Dans l'avion avec sa mère son cœur voltige, entre ses cages thoraciques, un parc d'attraction à sensation extrême s'accentuant à chaque poussée du au flux sanguin dans ses veines. Le ciel sans nuage, l'agréable sensation de flotter, ce corridor sans fin lui appartient mais partageait entre plusieurs émotions elle ne sait plus ou donner de la tête. Les passager occupaient à crée leur futur, la sienne est entre ses mains. Sa toile va définitivement changer de face. Ce n'est plus la face A du disque mais la B qui contient des pépites.
Son arrivait à New York se déroule convenablement, le chauffeur les conduit jusqu'à l'hôtel dans une circulation agitée, et les New Yorkais pressés. À leur arrivait on leur indique la luxueuse chambre qu'elles vont occuper. D'un pas pressé Kaya se dirige dans la salle de bain mettre son collier à plusieurs rangs, et change sa toilette. La robe Flamenco à dos nu, décolleté en cœur à manche bouffante jaune, ceinture à la taille, Rebozo, et talons aiguillent. Les fleurs sa mère les installe dans ce chignon élaboré.
La galerie est grande, lumineuse, donne sur une rue passante. L'épouse enthousiaste part l'accueillir bras ouvert devant les flashs des photographes. A l'intérieur Kaya serre la main du mari vêtu d'un costume trois pièces à carreaux, et indique sa toile exposée sur le mur, sa mère est choquée. La Chiquita, la séniorita, la muse, l'artiste peintre, la femme pose à côté de sa toile ses mains tenant le bout de son châle et serre sa mère dans ses bras comprenant plus que jamais les intentions qui se cacher derrière cette ambition.
Des journalistes se pressent pour l'interrogeaient. Une main dans le creux de son avant-bras pliée Kaya explique comment elle s'est retrouvée ici, remercie les personnes qui se sont intéressé à sa toile, développe la raison de ce titre avec cet accent hispanique qui selon les mots prononcés s'accentue volontairement. Jongle avec ses origines, sa différence auprès des invités qui fume une cigarette.
Ce visage, cette allure, sa personnalité, plus personne ne va l'oublier elle est Kaya Thompson l'artiste peintre qui influencera d'autres femmes à se crée un destin.
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Studio, 11 heures
Le lendemain matin Bruce sort de sa voiture pour courir les cheveux au vent vers son frère s'entraînant à la guitare pour agiter le journal : « Elle est là ! » Tape ses doigts sur la photo, le titre, et Asa cesse de gratter les cordes pour l'observer avec gentillesse. Merde, alors! Se murmure t-il intérieurement. Ceux ne sont que des éloges, une pluie de félicitations. Lorsque David fait son entrée comme toujours c'est spectaculaire, bruyant, contrairement à Mitch qui arrive le dernier. Instantanément ils comprennent ce qu'ils lisent. Tous les deux vont derrière Asa et Bruce installées sur le siège pour se pencher vers l'article.
il était temps que Kaya sorte de cet ombre maudite qui n'a pas cesser de se coller autour de ses chevilles comme des larves lorsqu'elle était déprimée, et ivre, pour définitivement se surpasser, s'exposer à la lumière et y gagner des honneurs.
Ed aurait tant voulu partageait ce moment mais comprend qu'elle tenait à s'y rendre uniquement avec sa mère. Les larmes sur ses joues il les retire, Bruce se charge d'arracher l'article pour le garder, et le mettre dans un cadre. Les garçons comprennent le titre qu'elle a choisie au dernier moment : « Ne t'inquiète pas ma fille *» Luis la répéter souvent quand il rentrer tard du travail, et que Kaya s'inquiéter. C'était inévitable qu'elle s'en serve pour un hommage.
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Little Sign ( CORRECTION ! )
General FictionKaya Rowe travaille dans une agence immobilière à Los Angeles, vend des villas à des stars mais la mort de Luis (son père) dans un accident de voiture bouleverse tout. De retour à Pasadena, elle retrouve ses anciens repaires, souvenirs, et ses amis...
