34

63 2 0
                                    

Hello mes coco j'espère que vous allez tous bien . J'ai enfin poster la part 34 . Franchement je vous ai écris un texte de 3700 Mots . J'espère recevoir vos pardons grâce à sa . Car je sais que je vous ai laisser sans vous donner de nouvelles. Mais bon je m'excuse. Maintenant nous revoilà. Je vous laisse le chapitre.

N'oubliez pas de Liker et de commenter . Bonne lecture. (Désolé pour les fautes).🙏🏽😘


L'idéal pour moi à cet instant était de surcroît que je me mette à songer à comment nous étions arrivé là et si j'ai été une personne sincère jusqu'à cet instant.

Je ne m'étais jamais mise dans une réflexion surgerant une analyse de ma personne vis à vis de kahil et de notre relation.

Mon corps est plongé dans ce long chemisier noir comme ce ciel ardent nué qui se reflétait à travers l'alcôve ouvert de la chambre. Il se pourrait que ma descente au salon suciterai une discussion dans laquelle, si je suis vraisemblablement honnête avec moi, je ne suis pas en mesure d'entamer.

Mais..., hélas, Kahil à besoin des explications. Ou plutôt, est en droit de me tenir terne face à mes agissements.

Aucune idée de ce qui pourrait en découdre de notre conversation, ce qui reste nette qu'est en dépit de tout j'ai réveillé un côté de lui que je m'étais juré ne plus y faire face.

Je lisse le bord de mon chemisier toujours avec un ere bredouille. L'angoisse faisait fi de moi. Mes pensées étaient chargés de remortrance.

Je visualisais la chambre une dernière fois et me décida à la quitter et gagner le salon.

Je me faisais une autoseance de maintenance reasonable afin de ne pas perdre toute ma crédibilité une fois devant lui.

Mes pieds me conduisent dans une lenteur l'un des plus stressant longer le palier du salon.

En émergeant, cet endroit de la maison, je ne me suis pas attardé à savoir où pourrait-il bien se détenir. Peut-être me suis-je dis un instant qu'il serait dos tourné face à la décente de l'escalier, m'attendant comme il s'est bien le faire.

Mais,

Comment expliquer mon mal-être, l'instant où mon regard s'est entremêlé au sien qui n'avait pas perdu du sens à me lorgner depuis le début.

Je me fais face à un kahil carré dans un canapé. Un verre au bord des lèvres me scrutant sans gêne.
Tout d'un coup le salon me paraissait  si petit que la chaleur s'empara de moi . Je ressentie une frayeur l'un des plus amère m'asphyxier lorsque je finis la dernière marche de l'escalier et me tenu à quelques pas de kahil .

Son regard disait tellement long , il trempa une dernière fois ses badigoince dans le verre et la posa aussitôt sur la petite table basse .

Toujours affalé dans ce canapé moleskine, le visage indéchiffrable, les pupilles noir fein d'apparence renforçant ces sourcils froncés venant brandir son front .

Je me faufile doucement à l'autre partie de la pièce plus ou moins ordinaire , orné et aéré. Les pensées étant en circoncis, je me devait de prendre un peu d'air afin de ne pas perdre l'équilibre a vue de son profil.

Je fais fis de mes pensées un instant en détournant mon regard de la baie vitrée, lorsque mes yeux s'entremêlent à ceux de Kahil  une nouvelle fois.

Il me darda en silence, les mains enfouies dans son pantalon noir . Toujours avec ce silence tempéré.

L'habitacle était à son apogée de bruit . Les bribes du vent chaud fouinais le coin sans soucis. En ce temps mon cœur ne battait que la chamade car dit-on que je m'en préoccupais de comment finirais cet entrevue l'un des plus accablant.

Amour version âgeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant