Un Simple Sentiment...

Chapitre 3

Cela faisait maintenant deux jours que le plan de Papillombre, conçu par Nathalie, était établi, mais il n'était en cors d'exécution que seulement depuis plusiques vingtaines de minutes : Lila Rossi, une nouvelle fois, a été akumatisée en Volpina.

Son but ? Déjouer le lukcy charm de Ladybug par l'illusion. Elle devait créer une réplique du lancement du pouvoir de la coccinelle sans que celle-ci ne s'en aperçoive, ainsi elle pourrait la déstabiliser et lui subtiliser son miraculous ainsi que celui de son coéquipier.

Pour l'instant, le plan se déroulait à la perfection.

Après une nouvelle esquive, Ladybug lança son lucky charm. Mais celui-ci ne se déclenchait pas. Elle regarda au tours d'elle, sans succès. Elle n'expliquait tout simplement pas ce qu'il se passait. Il n'y avait pas de Lucky charm. Elle regarda vers chat noir, un élan de panique dans le regard lorsque Volpina se jetta sur Ladybug, essayant de lui arracher ses boucles d'oreilles. Chat noir essaya de la repousser, mais en vain. Un énième coup de coude dans les côtes de la jeune héroïne l'envoya valdinguer au tapis. Elle était KO. mais lorsque la jeune akumatisée se penchait sur la coccinelle, chat noir activa son cataclysme en direction de sa flûte. Elle se brisa et le papillon ensorcelé s'envola hors de l'objet. Lila tomba au sol, désakumatisé. Chat noir vint aider Ladybug à se relever tandis qu'elle lançait son lucky charm, cette fois avec du succès, pour réparer les dégâts causés pendant le combat. Elle pris soin de purifier l'akuma et lança le top de "bien joué" avec chat noir. Lila partit, en rogne.

"-Chat, ça va ?

-Oui, seulement, est-ce que tout ça va s'arrêter un jour ? Ou est-ce qu'on est condamnés à s'épuiser pour vaincre un homme dont on ne connaît même pas l'identité, qui nous mène par le jour du nez à chaque akumatisations ? Tu as faillit te faire prendre ton miraculous, aujourd'hui, Ladybug..."

Les mots de son coéquipier frappèrent la jeune fille en plein visage. Le fait qu'il ne l'appelle pas par le surnom qu'il lui avait donné témoignait de son agacement face à ces attaques de plus en plus nombreuses. Et il avait raison. Ils ne pouvaient pas se battre sans connaître l'identité de son adversaire. Elle avait déjà quelques idées, mais aucune certitudes.

"-Chat... Je sais que c'est dur mais nous avons une ville à protéger, des humains qui demandent notre aide pour les sauver du chaos qui y reine depuis maintenant plus d'un an. On ne peut pas renoncer maintenant. S'il te plais fais moi confiance, on va y arriver."

Le porteur du miraculous du chat sourit.

"-Toujours, ma Lady." et ils se séparèrent, rentrant chez eux chacun de leur côté.

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Au manoir, cependant, il y avait une ambiance électrique. Papillombre avait encore échoué. Et en prime, il ne savait même plus la cause de ce pourquoi il se battait. En fait, il le savait mais il n'en était plus sûr. Il se battait pour faire revenir sa femme a la vie, celle qu'il aimait, mais au fond de lui, Li savait qu'il y avait autre chose qu'il désirait encore plus. Mais il n'arrivait pas à mettre de mot dessus. Il avait comme un vide dans la poitrine depuis que Mayura avait cessée de se battre à ses côtés, ce vide lui pesait de plus en plus, de jours en jours. Et c'était dur de garder la tête haute après l'enfer qu'il traversait. Il le savait très bien. Mais si il lui demandait de l'aider une dernière fois, il savait aussi très bien que Nathalie n'y survivrait pas cette fois-ci... Et il se sentait coupable de ce qui arrivait à sa secrétaire. Il n'aurait pas dû lui laisser le droit de l'utiliser après le jours des héros. Mais il ne pouvait pas lui reprendre la seule chose, il le voyait, qui la rendait enfin heureuse et qui la faisait sourire, qui la rendait libre de ses pensées et de ses actes. Et cette femme lui manque terriblement. Même si il sait qu'elle est seulement dans la chambre d'à côté, il ne peut s'empêcher de penser que ce ne sera jamais pareil. Il y aura toujours ce froid entre eux depuis qu'il a repris le miraculous du paon.
Il savait qu'elle n'était pas en accord avec ses actes, mais elle l'aidait quand même, dans l'espoir de reprendre ce que la vie lui avait volé : pour elle, sa meilleure amie. Et pour lui, la femme de sa vie. Il n'en pouvait plus de sentir ce trou béant dans sa poitrine à chaque fois qu'il allait rendre visite à Nathalie, et à Émilie. Ses sentiments étaient complexes. Et même lui ne les comprenait pas. Il ne savais plus quoi en penser. Il était perdu. Complètement perdu. Et le pouvoir des miraculous qu'il portait le rendait fou à lié. Il le sentait mais ne pouvait s'en défaire. C'était impossible pour lui.