Mon Amour Du Lycée

🔹 Chapitre 37

PDV: Dwayne:

Je la fixer le regard vide. Elle est allonger sur se lit, pâle comme jamais elle n'avais était auparavant, brancher de partout a des machines qui surveiller et l'aider à vivre. Mon cœur se serre en voyant son visage si paisible, comme ci elle n'avais rien vécu avant d'être là, allonger dans un coma artificiel qui la plonge dans un sommeil profond que seule elle pouvais sortir. Cela fessais plus d'une semaine, les cours avais repris et comme tout le monde, tout nos amis, nous ne sommes pratiquement pas en cours.

Les entraînements ne sont plus les même, j'ai perdu goût d'y aller comme les autres gars, le coach nous avais passer un savon mais se n'est pas en nous crions dessus que sa a changer quelque chose. Je ne sort presque plus de sa chambre, les mecs viennent tout les jours pour la voir et demander des nouvelles mais je ne disais rien a chaque fois, cela me coûte de parler. Heureusement pour moi, Maya été présente, elle me soutenais et je voyez bien que sa lui fessais mal de la voir allonger sur se lit d'hôpital.

Tout le monde essaye de remonter, tous sauf un. Cameron. Depuis que Halona est dans le coma, il ne sort plus de chez lui, ne mange presque rien et les seuls fois où ont le vois c'est ici, a l'hôpital, sa main dans celle de ma cousine, a pleuré et la supplier de revenir et de lui pardonner. Combien de fois je l'est entendu du lui murmuré des excuses pour ce qu'il a fait ? Des centaines je pense. Je n'y arrive plus, j'ai l'impression que je vais bientôt lâcher prise et ça, maman la bien vue.

_ Dwayne ? m'appela une voix.

Je détourne le regard de ma cousine pour le poser sur ma mère qui se tenez debout dans l'encadrement de la porte, un sac a la main. Elle me sourit faiblement mais je détourne le regard d'elle pour le reposer sur mon ange à moi. J'entends ma mère soupiré avant d'entrer dans la chambre, fermer la porte derrière elle est s'avancer vers.

_ tu a manger ? elle me demande dans un murmure.

_ je n'est pas faim, ais-je grogner.

_ il faut que tu mange mon chéri. Je t'es apporter de quoi manger.

_ maman ne commence pas, soupirais-je en fermant les yeux.

Je l'entends souffler avant de me donner un bisou sur la joue, de poser le sac sur la table et de sortir de la chambre non sans me lancer un dernier regard qui voulais tout dire avant de partir. Je me laisse aller sur le dossier du fauteuil en cuir sur lequel je suis assis, les yeux fermer alors que le seul bruit que j'entends se sont les bips des machines qui l'a maintien en vie et suis les battements de son cœur qui bat normalement.

Je prend une grande inspiration et repense à tout nos bons moments passer ensemble, celui du premier jour où je l'est vue, émitouffler dans sa grande couverture blanche toute douce, de son premier sourire, son premier sons, son premier mot, ces premiers pas et encore tant d'autres qui me donne les larmes aux yeux rien quand pensant a nos moments a elle et moi. Je sens une larme rouler sur ma joue et sans que je ne me retienne, j'explose et éclate en sanglots sans me retenir de laisser toute ma peine, ma tristesse et ma douleur sortir.

Ayant sûrement entendu mes hurlements, ma mère déboule en quatrième vitesse et vient me prendre dans ces bras afin de me rassurer mais j'en pouvais plus. La voir comme ça sans pouvoir rien faire me met hors de moi. J'avais envie de la rejoindre, de retourner dans le passé et de lui prendre cette foutu maladie a la con ! Mais je ne pouvais rien faire que la regarder mourir petit a petit sous mes yeux, sans pouvoir rien faire que d'être spectateur de son malheur.