Le samedi 9 juin à Dallas au Cotton Bowl
Cette chaleur au milieu de l'après-midi accentue la moiteur des corps allongeaient sur des serviettes de bain la visage fasse au ciel d'un bleu étincelant, les aisselles trempée par la sueur dessine des auréoles aux tee-shirt coloré, une panoplie d'éventails, magazines de rock que l'on se prête traine sur l'herbe d'un jaune défraichie, et délavé écrasé par des pieds pesant trois tonnes tel des éléphants qui se déplace dans la savane. L'air est sec, irrespirable, les gens éprouvé trimballe leur bras, jambes au ralentie, et excéder par les températures, l'ombre invisible consomment de l'alcool, et de la drogue.
Pour se désaltérer Kaya boit un rhum Coca avec glaçons qui fondent dans ce gobelet de plastique rouge avec lesquelles des jeunes envoie des boules dure à l'intérieur, et se bagarre comme des adolescents dans un collège pour une broutille. Les esprits s'échauffent. A t'elle oublié que Lucia a horreur quand elle boit autant ? Il est vrai qu'elle ne se limite pas lorsque le désespoir déroule le tapis, c'est une demoiselle qui tient autant l'alcool qu'Oti lorsqu'ils picolent à mort dans un bar paumé. Les addictions l'anesthésie mais depuis la mort de son père plus rien ne va et ça s' accentue.
Cette fois elle a songeait à porter un corsaire noire à fine bande rouge sur les côtés taille haute, une ceinture à boucle tête de lion, un bustier blanc à volant sans bretelle, des sandales plates en cuir attaché à la cheville et des clochettes. Sa chevelure à la raie symétrique impeccable au crâne est une habitude prise depuis son enfance, il faut qu'elle soit parfaite, et les nattes sans le miroir elle arrive à les faire. Les habits, maquillage, la coiffure tout est calculé. A tendance à entremêlé sa chevelure par un tissu de velours qu'importe la couleur, finissant sa course par des élastiques agrémenté de perle volumineuses. Kaya a autant le soucie du détail qu'Oti lorsqu'ils ont sur scène.
Contourner les rayons du soleil c'est une mission impossible. Le disque solaire domine. La sueur entre ses seins, sa chute de rein, au milieu de l'arc de cupidon de ses lèvres au gloss rouge clair ce combo est désagréable. Sans se presser Kaya évolue sur l'herbe qui aurait besoin d'une bonne pluie, dépasse les buvettes, et des roadies torse nu qui court partout. C'est la folie le stade est remplie, la musique résonne, Kaya n'a pas eue à payé l'entrée 15 dollars pour assister au concert de leur meilleurs amis. En coulisse il y a le chanteur Sammy Hagar, le groupe Nazareth.
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Dans la caravane d'Asa situait en plein cagnard
Elle est vide, excepté le désordre de ses habits, sacs, étui à guitare. Enfin à l'abri Kaya tente de calmer sa migraine dont le sang afflux à ses tempes et tape un rythme infernal. Les médicaments avalé durant le trajet n'ont pas agit. Ses fesses au bord d'une table formica aux angles arrondies, elle cale sa cigarette entre ses lèvres pour attraper la guitare qu'était dans l'étui, par endroit la peinture est abîmée mais Asa est un bricoleur. Une fois il a fait sauter l'électricité de la maison de ses parent tout ça parce que le baffle Marshall n'a aucun son. Ce concert va panser mes plaies ? Quelqu'un entre, son ombre se répand sur son corps, des mains la soulèvent et la serre dans ses bras : « Tu m'as manqué, je suppose que tu l'as compris quand je pose mes yeux sur toi. Son front bute sur le sien. Je suis content. » Garde ses bras autour de sa taille.
Face à face ils plongent dans la douleur de l'un et de l'autre. Une passerelle. L'anxiété sociale, nervosité pousse son ami à accentuer sa consommation d'alcool à chaque concert. La drogue c'est pour se sauver d'une chute, l'aide à composer, d'ailleurs il en a prit avant d'être connu, et a failli mourir sur la table de l'hôpital. Ce soir-là, Bruce l'a appelait en pleure à 5 heures du matin pour expliquer qu'il était attaché au lit, tremblant, un tube dans la bouche.
-Après tout ce temps, moi aussi je suis heureuse de te retrouver. Remonte le haut de son bustier, questionne Asa au sujet des cheveux de Bruce qui ont mi-long.
Lui qu'il a indocile, long, bataillé à les plaquer avec du gel. Asa raconte que lors d'un incident pyrotechnique sur scène un feu a flambée sa chevelure. C'est Bruce qui met le feu au gong derrière lui. Son père appréciait la débrouillardise des frères possédant double origine Néerlandais de père, Japonais de mère. Leur authenticité fait leur force. Tous les deux c'est le couché de soleil et la tombée de la nuit. D'un coup sec sur la porte dehors on prévient Asa qu'ils ne vont pas tarder à aller sur scène.
-Le manager c'est présenté ? Essuie le corps de sa guitare avec un chiffon adapté, et boit une gorgée de bière.
-Devon, s'en est chargé. Il est volubile, de prime abord gentil, et je n'en dirais pas plus.
-C'est suffisant. Asa lui ouvre la porte.
Ce Devon est un personnage haut en couleur qui anime lorsqu'il est au micro mais avec une personnalité exubérante comme la sienne il faut être armé, et patient. Pourtant ça crée des prouesses sur scène, autant qu'au studio d'enregistrement. Leur manager se coupe en quatre pour qu'ils soient amplement satisfait. Deux pas derrière son ami la fournaise pour repaire, étourdie Kaya bat ses cils comme le ferait les ailes d'un papillon retirer les mouches qui se dessine. Son fin trait d'Eye-liner risque de couler, son regard aux iris d'un brun foncé scrute l'horizon. Luis aurait été heureux qu'elle soit de retour à Pasadena.
Derrière la barrière en fer qui les conduit jusqu'à la scène Kaya se penche en avant croise le photographe officiel du groupe. Dès qu'il croise son regard il sourit, se présente, et fera de même. S'aidant de son coude comme d'appui Kaya se tourne vers Devon qui arrange sa chemise blanche la matière est souple, impatient Mitch bouge ses épaules d'avant en arrière, Bruce et Asa font le vide du mieux qu'ils peuvent. A l'appel de leur nom : ils deviennent des diables déchaînés, génies qui perturbe pour toujours.
Le démarrage est génial tous les trois sautent de l'estrade, mette le feu à un public en délire. Les morceaux vont à une vitesse ahurissante, Devon envoie ses cheveux en l'air c'est le choc des titans. Du talent, une énergie à revendre, le photographe capture le groupe, un Asa aux prouesses technique folle. Durant son solo il prend ses jambes à son cou, la chevelure au vent, et la puissance de son corps athlétique agit sur le spectateur : il saute sur le baffle, et envoie un riff à la guitare.
-Tu es émues ? Le photographe se gratte le front.
-Il y a de quoi ! D'une pas digne d'une féline elle avance un peu plus pour ne pas les quitter des yeux, et savourer.
-Tu es une amie proche, Asa m'a parlé de toi. ? Cherche un angle de vu pour que la photo d'Oti soit la meilleure.
Asa tenait à ce que leur entourage l'accueil le mieux possible. On ne dénigre pas Kaya. Les frères sont contents qu'elle puisses les regarder à un moment important de leur vie.
-De longue date. Mon père a raison ils ont phénoménaux.
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Little Sign ( CORRECTION ! )
General FictionKaya Rowe travaille dans une agence immobilière à Los Angeles, vend des villas à des stars mais la mort de Luis (son père) dans un accident de voiture bouleverse tout. De retour à Pasadena, elle retrouve ses anciens repaires, souvenirs, et ses amis...