18 septembre 1992
Dorothéa réajusta sa capuche alors qu'elle se promenait dans les rues d'une ville française. Ah se qu'elle détestait vivre parmi les humains. Les moldus puaient pour commencer. Tout sentait le synthétique, le cosmétique à outrance. Il n'y avait rien de naturel chez cette race inférieure. Et Doréa devait vivre parmi ces gens jusqu' à nouvel ordre. Cela n'aurait tenu que d'elle, elle serait parti à la recherche de Lord Voldemort, car elle était suffisamment intelligente pour savoir que les rumeurs sur sa mort était infondé.
— Hé mademoiselle !
Doréa ferma les yeux et poursuivie sa route.
Parfois elle regrettait de connaître le français.Se fourrant une barre chocolatée dans la bouche, elle préféra sentir le chocolat plutôt que de céder au pulsion sanguinaire qui caractérisait tant la famille Black. Les corbeaux étaient des oiseaux intelligent vengeur et inarrettable lorsqu'on les titillaient un peu. Elle était peut-être une Potter mais par son arrière grand-mère elle était une Black et elle avait hérité d'eux ses traits physiques et sa tendance à laver dans le sang toute injure fictive ou real faite à sa personne.
Mais si exploser une voiture à la vu de tous avait été assez facile car facilement confondable avec un accident humain, là il n'y avait pas de machine ou d'object mécanique pour camoufler son meurtre. Là en plein jour la jeune sorcière devait enduré la bêtise humaine.
— Et en plus elle répond pas ! Sale chienne va. Hé reviens ici.
Dorothéa ferma les yeux et adressa une prière silencieuse à Morgan, Merlin ou n'importe quelle divinité passant par là de lui donner de la patience.
Soudain quelqu'un posa une main sur son épaule. De rage Doréa frappa plus vite qu'un serpent et attrapa la gorge de l'inconnu et le plaqua contre un mur.
Premièrement il était magnifique, quoiqu'un peu plus petit qu'elle. Les yeux azur, les cheveux blonds et le visage au menton arrondi. Ses lèvres était plus prononcé qu'elle et si rose que l'on aurait juré qu'il avait mit un rouge à lèvre.
Les pieds battant inutilement dans le vide, l'inconnu lui tendit un porte feuille magnifiquement ouvragé sur lequel était frappé un lion d'or rugissant une patte reposant sur un P en argent.
Dorothéa s'en saisi elle ne s'était pas rendu compte qu'elle l'avait perdu. Tournant sa tête elle constata qu'un garçon se trouvait adossé contre un poteau et se tenait la gorge toussant et crachant et en proférant des injures toutes plus abominable que les autres. Au ton de sa voix, Doréa sut immédiatement qui avait été son agresseur.
Soudain quelq'un frappa son poignet droit et Doréa lâcha l'inconnu qui avait pris un tint violacé.
Celui-ci se laissa choir mollement tel un chiffons et tenta de retrouver son souffle.
— Sa m'apprendra à vouloir rendre service tient.
Murmura l'inconnu en se tapant le torse en toussant et en crachent.Doréa indifférente observa son portefeuille l'ouvrit pour voir si il manquait quelque chose puis allait s'en aller quand l'inconnue repris.
— Merci ! Ça ne mange pas de pains vous savez. Cette racaille avait sortit un couteau. Je vous ai sauvé la vie.
Dorothéa s'arrêta brutalement alors que ses pupilles se rétrécirent.
— Sauver la vie.... Misérable moldu.
Cracha-t'elle si bas qu'elle fut le seul à l'entendre.Les humains étaient décidément tous les mêmes il ne faisait rien sans arrière pensée, violait femme et enfant quand cela leur chantait et on obligeait les Sorciers à les traiter comme des êtres intelligent.
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Émeraude
Fiksi PenggemarQuatre.... quatre ans que Sirius Black est introuvable, Onze ans ... Onze ans que le gouvernement magique de Millicent Bagnold va d'extravagance en extravagance s'enfonçant toujours plus loin dans la corruption et la démagogie... Trente-six, c'es...