Les nouvelles vont vitent [ 1]

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Lundi 7 septembre 1992

Une semaine, une semaine que la rentrée avait commencé et tout avait dégénéré de façon spectaculaire.

Millicent Bagnold inspira, elle se souviendra toute sa vie lorsque le lundi 31 Août 1992, elle reçut la visite bien inattendue d'un Lord Malefoy hors de lui.

Elle se trouvait assise à ce même bureau et était en train de rédiger les futurs argumentaires qui lui seraient nécessaires pour sa future campagne de réélection. Deux mandats de six ans qu'elle avait fait et elle pensait avoir raisonnablement bien servi son pays.

Elle n'était certes pas la ministre de la magie la plus populaire, mais ses douze ans de mandats n'auront été entachés d'aucune guerre, bien que cela se soit fait indépendamment de sa volonté, c'était un fait à souligner.

Et puis elle était le rempart contre les différents partis conservateurs qui ne cessaient de gagner des voix d'années en années comme si le seigneur des ténèbres n'avait pas été une raison suffisante de voter à gauche.

Elle dirigeait un pays de près de trois millions d'âmes magiques. Ce qui pouvait être extrêmement dangereux entre les mains d'un parti fasciste.

Son gouvernement avait géré avec succès les différentes crises qui s'en sont suivies après le chute de Voldemort. Les procès n'ont cessé de pleuvoir tant et si bien que la C.I.S n'avait promulguée aucune sanction internationale pour avoir été incapable d'arrêter un criminel aussi recherché qur Voldemort.

La Confédération Internationale des Sorciers. Une organisation qui était sensé veillé sur la paix dans le monde magique, conseil présidé par Dumbledore en personne. Et qu'avait fait la C.I.S depuis le chute de Grindelwald ? Rien. Elle avait laissé l'Angleterre et une bonne partie de l'Occident dans un malstrome de soucis sans égal.

Alors oui malgré son impopularité, Millicent Bagnold estimait qu'elle avait su gouverner son pays avec brillot. Certes, son gouvernement avait été noyé au cours des douze ans écoulé de divers scandale, corruption, trafic et même une fois un viol. Elle avait bien cru perdre son poste ce jour. S'il y avait bien deux choses qu'il ne fallait pas toucher et ceux quelques soit la société magique, c'était l'intimité du corps d'autrui et les enfants.

Les Sorciers ne violaient pas et de tuaient pas d'enfants. Dans leurs cultures c'étaient tout simplement inimaginable, tabou. Un crime qui selon certain, la magie elle même reprouverait.

Tant et si bien que ce concept de la vie était l'un des fond de commerce des parties fascistes des différents pays. Puisque aux yeux de tout Sorciers seul des animaux seraient capables de pareil crimes, les êtres humains plus communéments appelé moldus... Étaient des animaux.

Et en France cette haine du moldu était d'autant plus ancré. Car des rumeurs disaient qu'en France humaine il était plus facile de violer que de dealer.

Millicent voulait même pas savoir si s'était vraiment et puis même si s'était vrai, cela ne justifiait pas le racisme

Le cas de viol mi à mal les idéaux fascistes de l'Angleterre magique. Cela n'était pas arrivé depuis au moins trois siècles et chaque patriarche, chaque matriarche avait porté lors des réunions politique, une rose écarlate. Ce n'était certes pas l'étendard écarlate, mais s'était tout comme.

Les sociétés magiques n'avaient aucunes pitiés envers ceux qui franchissaient le grand tabou.
Le violeur en question fut dénudé en place publique et empalée sur un pieu et maintenu à l'aide de sortilège pour qu'il puis vivre le plus longtemps possible. Son supplice dura près d'un an et fit retransmis au monde entier.

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