38 : Azur

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Je me réveille après plusieurs heures de routes. Il est vingt deux heures, la dernière fois que j'ai vue l'heure il était dix huit heures. Je regarde Asher qui qui sort de la voiture et se présente au poste de garde. Le portail s'ouvre, Asher remonte et pose sa main sur ma cuisse.

-On est arrivé.

-Je vois ça, je marmonne en me réveillant.

Il s'arrête de nouveau, à l'accueille cette fois ci, sert une femme dans ses bras et récupère une clef. J'observe les alentours, tout est très bien éclairer. Je vois diverse petits chalets et des gens. Je réalise que certain sont nue, d'autre baise et que ce que je prenais pour des gros chiens sont en faite des humains. J'ignore dans quoi je me suis encore embarqué mais je trouve ça drôle et ça titille ma curiosité. Asher remonte, je continue d'observer les gens qui font leur délire pendant que le dominant roule au pas.

Notre chalet est parfaitement bien situer, pas trop loins des diverse structure mais voler au autres chalet, de plus il me semble un peu plus grand. On sort de la voiture, sac à la main, Asher ouvre la porte en souriant. J'entre dans l'endroit qui ressemble à une salle de jeux version maison. Même les chaises sont étudié pour que celui qui si assoit soit maintenue. Je ne parle même par des cordes, des jeux de suspensions, des diverses attaches et j'en passe.

-Ça va, demande mon prof en refermant derrière lui.

-Oui j'ai juste étais surpris par tout ça.

-La chambre et la salle de bain sont en haut.

Je le suis, en effet l'étage est divisé en deux. Les deux tiers pour la salle de jeux avec un lit, l'autre tiers pour une salle de jeu versions salle de bain. Je pose mes affaire au pied du lit et m'assoir sur les draps en soie.

-Et tout ça c'est pour nous?

-Oui, c'est mon chalet.

-Tu le loue à l'année?

-Oui, normalement j'y viens plus souvent. Si on te pose la question tu as dix huit ans.

-Oui. Je suppose qu'à partir de maintenant je reprend le vouvoiement.

-En extérieure oui, à l'intérieure si on ne joue pas tu n'es pas obliger.

-Dis, ici c'est normale de voir des Mec se faire balader comme des chiens et faire leur besoins dehors.

-Il y a une zone exprès oui. Comme je t'ai dit en début de semaine, ici les seules limite qu'il y a se sont celles que tu t'imposes. Le jacuzzi est à trente cinq, ça te dit qu'on y fasse un tour?

-Oui.

Je découvre stupéfait le jardin parfaitement bien entretenue, jacuzzi privé, pilori, poteaux avec attaches. On se met nue et glissons dans l'eau brulante, dehors il ne fait qu'une dizaine de degrés, ça va être dure de ressortir. Asher active les bulles pour un maximum de détente, je me colle à lui et profite du moment. On s'échange quelque baisé puis il commence a m'expliquer les différentes zones, l'es diverse activité.

-Demain d'ailleurs il y a un dominant qui va se soumettre à un autre il y a son rite de soumissions si tu veux aller voir.

-Parce que un dominant peux devenir soumis ici?

-Oui, soit à cause de paris, soit simplement parce qu'il en a envie. La en l'occurrence c'est un pari qu'il a perdu et comme promis il va se soumettre.

-Comment t'es au courants alors qu'on viens d'arrivé?

-Fior m'a prévenu quand j'ai récupéré mes clefs. Fait moi penser à te mettre le bracelet après.

-Pourquoi?

-Ici pour savoir si un soumis est libre, libertin, ou pris il y a un code couleur. Je t'ai pris rouge pour signaler que tu es prit, vue que tu m'a dit que tu ne voulais plus de plan à plusieurs.

-Ça me vas très bien.

-Il y a un dernier sujet qu'on doit aborder. Si on est inviter dans un autre chalet il faudra que tu te soumette, tu ne pourra pas être le Azur de tout les jours.

-Genre être à tes pieds et te sucer quand tu l'exige?

-C'est une question ou tu cherche à m'excite avec ta voix là, ricane t'il en rapprochant nos lèvres.

-A vous de voir, je souffle contre sa peau.

Il m'embrasse et m'assoie sur lui. Le sentir pincer mes tétons me fait monter l'érection. Il les tord jusqu'à ce que j'ai ses gémissement de douleur je pose mon front contre le siens et ferme les yeux pour savourer instant.

-Ça commence à vraiment faire mal, je dis tremblant.

-C'est comme ça que je t'ai appris à t'adresser à ton maître, demande t'il surpris.

Je me penche à son oreille et me met à murmurer.

-Arrêtez je vous en supplie je commence à avoir vraiment mal.

Il les tord une dernière fois et sort de l'eau, je le suis en ayant quand même quelque grimace de douleur. Il agrippe mes cheveux et me fait marcher à quatre patte jusqu'à la cuisine. Il me bloque la tête entre le plein de travail et lui et me fait sucer le temps qu'il préparer son repas. Je le suce également pendant qu'il mange et quémande comme il le souhaite pour avoir de quoi manger.

-Va dans la chambre.

Je monte dans la chambre et remarque des bougies.
Je trouve mon briquet et les allume une à une pour l'ambiance. Je remarque une boîte qui dépasse de ses affaires, un joli papier cadeau noir avec un ruban argenté. Je ne peut m'empêcher d'y toucher, je veux savoir ce qu'il y a dedans.

-Tu vas être salement puni pour ça, depuis quand tu fouille dans mes affaires.

Je me retourne et souri innocemment.

-Elle était tombé à côté.

-Mais bien sûr, rit il en attrapant une ceinture. Penche toi sur le lit dépêche toi.

Je n'ai pas le temps de terminer mon mouvement que la ceinture claque. Je ne retiens pas mes bruits, au plus il y va fort, au plus ma vois s'étrangle. Je hurle de douleur en sentant qu'il a changer la ceinture pour un fouet à crocher. Il me bâillonne aussi tôt et le fait claque de nouveau.

-Il te fait toujours autant d'effet celui là, rit il avec une voix suave.

Un autre coup, cette fois ci je met mes main sur mes fesse en faisant mine de me redresser, il réagit au quart de tour et pose son pied sur ma tête.

-Enlève tes mains ou je fait claquer le fouet dessus.

Il tien parole voyant que je met trop de temps à les retirer, heureusement qu'il a contrôler sa force. Il me redonne deux coups puis m'ordonne de maintenir là position.

-T'aime toujours te faire brulé rassure moi.

Mon érection s'emploie en guise de réponse. Il souri avant de commencer à verser la cire des bougies sur mon dos.

A.M & A.WOù les histoires vivent. Découvrez maintenant