~Chapitre 40~

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__ Annnhhhh!!! Aller chérie détends toi.... c'est bien continue ainsi ounnnhh, gémi Tonny en éjaculant dans ma bouche....

Je n'arrivais plus à avaler. La gorge serrée, le souffle court, je le laissais se répandre dans ma bouche comme si je n'étais qu'une coquille vide. Un objet. Il gémissait, le corps tremblant, ses doigts agrippant mes cheveux comme pour s'assurer que je ne lui échapperais pas. Tonny. Rien que de penser à son nom, mon estomac se retournait.

— Laisse-moi voir le trésor que tu caches entre les jambes, murmura-t-il d'une voix rauque.

D'une main ferme, il écarta mes jambes malgré ma résistance. Mon corps tout entier me criait de fuir, mais mes membres étaient comme paralysés. Ses doigts s'enfoncèrent dans mon intimité, et je sentis mon cœur se tordre dans ma poitrine. Chaque contact était une brûlure, un rappel cruel de ma position : je n'étais plus rien.

— N'est-ce pas excitant, bébé ? me lança-t-il en souriant.

Excitant ? J'avais envie de vomir. Je lui jetai un regard rempli de haine, mais je n'osais pas répondre. À quoi bon ? Je savais ce qu'il adviendrait si je lui résistais. Tonny aimait dominer. Il aimait la douleur qu'il me causait, comme si chacune de mes souffrances le nourrissait.

Une porte grinça derrière nous. Mon cœur rata un battement lorsque j'entendis des pas lourds s'approcher. Je levai les yeux, la vision brouillée par les larmes, pour découvrir un homme que je ne connaissais pas. Grand, robuste, le visage dénué d'expression.

— Tu vas aimer ça, déclara Tonny, en se tournant vers lui.

L'inconnu me surplomba, et mon corps se figea. Avant même que je ne puisse crier, il se plaça sur moi à califourchon, ses mouvements brusques m'arrachant un gémissement de douleur, des coups de reins de plus en plus violents s'en suivaient. Il se relève et s'accroupît devant moi, écartant mes jambes plongea sa bouge dans mon intimité puis se mit à lécher mon cl*tor*s. Je fermai les yeux, priant pour que cela s'arrête. Mais il continua, encore et encore, son souffle chaud s'écrasant contre ma peau comme une flamme qui me consumait. Tonny, quant à lui, se tenait juste à côté, me tenant fermement le menton pour m'embrasser de force. Ses lèvres, avides et brutales, m'écœuraient autant que le reste tout en malaxant mes seins avec une telle violence.

— Regarde-moi, Catherine. Tu vas finir par t'y habituer, siffla-t-il entre deux baisers.

La douleur devint insoutenable, irradiant dans tout mon corps. Mais ce qui me détruisait davantage, c'était de savoir que Carlos était là, dans la même pièce, attaché à une chaise. Ses yeux, grands ouverts et emplis d'une douleur indescriptible, étaient rivés sur moi. Il ne pouvait rien faire. Il ne pouvait que regarder.

C'était la punition que Leyla avait choisie pour nous, il était obligé de rester dans la même pièce à me regarder me faire enc*ler tous les jours par Tony.

Depuis mon arrivée dans cette maison, les jours s'étaient transformés en nuits éternelles. Le temps n'existait plus. La douleur était constante, un murmure insidieux qui me rappelait que je ne pouvais m'échapper. Tonny avait fait de moi son esclave sexuelle. Chaque nuit, il revenait, ses gestes plus violents, ses mots plus cruels.

Je pouvais à peine marcher. Mon corps me lâchait. Ma peau, marquée par ses doigts et ses coups, me brûlait à chaque mouvement. Mais personne n'avait pitié. Même Leyla, cette femme qui m'avait condamnée, venait chaque matin avec son sourire sarcastique.

— Tu es encore là, Catherine ? Tonny n'a donc pas encore fini de s'amuser ?

Ses mots résonnaient comme des coups de fouet. Et pourtant, je restais silencieuse, car parler, c'était inviter encore plus de souffrances.

𝑳𝒆 𝑴𝒂𝒓𝒊 𝑫𝒆 𝑴𝒂 𝑺œ𝒖𝒓( en cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant