Son regard brûlant me détaille de haut en bas, s'attardant un petit moment sur ma poitrine mise en valeur par mon haut rouge.
Contente de voir l'effet que provoque ma tenue, je ne peux m'empêcher de sourire.
Lentement, je glisse mes mains dans mes cheveux et les dénoue. D'un geste sensuel, je passe ma main dans mes cheveux libres pour les secouer un peu. De ma place, je peux voir la réaction que je provoque chez lui rien qu'en voyant la bosse apparente dans son jean. Je continue mon petit manège en m'étirant. Je me cambre volontairement en mettant en avant ma poitrine.
Je vois sa mâchoire se crisper. Une flame de séir danse dans ses yeux.
- Si tu ne t'arrête pas maintenant, je ne répondrai plus de rien.
Sa voix chargée d'appétit charnel me transperce de toutes parts. Un long frisson descend le long de mon dos et se finit par un pincement entre mes cuisses. Mon entre jambe pulse entre les coutures du jean. Il est déjà en feu. Je me tortille sur place, ne supportant plus la tension entre nous. Mais la couture de mon jean passe sur mon clitoris, le caressant. Un gémissement m'échappe.
Un long regard visuel s'établit alors entre nous sans qu'aucun ne cherche à briser le silence. Le désir se lit dans ses prunelles, sa veine du front palpite. Désir, attraction, obsession, curiosité, tentation. On ne ressent que trop bien ces sentiments.
Il brise la bulle en s'approchant de moi et nos regards descendent vers les lèvres de chacun. On s'élance comme deux bêtes assoiffées l'un contre l'autre, pressant nos lèvres et nos corps. Élio glisse sa main dans mes cheveux pour approfondir son baiser.
Le baiser est brûlant, vorace. Sa langue caresse mes lèvres, me faisant comprendre de les ouvrir. Mon corps se cambre aussitôt je laisse s'exhaler un gémissement, ce qui le ravit au plus haut puisqu'il sourit contre mes lèvres. Il me dévore la bouche, ne me laissant aucun répit. Sa langue court sur la mienne, la domine et se retire pour mieux revenir. Il me baise la bouche.
Je glisse mes mains dans le creux de sa nuque avant de les fourrer dans ses cheveux et de les tirer pour le rapprocher un peu plus de moi Lui, agrippe mes hanches et les serre davantage contre son corps. Parfaitement emboîté l'un dans l'autre et pris dans un tourbillon de plaisir, aucun de nous ne veut cesser ce moment.
Mon souffle s'affole, mon cœur bat plus vite. J'aime de plus en plus son contact et ses gestes précis, tendres et fermes à la fois..
Je le sens durcir de plus en plus contre ma hanche, ce qui me provoque un grognement alors qu'il me plaque contre le mur de la chambre.
J'enroule mes jambes autour de sa taille, plaquant son érection contre mon entre-jambe. Il attrape mes seins en coupe et les malaxe. Un autre gémissement m'échappe.
Il me porte jusqu'au lit où il m'allonge. Il s'écarte de quelques pas.
- Qu'est ce que... ne me laisses pas comme ça ! Balbutiai-je d'un ton implorant.
- Oh non ma belle, je ne peux pas te quitter maintenant. Tu es à moi ce soir ! Grogne-t-il affamé.
Je vois son regard me déshabiller. Un feu semble brûler dans ses yeux. La tension est à son comble. Il se lèche les lèvres, et l'envie de lit dans ses pupilles.
Il déboutonne sa chemise. Bouton par bouton. Dieu il joue avec ma patience ! Je rejette ma tête en arrière et grogne. Je me relève précipitamment pour arracher sa chemise.
- Impatiente ma belle ? Demande-t-il d'un ton arrogant
- Je te veux. Maintenant. En moi.
Il finit alors d'enlever sa chemise, me pousse sur le lit et défait son jean en deux trois mouvements. En boxer devant moi, je vois l'ampleur de son désir.
Il s'approche lentement de moi, tel un prédateur. Il me déshabille impatiemment. Ses doigts dégraffe habilement mon soutien-gorge avant de le jeter dans la pièce.
Un frisson de froid et de désir me roule dans le dos, durcissant mes tétons. Sa langue me lèche le ventre, les seins. Il joue avec eux, les titillent, les tourmentent.
Je retire sa dernière barrière et empoigne son sexe. Je fais rouler son gland entre mes doigts et caresse ses couilles.
- Arrête toi ma belle si tu ne veux pas que je jouisse entre tes doigts. Ses yeux se révulsent et ses muscles se contractent.
Joueuse, je ne m'arrête pas. Je prend son sexe dans ma main droite et commence à faire des allers retours. Un râle de plaisir lui échappe. J'accélère mes mouvements. Sa respiration saccadée se transforme en grognements. Ses yeux se ferment, sa mâchoire se crispe de plaisir, ses poing serrent les draps, ses jointures blanchissent. Il est au bord du ravin.
Enfin, il jouit dans ma main.
Ses yeux clos se réouvrent. Il prend ma main et la lèche sans me quitter des yeux.
Ce geste sexy fait pulser mon entre jambe. Je m'empresse de l'embrasser et de le goûter à mon tour.
Il enlève ma culotte, et se penche entre mes cuisses. Il me suce, me lèche, joue avec mon clitoris, insère un doigt, le tourne, l'enlève, le réinsère. Je gémis de plaisir en sentant le froid de sa bague contre ma vulve. Mon corps semble se déchirer en deux puis se réemboite. Il s'enflamme et de la sueur me coule entre les deux seins. Dès qu'il retire son doigt, mon corps le réclame et je grogne. D'un coup sec il insère deux doigts et titille mon clitoris.
- Je vais venir ! Je parviens à dire entre deux gémissements.
- Alors jouis ma belle ! Tonne-t-il
Sur ces mots un liquide s'écoule entre mes jambes.
Il se positionne entre mes cuisses et d'un râle puissant il s'enfonce tout entier en moi d'un coup sec. C'est si bon, il me remplit entièrement, bute contre ma paroi. Nos cris remplissent la pièce.
Nous jouissons ensemble. Il se retire délicatement et prend un mouchoir pour essuyer le reste de sperme qui coule entre mes cuisses.
Il me prend dans ses bras et nous nous endormons, épuisés.
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Angel of darkness | Solveig x Elio
ActionUne infirmière et un biker Le feu et la glace L'ombre et la lumière Deux opposés. Ne dit-on pas que les opposés s'attirent ?