Mon Amour Du Lycée

🔹 Chapitre 39

Voilà un mois que celle que j'aime est dans le coma, c'est bientôt les fêtes de Noël et elle ne sait toujours pas réveillée, ce qui commence a me faire perdre petit a petit espoir. Cela fait aussi un mois que je ne suis pas retourner chez moi après la dispute avec Dwayne, je dors soit chez Mike, soit a l'hôpital avec Halona, tout les jours, après les cours, je vais la voir et parfois, je croise sa famille ou encore nos amis avec qui je ne parle plus beaucoup en vue de ce que j'ai fait.

J'aimerais tellement être a sa place, la voir allonger sur se lit, les yeux clos, c'est trop pour moi, mais je garde espoir, car je ne veux pas qu'elle me laisse tout seul alors que notre histoire vient a peine de commencer, j'ai encore tellement de chose à voir et faire avec elle. Assise en cours, je regarde avec impatiente l'heure, c'est notre dernier cours avant d'être en vacance de Noël et je ne veux qu'une seule chose : retourner auprès de celle que j'aime. Les minutes s'écoule d'une lenteur que sa commence a m'agace vue que je tape du pieds, ce qui n'échappe pas a Mike qui me lance un coup d'œil.

_ Cam calme toi, me chuchote t-il.

_ c'est trop long, soufflais-je agacé ; j'ai envie de la voir.

_ je sais, mais soit patient.

Patient ? Il est fou lui. Il reste quinze minutes et j'ai l'impression qu'aucune minutes ne c'est écouler depuis. Désespéré, je me laisse aller sur ma table de cours sous le regard exaspéré de mon meilleur ami qui me fixe du coin de l'œil alors que mon regard et diriger vers l'extérieur. Depuis quelques jours, il a commencer à neiger et le froid c'est installer tout autour de nous, mais malgré cela, le froid qui règne dans mon âme et dans mon cœur n'est pas comparable au froid de l'hiver.

Les minutes passent et c'est lorsque j'entends la sonnerie retentir que je n'attend pas, rangeant mes affaires a une vitesse folle, je suis le premier a sortir de la salle, courant jusqu'à la sorti pour monter en quatrième vitesse sur ma moto et filé jusqu'à l'hôpital sans faire attention aux regards des autres. Je roule en fessant attention a ne pas glisser même si j'ai changer mes pneus de moto pour ne pas glisser sur se verre glas. J'arrive quelques secondes plus tard devant l'hôpital et une fois garé et le moteur couper, j'entre et me dirige vers la chambre de Halona avant de me stoppé en entendant des voix que je reconnu comme celle de Helena et du docteur.

_ alors, est-ce toujours possible ? demande la voix d'Helena.

_ pour tout te dire, je ne crois pas que ce soit possible Helena, souffle le médecin ; elle est encore faible, je ne pense pas qu'un transfert soit envisageable.

De quoi il parle ?

_ néanmoins, reprit-il ; je peu faire une demande, mais cela prendra du temps avant d'avoir une réponse.

_ fait ce que tu peu, souffle Helena ; si jamais c'est envisageable, alors on l'a transférera.

Et avant qu'il ne me vois, je me cacha pour pas me faire prendre, les regardant tout les deux sortir de sa chambre et, une fois qu'ils ne sont plus dans mon champ de vision, j'entre dans la chambre et ferme la porte de celle-ci avant de poser mes affaires sur le canapé et me rendre aux côtés d'Halona, l'esprit encore dans cette conversation qui me laisse sans voix. Helena envisage de transféré Halona. Mais où ? Quand ?

Perdu dans mes pensées, je n'avais pas entendu que quelqu'un été entré dans la chambre. C'est lorsque je sentis une main sur mon épaule que je sorti de mes pensées en un petit sursaut avant de voir que la personne n'est autre que la mère de ma petite amie, Helena. Elle se tenez devant moi, me souriant tendrement comme ma mère a moi le fessait, je lui rend son sourire avant de tourner le regard vers Halona, sa main dans la mienne alors que je pouvais voir du coin de l'œil sa mère prendre place de l'autre côté du lit avant de lui caresser les cheveux.