Little Sign ( CORRECTION ! )

World Vacation Tour

Informations de dernière minute sur Oti

Au cœur de la tournée II des caractères commencent à s'affrontaient, se confrontaient, s'opposaient et se tourner le dos en dehors de la scène. Chacun bientôt aura son propre bus de tournée pour ne plus se croiser, eux qui s'aimaient bien depuis l'école primaire le succès monte à la tête aussi rapidement que la fumée. Depuis la sortie de leur tout premier album en février de l'année dernière,  l'arrivée du second en mars de cette année a eu comme effet dévastateur, un ouragan impossible à freiner.

Les défauts qui faisaient leur charme dans  leur enfance grossit comme une plaie sur la peau dès qu'ils ont devenu des stars mondiales,  mais Oti a tant de mal à se pardonnaient quand ils se disputent au restaurant pour des broutilles, s'envoient du guacamole à la figure, se frappe à coup de poing et à de très rare occasion lorsque les esprits ne s'échauffent plus ils n'ont plus rien en commun et à se dire. 

Les séances d'enregistrements sont périlleuse il faut les faire fumer pour les détendre, et boire. Ils se font souvent la gueule dans la Chrysler, lève des majeur au cours d'une session de photo, tire la langue de vrai gamin et sourit aux fans  parce qu'ils ne faut pas que se sache les dissensions mais auprès de la presse elles se révèlent au grand jour. Rien ne se passe comme prévu, le manager est débordé et Oti donne le ton sur ce qui sera leur mythe rock n roll. De toute part ils en mélangent la gentillesse, bonne humeur, les mentalités qui s'échauffe et la connerie humaine.  

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Pasadena, un jour de semaine 

Tranquillement loin des tumultes qu'accumule Oti,  Kaya s'achète des pinceaux, tubes de peintures, une nouvelle palette, un tablier, et sa sensibilité à d'écrire une ambiance en faisant des portraits de ses amants, meilleurs amis, sa famille, en somme des scènes à vif de son  quotidien se racontent au travers du bout de son pinceau, et de son talent mais Kaya ne s'impose aucune barrière à travers cette quête de réalisme. L'authenticité est puissante au cours de ces voyages avec Oti  puisque tout est retranscrit. Les routes changent au coucher du soleil, au matin les couleurs irradie, s'égaille sur les murs d'une tapisser de la chambre à coucher, ainsi bordé dans ce cocon si familier au moins il n'y a aucune entrave à ses chevilles.

La jeunesse est faite pour être vécus à cent à l'heure, s'écrire sur les pages d'un roman pourtant dès que la vieillesse approche sur ce port incertain, que faire de ses souvenirs à part les raconter à son entourage, et sa famille. En contre partie les séquelles de l'accident l'on rendu optimiste même si à des moments elle est colérique, a une facilitée déconcertante à dessiné des corps mutilé avec détachement. L'art sert de thérapie à ses bobos, en revanche ce nouveau poste dans cette agence immobilière elle ne va pas tarder à l'occuper comme ça elle aura de l'argent pour ses frais médicaux, et ses médicaments. Ce choix a été une échappatoire logique pour ne pas dépendre financièrement d'un homme, et être au crochet de sa mère.  

Son père un jour a dit : « Ne choisie pas un job ou tu te sentiras minable, fonce dans le tas. »

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Oti  et Kaya 

Avec les garçons cette amitié parfois est si belle quand ils partagent des moments simple, se racontent des blagues entre deux tournées au Mc Donald's autour d'un hamburger gras, d'un Coca tassé, de frite bourré d'huile le tout disposé sur la table par une serveuse en patin à roulette qui réclame un autographe. Sur la feuille de son carnet Kaya les dessine, accentue des détails infime de leur visage pour permettre de les distinguer. 

À la tombée de la nuit elle observe la lune à l'arrière de la Chrysler coincé entre le corps bouillant d'Asa buvant sa canette de bière, celui tendu de Bruce mâchant un bâton de réglisse, et derrière les vitres des paparazzis prennent les frères, leur muse en photo. Le concert fut extraordinaire. Le couloir qui mènent aux loges encombré par les roadies, les vedettes venues en masse rejoindre Oti, et les filles qui hurlent pour se retrouver en tête à tête avec l'un d'entre eux. Toue les Kaya assiste à des cassages de chambre, la télévision s'envole par la fenêtre, la nourriture au plafond, des explosifs s'allument sur un parking vide d'un supermarché. 

À plus de minuit elle fera un tour en Harley avec Devon à fond de train pendant qu'il lui parle sa main sur le guidon et l'autre qui s'agite. La semaine d'après des policiers  arrêteront Oti pour des vols de coussin, oubliant auparavant qu'ils avaient mis à sac des chambres, et des toilettes. Il ne faut pas croire les groupies sont aussi déchaînées qu'Oti, tague les murs avec du ketchup, et de la bière. 

Les médias  compare souvent Kaya à la comtesse de Castiglione avec son maquillage gotique, par moment à Amanda Lear qui a été la muse de Salvador Dali, et ses coiffures à celle de Frida Kahlo. 

La drogue circule sans aucune retenue, les groupies, managers, musiciens en sniffe partout ou ils en trouvent. Ils n'ont cas baisser leur nez. Dans le bus du backstage quand tous les quatre sont à plat après des nuits intensives à se lâcher comme jamais ils dorment avec des migraines,  maux d'estomac, la bouche pâteuse, et des cernes. Leur moment de paresse permet à Kaya de les flasher avec son polaroid. Cette collection personnelle est névrotique sert lorsqu'elle est déprimé ou a l'hôpital.

Une obsédée des objets mexicains, hispaniques, livres à reliure en cuir, carnets, fleurs en plastique, ou cueillie dans son jardin. Du rouge, bijoux étrange, et les mains sales quand elle dessine. Lorsqu'elle a fait le portrait de Devon deux ans plus tôt l'ayant invité un après-midi dans la demeure familial, ils étaient sur la terrasse avec balcon, la conversation a permit de le connaître sous un autre angle. Une personne qui cache des failles.

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20 heures, Miami 

Dans la suite d'un hôtel, logeait en hauteur pour être proche du paradis, loin des tourments qu'enclenchent Oti partout ou ils mettent les pieds, ce qui dessine à peu près une rage de dent émotionnelle à  Kaya  qui n'en peux plus des garçons quand ils ne savent pas s'arrêter dans la route du diable, cette fois là elle est à moitié allongeait sur un fauteuil confortable marron à motif vieillot, prêt d'une petite lampe à huile sur une commode à tiroir, son carnet de croquis sur ses jambes  elle dessine des crânes mexicains, et des lapins courant dans un jardin en feu.

-Je ne fais que passer.  Quelqu'un se faufile derrière son dos.

-Ok. Kaya se gratte le cou avec le bord de son crayon.

-Il est là. Le gars prévient Asa devant la porte fermée d'une voix timorée l'arrivé d'un dealer. 

Son ami sort précipitamment de sa chambre décoiffé, la cigarette entre les lèvres, en jean taille haute avec des bretelles sur le torse nu, ses pieds nus foule le tapis,   les pupilles rouges, son corps dépasse le premier fauteuil ou se trouve Kaya pour discuter avec ce dealer le crâne chauve et les épaules larges. Rapidement il le paye, empoche la drogue, et retourne dans sa chambre. Déduction il va la sniffer pendant qu'il jouera de la guitare toute la nuit, et se couchera à l'aube.