A.M & A.W

4 Azur

-Non mais sérieux Az, en un mois t'as montée ta moyennes de quatre points, je suis fière de toi mon chéri.

-Ça va ma belle on ne vas en faire une journée nationale on plus.

Elle roule son joint et l'allume, je démarre et roule jusqu'à chez Mike. Je me gare devant sa villa, on entre comme si on était chez nous. Musique a fond, joint, alcool, que demander de plus. On parle chacun notre tours de nos vie.

-Au faite Az, t'es pas sensé avoir des court le soir toi? Pourquoi t'y es pas?

-Mike sérieux t'es pas mon père. Passe la bouteille plutôt.

En réalité je n'y vais pas car ma nouvelle prof de soutiens me saoul au plus au point. Je ne veux pas d'un prof autre que monsieur Millicci. Il est dans toute mes pensées, ça tourne à l'obsession. Plusieurs fois je me surprend à bander en repensant au dernier cours de soutiens qu'il m'a donné. Je pensais qu'il n'allait jamais craqué, pourtant j'avais tout fait pour le plus agaçant possible. D'ailleurs ça me fais pensée que demain j'ai deux heures d'affilée avec lui, je pense que je vais réussir à le faire craquer de nouveau pour qu'il me convoque après les cours.

Je bois en essayant de comprendre pourquoi il me fait cette effet là. Je ne pense pas être gay, j'ai toujours été attiré par les femmes et leurs courbes généreuses. Surtout que Mila me fait de l'effet à chaque fois avec ses lingeries aussi sexy que raffinées. Je fume, bois, fume, bois, et recommence le cycle jusqu'à ce que je tombe dans le brouillard complet.

Le réveil à six heures du matin me fait mal au crâne. J'avale un médicaments et prends une douche. Mike me prête un uniforme et des sous vêtements propres puis me voilà entrain de conduire jusqu'au lycée. Je ne me gêne pas pour dormir en cours, je veux être en forme pour les deux heure avec monsieur Millicci. Sans surprise je me prends plusieurs coût de réglé de la part des profs pour me réveiller.

Je mange un bout et fume une clope avant d'aller à mon court avec monsieur Millicci. Je prend place en salle et commence à faire mon numéro de petit con. A ma plus grande surprise il prend sur lui et se contante de m'ignorer tout simplement. J'essaie tant bien que mal d'avoir son attention sans succès, je ne peux pas en faire trop non plus sinon je fini chez le principale. Je fais une boule de papier et profite que tout le monde aient leur tête rivée sur le contrôle surprise pour l'envoyer sur le bureau du prof qui est plongé dans sa lecture. Il relève la tête sur la boule puis pose son regard noir sur moi. Je fait style de rien en tournant la tête vers la fenêtre et en l'observant du coin de l'œil.

-Monsieur Wilmer, ramenez votre copie à mon bureau!

-J'ai pas fini.

-Si vous avez le temps de vous amuser c'est que vous avez terminé, votre copie, maintenant!

-Non j'ai pas fini!

Il se lève et  pose ses mains sur mon bureau, j'affiche mon plus beau sourire provocant et pose la main sur ma copie.

-Vous aurez un zéro et vous resterez à la fin des cours, ordonne t'il d'une voix autoritaire.

Je lâche ma copie, il commence a faire mine de la barrer pour la rendre nulle mais s'arrête sur mes réponse que j'ai complété. Il la prend et la lit en s'asseyant à son bureau. Je fais des avions en papier et m'amuse à les faire voler pour passer le temps.

-Monsieur Wilmer vous allez finir dans le bureau du principale si vous continuez comme ça!

-Je m'ennuis monsieur.

-Alors pour une fois faites fonctionner vos neurones et lisez vos cours.

La sonnerie sonne enfin, tout les élèves quittent la classe, le prof ferme la porte et soupir.

-Pourquoi vous n'allez plus à vos cours de soutiens?

-Pourquoi ce n'est plus vous qui me les donne?

Il inspire en s'ayant et m'invite à faire de même.

-J'ai franchis une limite avec vous, c'est pour ça que j'ai demander à une professeure de me remplacer.

-Et mon avis à moi?

-Je n'ai pas à avoir ce comportement avec un élève, surtout quand ce dernier est mineur.

-J'étais consentant.

-Je sais, seulement vous êtes mineur.

Bon je vais devoir être plus persuasif mais je ne sais absolument pas comment faire.

-J'ai envie de...

-Stoppe.

-Mais...

-On ne peut pas faire ça à l'école.

Je comprend rapidement où il veux en venir. Nos regard se croisent et ne se lâchent plus. Je souri et quitte la salle fier de l'idée qui me traverse l'esprit.

Même si ça me gêne de l'admettre ce prof me plaît beaucoup, j'ai envie de lui et je ferrai tout pour l'avoir. Je sais que cette attirance est partagée, je vois bien qu'il me relooke à chaque fois, et son regard quand je me suis soumis à lui...je le veux.