Capitulum 25

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Bonjour, bonsoir !

Il semblerait que j'ai réussi à sortir deux chapitres cette semaine. Bon, il est vrai que la correction n'est pas encore parfaite, mais j'espère que cette lecture vous fera passer un bon moment !

Je ne pense pas pouvoir ajouter de chapitre la semaine prochaine comme je pars plusieurs jours, et que je travaille toujours en même temps, mais je m'organise de manière à écrire quelques lignes les soirs.

Je reprends doucement mes corrections aussi. Je compte changer quelques petites choses sur mes deux histoires alors je vais tout mettre en ligne en même temps afin que ça ne fasse pas de grosses incohérences avec les chapitres non corrigés.

Sur ce, bonne lecture et à bientôt !

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Je venais à peine de me réveiller pour la seconde fois de ce début de matinée, qu'une sensation de malaise me prenait aux tripes. J'étais totalement égaré et les quelques images de mon dernier rêve se mélangeaient dans mon esprit.

Le visage souriant d'un air sardonique d'Handeïs était gravé dans mes rétines.

Un goût amer avait pris possession de ma bouche.

J'avais passé la fin de la nuit entouré par cette sensation et j'avais même fini par me lever une première fois afin de faire passer cela.

Je n'arrivais pas à émerger, et même avec le corps de Taìlann contre le mien, je ne me sentais pas aussi rassuré que cela.

Le mal-être finirait par passer, je le savais. Je finissais toujours par me remettre de mes cauchemars, mais celui-ci semblait vouloir me hanter pour encore un moment.

Maintenant que j'y pensais, je n'avais pas le souvenir d'avoir vécu de mauvais rêves depuis mon arrivé à Sokar. Les cauchemars étaient quotidiens au centre, mais pas ici.

— Joli cœur... Tout va bien ? Je te sens encore agité.

Taìlann venait de passer sa main sur ma joue en un doux effleurement. Il se redressa un peu vers moi, l'air soucieux.

— Tu es beaucoup plus contrarié que moi au réveil ce matin, reprit-il.

Je lui souris doucement, appréciant son inquiétude et ses attentions.

— Je ne me souviens pas de ce que j'ai pu rêver cette nuit. La seule chose dont je me rappelle, c'est le visage d'Handeïs. J'ai une étrange et mauvaise sensation qui me prend aussi.

— Il semblerait que tu aies réussi à sortir du rêve que je nous avais créé. Tu as su résister à mon don cette nuit, intervint Anthèm'ir venant tout juste de sortir de la salle d'eau.

Il avait l'air d'être sorti précipitamment. À moins qu'il ne l'avait fait exprès, mais il dégoulinait de son corps encore beaucoup de gouttes d'eau.

Le démon ne portait qu'un pantalon et le voir comme cela, nous fit nous embraser d'envie avec Taìlann.

Mon réveil n'était pas si mal que cela, finalement.

Anthèm'ir marqua un temps d'arrêt, l'air étonné de nos réactions très intenses, puis se mit à sourire avant de s'asseoir sur le lit, face à nous.

— Tu as pu ingérer suffisamment du sang de Taìlann pour réussir à te sortir de mon rêve, continua ce dernier presque imperturbable. J'avais toujours fait attention à ce que tu ne songes pas sur le centre, mais cette nuit a été différente.

— Qu'est-ce que tu veux dire ?

J'essayai de ne pas trop m'attarder sur son corps, mais ce matin, j'avais vraiment un problème à me concentrer. L'humeur du prince élevait également mon excitation vers le haut.

Calix HiemisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant