🔹 Chapitre 40

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Je me réveilla en entendant du bruit a ma droite. Ouvrant les yeux, je remarque que le soleil n'est pas encore lever, ce qui me fait froncer des sourcils avant de prendre en main mon portable où je pus y voir qu'il n'est que cinq heures trente du matin, ce qui est trop tôt je doit le dire. Dans la pénombre, je pouvais voir grace a la faible luminosité qu'une personne se trouver dans la chambre et qui se battais avec le canapé a en croire ce que je vois. Me séparant du corps de ma belle, je me leva et m'approcha de la personne avant de le chopper et de le plaquer sur le sol, le fessant gémir.

Je l'attache avec quelque chose puis le bâillonne avant d'aller allumer la lumière de la chambre. C'est lorsque je vis le visage de la personne que je tombe des nues. Devant moi, attacher et bâillonné comme un animal ce tien assis sur le sol Nate, le regard noir en ma direction. Il me faut quelques minutes pour reprendre mes esprits et ainsi aller le libère des liens que je lui avais fait, pensant que c'est un intrus en m'excusant.

_ non mais t'es pas bien ! chuchote t-il énervé après que je lui enlever ce qu'il avais dans la bouche.

_ je suis désolée, m'excusais-je ; je penser que c'était un intrus qui c'est faufilé dans la chambre.

_ la prochaine fois, annonce que tu est réveillé crétin ! peste t-il en se relevant ; j'ai bien cru mourir moi.

_ désolée....

_ bref, qu'est-ce que tu fou debout ? me demande t-il ; tu devrais dormir vue l'heure.

_ pas ma faute si tu m'a réveillée, me défendais-je.

_ dit celui qui c'est jeter sur moi alors que j'essayer de trouver une position confortable sur se foutu canapé ! grogne t-il frustré.

Un silence lourd s'installa dans la chambre, je ne savais pas où me mettre alors, je me dirigea d'un pas nonchalant vers le lit où j'y prend le troisième coussin ainsi qu'une couverture qui nous a été donner en plus et la donne a Nate qui l'a prend sans me lancer un regard avant de retourner sur le canapé qui, en passant, été devenu un lit. Il s'installa et moi je fait de même sur le lit en reprenant Halona dans mes bras alors que mon regard été fixer sur le plafond.

Aucun de nous deux ne parle, pourtant, je sentais que Nate voulais me parler, mais de quoi, je ne sais pas, et pourtant, je voulais savoir. Je souffle de frustration a mon tour avant de relâcher Halona, la mettant dans une bonne position avant de me lever, prenant au passage mon coussin avant d'aller me poser près du canapé où Nate me fixe venir a lui. Je m'assois sur le sol, l'oreiller contre mon torse comme les filles le fond avant de fixer la porte.

_ tu veux me dire quelque chose ? commençais-je toujours le regard sur la porte.

_ ma mère et Dylan nous on annoncer la nouvelle du transfert d'Halona, soupire t-il en se m'étant assis.

_ et ? l'insitais-je.

_ et j'espère de tout cœur que la demande sera accepté, parce que tu ne le sais peut-être pas, mais si la demande est acceptée, cela voudrais dire que je ne verrais pas ma petite sœur mourir petit a petit.

Je ne dit rien, l'écoutant, ne voulant pas l'interrompre.

_ tu sais, reprit-il ; lorsqu'elle est née, je me suis toujours promis de la protéger de tout. En grandissant, j'ai vue et entendu des choses bien comme dur a encaisser.

_ comme l'annonce de sa maladie ? murmurais-je douloureusement.

_ oui, acquiesce t-il dans un souffle ; ce jour-là, sa a était le jour le plus douloureux pour moi ainsi que pour Kate. Enfant, Halona était déjà fragile, mais avec cette annonce, tout mon monde a basculer. J'ai redoublé de vigilance, j'ai tout fait pour qu'elle soit heureuse jusqu'à ce que tu arrive.

Je reporte mon regard sur Nate en entendant ces mots, surpris, ne m'attendant pas du tout a cela. Mon regard croise le sien et je pue y lire beaucoup de chose, comme la tristesse, la nostalgie mais surtout, de la douleur. Nate. La première fois que je l'est vue, il m'a fait penser à moi, mais en plus musclé et froid. Une personne qui ne se confit jamais et qui garde tout pour lui, voilà ceux a quoi il m'a fessait penser. Pourtant, là maintenant, il se confier à moi alors que j'avais blesser sa sœur au point qu'elle est ici sur se lit dans le coma.

Je détourne le regard, ne voulant pas lire encore la douleur dans son regard. Cela devenais trop dur pour moi de voir cette douleur, il n'y avais pas que lui qui avais cette douleur dans le regard, non, tout le monde l'avais cette douleur. Lili, Alex, Hugo, Gédéon, Dwayne, Maya, Helena, Dylan, Nate, Kate, maman, papa et moi par la même occasion. Tout le monde avais cette douleur dans le regard, moi y compris. Mais cette douleur, il n'y a pas que dans mon regard qu'elle y est, je la ressent aussi dans mon cœur, dans mon corps, dans mes muscles et dans mon âme.

_ tu sais, commençais-je la gorge nouée ; lorsque tu nous a dit qu'elle été malade, j'ai senti mon monde s'écrouler sous mes pieds. Savoir qu'elle pouvais mourir a tout moment, sans que je ne le sache, m'a fait perdre toute raison.

_ c'est pour cela que tu lui a reproché son égoïsme ? me questionne t-il.

_ oui....murmurais-je douloureusement.

_ Halona n'est pas une fille qui aime raconter sa vie pour que tout le monde est de l'attention a son égard, m'apprend t-il.

_ je l'ai sue trop tard....

_ pour autant, c'est une fille qui aime profiter du moment présent, sans se soucier de ce qui peu arriver, enchaine t-il sans quitter des yeux le lit où elle repose ; tu devrais t'estimer heureux de l'avoir a tes côtés.

Et pourtant, je commence a me dire que je ne la mérite pas du tout.

_ tu ferais mieux d'aller te coucher, dit-il en posant une main sur mon épaule ; la journée qui va commencer risque de te fatiguer.

Hochant la tête la gorge serrée, je me lève, mon coussin contre moi et me dirige d'un pas lent vers le lit où je prend place, prenant au passage ma belle dans mes bras, la serrant fort contre moi, hûmant son odeur que j'aime tant, les yeux fermés. Je repense à tout nos moments passer ensemble. De mon plus vieille souvenir a maintenant. La première fois que je l'est vue, c'est lorsque je l'est sauver de Hunter et sa bande, je l'est trouver tout de suite magnifique avec ces cheveux châtains clairs qui encadre son beau visage, ces yeux d'un bleu si pur et si brillant.

Ce jour-là, j'ai cru voir un ange tomber du ciel, le regard qu'elle me lancer se jour-là m'a donner une décharge électrique si forte que j'ai cru tomber a genoux devant elle. Puis, lorsque je sentais son regard sur moi a chaque fois que j'en n'avais l'occasion, je me sentais fière d'avoir piquer sa curiosité. Les jours puis les années en passer, et a chaque fois, je la voyez, plus belle que jamais. Je n'avais pas fait attention a elle jusqu'à le dernier jour à la colonie de vacances. Lorsque je m'étais approcher pour saluer Alex, et que je l'avais aperçu, j'ai cru défaillir devant tant de beauté.

Elle avais changer, elle avais grandit et avais pris des formes, ces cheveux avais pousser et son regard, mon dieu, j'étais déstabiliser devant son regard bleu océan. Elle porter se jour-là un short de bain bleu ainsi que le haut qui va avec, fessant ressortir non seulement sa poitrine généreuse mais aussi son regard. J'avais senti mon sexe se réveiller et heureusement pour moi, j'avais de suite fui pour retourner dans ma chambre et prendre une bonne douche froide afin de faire redescendre la tension sexuelle que j'avais.

Mais le plus pire a été de découvrir que cette magnifique créature été la cousine de mon pote Dwayne ainsi que la capitaine de handball de notre lycée. Plus les jours passer a ces côtés, plus je tomber un peu plus chaque jour amoureux d'elle. Cette fille, celle que je tien dans mes bras est tout ce qui m'importe dans ce monde, sans elle, je ne suis plus rien. Vous allez me dire qu'il y a beaucoup de fille dans le monde, mais elle, c'est mon monde, le mien, et sans elle, je ne suis plus rien. Aucune fille ne pourra prendre sa place, les personnes autour de moi aurons beau me dire de tourner la page, mais j'en serais incapable car maintenant, je ne me vois plus vivre sans elle. Elle sera et restera la seule dans mon cœur, dans ma peau et dans mon âme a jamais.

Je me laissa aller contre son corps, me remémorant tout nos bons moments ensemble avant de finalement me laisser aller dans les bras de Morphée, mon corps coller au sien, ne pensant plus a rien d'autre qu'elle, son beau sourire, son visage qui rayonne de mille feux et sa voix douce.

Mon Amour Du Lycée Où les histoires vivent. Découvrez maintenant