Les frères Hawken après le départ de leur meilleure amie pour Pasadena ont décidés de faire une pause digne de ce nom sur une plage exotique bon marché pour ne plus s'épancher sur leur déboire. Cancun. Le berceau de l'accalmie. Vers la fin des années 70's ils y étaient allaient, ont gardés d'excellent souvenir où ils n'ont fait que dormir, nager, danser avec les filles, et se prélasser au bord de la mer sur des transats en plastique en forme de s coucher, prenant la forme du corps. Cette fois-ci ils vont pouvoir discuter, manger, déguster la chaleur des rayons du soleil sur leur peau, et se lever tard.
Loin des conflits intérieurs qui éventre le groupe au point d'en ressentir les douleurs. Depuis la sortie de leur troisième album, le pauvre Mitch fait le pitre pour détendre l'ambiance alimenté par une presse assassine mais se tue à améliorer ce quotidien harassant leur arrachant ne serait-ce qu'une volonté à cesser les mésentente mais avec les années il va cesser de se battre pour rien. Le trio est infernal iront jusqu'à se liguer contre lui. Le ver est dans le fruit depuis le début. Le temps d'un farniente les frères se mette en retrait durant quatre jours pour a la pêche à leur retour.
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Vingt deux heures
Dès qu'ils pénètrent à l'aéroport un vent submerge leur chevelure, les portes coulissantes glissent sur le rail en mousse noir, et les garçons détiennent leur sac. Ils n'avaient besoin de pas grand chose. Les paparazzis s'affolent, la photo doit être insolite, qu'elle tombe dans les mains de Devon pour raviver la haine. Les frères attirent la lumière, se sont des chandelles et en profitent. En tête de cortège Bruce salut un photographe qui passer par là, Asa deux pas derrière franchit le hall éclairé par les néons, le brouhaha verbaux perpétuel par le flot des touristes dans les oreilles.
Les yeux derrière les lunettes de soleil cachent une timidité expressive. La mauvaise haleine causé par le tabagisme, les quelques bières cacher par un chewing-gum à la menthe fraîche qu'ils achètent par poignet. Des hôtesses de l'air dans leur mini-jupe, leur bottes en cuir vernis à talon carré sont accompagnées du Stewart.
Consciencieux ils mettent en avant les conseils prodigués par leur paternel sourire jusqu'à avoir mal aux zygomatique, envie de gerber mais prit en sandwich par une cohue de fans, la sécurité se précipite de leur venir en aide. Les garçons auront des fleurs, chocolats, peluche, des baisers que les filles lâche sur leur joue, caresse leurs mains.
Les fans ça leur ferait plaisir qu'ils restent indéfiniment, que chacun ait le temps de parler mais ils vont devoir monter dans cet avion. Il ne va pas les attendre. Rebelote les paparazzis reviennent en force. Un photographe courroucé leur demande d'être plus polie avec les garçons. Des tapent dans le dos surprennent Ed désorienté mais pas Bruce. Les filles les appels. C'est risqué de partir en courant sachant que les différents couloirs de l'aéroport sont occupés par les vas et vient constant des touristes.
La police se questionne sur ce raffut. La sécurité qui les escorte demande à ce qu'ils soient plus nombreux parce qu'ils vont finir par être dépassé par les événements. Les frères profitent de leur attention : « Venez nombreux à notre concert ! » faisant de la publicité. Une manière d'enfoncer le clous à Devon, pour qu'il n'y ait pas que lui au commande. Après tout eux aussi savent comment marche ce milieu. Les langues se délitent, soit disant ils seraient manipulateur, diabolique, jamais content mais que l'on ira jusqu'à gueuler " Fuckin Guitar Hero". Quand il boit trop Asa raconte des tissus de mensonge.
La timidité repart de plus belle, bafouille, raconte des blagues, rit et en vient à se mettre sous contrôle pour ne pas déranger ou déraper. Derrière Devon doit rattraper tout ce qu'il a sciemment raconté. Qui va le croire? Pour quoi être abject ? Que se passe t-il au sein d'Oti ?
Cette nuit celui qui rafle les honneurs c'est Asa, son doux visage, son sourire de gamin, répare les fuites. Lorsqu'il se retourne en direction des paparazzis, des demoiselles, sa photogénie émerveille ceux qui l'observe. Il brille, un petit bijou qu'aucun ne parvient à comprendre. Son besoin d' émancipation le pousse jusqu'à aller vers un jeux de pouvoir dangereux et a l'appui de son frère.
La sécurité leur indique de se dépêcher parce qu'ils ne tiendront pas une éternité. Les fans bousculent, essaie d'approcher les frères comprennant que la situation est complexe. Les cries augmente de volume comme si quelqu'un actionner le bouton. Leur prénom se répand sur les murs, on leur ordonne de courir mais les voilà encerclé au milieu de l'aéroport écrasée par la force de ces corps inconnu, sentant l'après-rasage, le parfum sucré des filles. Tous voudrait un morceau de leur chaire, une mèche de cheveux, découper un doigt d'Asa pour que ça soit un trophée derrière une vitre.
Ce succès ne passera pas inaperçu, Devon verra rouge et leur en voudra à mort.
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Avant de partir dans le taxi Kaya a laissé des consignes aux frères. Leur a demandé de rester sobre, ne pas abuser de la cocaïne, boîte de nuit, évidemment ça serait vraiment adorable si Asa n'a plus d'accident, rouler moins vite, ne dépasser pas la limite autorisé, et se laisser conduire jusqu'à l'hôtel par un chauffeur expérimenté. Qu'il puisse avoir le contrôle de son anxiété, sa propre vie, et ne pas rentrer dans la folie de ceux qui en tire profit. Pourtant Asa n'a rien promis ne voulant pas la berner de mensonge pour lui causer du tort.
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Little Sign ( CORRECTION ! )
General FictionKaya Rowe travaille dans une agence immobilière à Los Angeles, vend des villas à des stars mais la mort de Luis (son père) dans un accident de voiture bouleverse tout. De retour à Pasadena, elle retrouve ses anciens repaires, souvenirs, et ses amis...