Un homme. Il est grand et imposant mais je sais pas qui il est.
Il porte un jean trop grand et un T-shirt blanc, je suis en pyjama.
Il m'est familier, c'est tous ce que je sais. Nous sommes à New-York, sur la route où se produit un embouteillages plus que banale pour la métropole.
Au milieu des taxis jaunes, nous sommes seuls ou alors, je ne remarque personne.
Il est à peut-être, sept mètres de moi quand il commence à réduire la distance à six puis cinq, et il continue d'avancer jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu'un mètre entre nos deux corps.
Je lève la tête pour chercher son regard. Quand il me regarde droit dans les yeux, mon intestin se tord, mes poils se hérissent et mes jambes commencent à trambler.
La peur.
Cet homme n'a pourtant pas l'air menaçant mais mon cerveau m'envoie un signal de détresse.
Mike m'a dit une fois :"Fuis le prédateur, chasse la proie."
En l'occurrence, à cet instant, j'étais la proie et il était le prédateur.
Jamais je n'avais ressenti une peur pareille, une peur si réelle que j'aurai presque pu la toucher.
Sous mes yeux, il lève ses bras pour les mettre sur mes hanches, ses mains son rugueuse sale et brutes.
Il décent ses mains plus bas mais je ne récent plus rien, la peur me tétanise alors je fais ce que j'aurais dû faire dès le début : Fuir. Ses mains sont au niveau de mes fesses quand je lui donne un coup de point dans le nez. Il enleva ses mains brusquement et je fuis.
Je couru en ligne droite pendant, je le pense, de longues heures. Une fois épuisé je me retourne et, rien. New-York à disparu.
Plus de lumière aveuglante, plus de d'étonnement suspects venant de brookling et plus de gratte ciel semblant touchez le pays de Dieu. Juste un champ semblant s'étendre à perte de vue.J'étais pétrifié depuis ce qui me semblait être quelque minutes quand, un bruit semblable à celui d'une brindille cassante me fit sursautée.
Le craquement provenait de derrière mon dos.
Il est de nouveau là, mais plus comme avant. Il semble plus toxique, plus malsain, plus... Terrifiant.
Il n'est plus lui, ou alors si justement.
Du monstre devant moi, coule de sang d'une couleur obscure, aussi foncé que de l'obsidienne.
De ses yeux, du sang par gouttes déluge et de son nez, c'est une rivière de rouge qui ruisselle de ses narines.
Ses yeux sont retournés et son sourire inversé.
La chose devant moi est et sera mon pire cauchemars.J'en peux plus.
Je m'écroule, ferme les yeux et, plus rien - de nouveau.
Le néant,
L'obscurité,
Les abysse,
Le noir,
Les cauchemars,
Et le réveille.
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𝐒𝐢𝐦𝐢𝐥𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 || 𝐓𝟏
RomanceSi je devais utiliser des mots simples, sans phrases, sans syntaxe, pour décrire la vie banale d'Aurora, j'utiliserais sans doute ceux-là : Lycée, intello, inintéressante, seule, banale, cours, normale. Bien sûr, si je devais écrire un livre sur u...