vivent. Découvrez maintenant