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Arf le soleil éructe de mes rideaux soigneuses de jaunes banane malgré mes grillages et vient m'en donner des baffes minutieux sur mon visage. L'ère de rien pouvoir faire je donnais sens à mes muscles et m'agita  en me mettant hors de mon lit confortable de 3 places couvert d'un drap blanc . De mes pas nonchalants , je me stoppa à ma table basse où j'ai dû recharger mon téléphone hier soir juste avant mon sommeil. Aussitôt récupéré, je pivota mes doigts dessus et l'écran m'affichait 9h07 . Je me suis réveillée à temps si je peux me permettre. Je ne tarda pas plus et m'aventuré-je dans la salle de bain.
              Je ressortis de ma chambre vêtu d'un Jean slim et d'un haut blanc Dior. Je retrousse les escaliers et m'arrêta au salon. Je m'empresse de me servir un café chaud et m'allongea  sur l'un des canapés qui ornait le salon .

-tu n'as rien de prévu aujourd'hui? Demanda Bella.

- aucun programme pour la matinée mais le soir je compte bien passé à la fête qu'organise mes camarades de classe. Bafouillé-je à Bella.

- D'accord. Ne rentre pas tard . Je ne serai pas aussi libre ce soir,alors je te laisserai le double de la clé . Disa Bella.

- À oui? Sans soucis . Lui lancé-je .

Après un hochement de tête, elle disparaît de la salle et  laissa le silence régné dans l'habitacle. Je finissais d'avaler mon dernier gorgé de café et me leva du canapé confortable. Je trimballe des pieds ne sachant quoi faire concrètement. J'avoue que l'absence de mes parents n'est qu'une autre soucis d'ennui pour moi. Bella est une bonne personne mais qui est d'un humeur assez troublante. Je m'explique mieux. Le fait-est-qu'elle si je ne m'en abuse pas est bipolaire. Je présume début certains moments. Je me demande si elle n'a pas des soucis ce qui peut la rendre dans ces états. Je cogite un instant sur la personnalité de Bella et le reste du temps j'eu préféré m'occuper en songeant à la télévision.

Je rigola toute seule face au mascarade des p'tits diable . Les enfants sont des p'tits monstres comme le convois si bien le nom leur étant attribué. Toute enjoué je profita du moment pour aller me prendre du coca light comme je les aimes. Je reviens au salon et remarqua rapidement mon téléphone étant sur vibreur émettre des sons.
m'empressé-je de répondre.

- Lorie tu peux passer chez moi? S'empressa Maïssa de me demander.

- Tu as laissé où les bonnes manières? Lui remarqué-je .

- aa Lorie passe chez moi oh . Supplia Maïssa.

- je ne suis guère disponible. Disais-je à Maïssa.

- Tu es occupé par quoi? Ozlem viendra une minute à l'autre je voulais que tu sois présente aussi j'ai chose importante à vous dire . S'il te plaît essayer de faire des efforts pour moi. Juste pour moi. Allez viens s'il te plaît. Supplia Maïssa.

- c'est bon raconte pas toute ta vie. Mais par contre j'espère ne pas avoir à regretter ma venue chez toi après. Je dois me rendre à la fête des camarades comme toi tu ne pourras pas venir, moi ma présence est importante. Lui balbutié-je.

- Tu aimes dramatiser les choses. Rend toi chez moi au plus tôt. Et tu sauras quoi faire après. Je te rassure que tu pourra te rendre à ta fête sans un once de désagrément. Me rassura ma copine la voix toute angélique.

Je sais qu'elle veut coûte que coûte me voir chez elle. Voilà pourquoi elle me raconta des inutilités incessants . Bref je lui rassura ma venu puis prenais congé d'elle.

Le pas haletant, je m'embourbe dans ma chambre me prend juste un  sac Gucci plus ma carte bancaire et me rendît au parking. Le bien dans tous cela est que mon père ma laissa sa jolie Ferrari noir ciré. Je rinça mes yeux face à cette beauté incontestable et m'engouffra à l'intérieur.
Il est vrai que cette voiture est belle. Mon père l'adore énormément, cela m'a ému lorsqu'il m'a avoué l'avoir laissé à ma porté. Je lui dois un gros câlin pour cela. Sans tarder je démarra la voiture et me rendis chez Maïssa. Je me retrouva au Parking de leur appartement et rangeant ma jolie bijou. Je m'empressai de descendre de la voiture et me rendais au plus rapidement devant sa porte. Je sonna et quelques secondes après je fus accueilli par ozlem. Elle me fixa puis se décala pour me laisser pénétrer l'habitacle. Je rentra l'ère de rien et chercha de vu Maïssa.

Amour version âgeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant