[ATTAL x BARDELLA] - TENSIONS POLITIQUEMENT DANGEREUSES

24.Orgasmes

⚠️TW : ce chapitre se compose principalement, pour ne pas dire uniquement, de scènes détaillées de relation intimes entre les deux hommes. Je rappelle que si vous vous n'êtes pas à l'aise avec ce genre de contenu, vous pouvez sauter ce chapitre.

PDV JORDAN :

Sa phrase me fait l'effet d'une décharge électrique et il rend finalement ce mauvais souvenir en agréable provocation.

« Oh... je vais me battre plus souvent dans ce cas. » dis-je, souriant en coin.

Il me met une tape sur l'épaule.

« Ne fais pas l'idiot Jordan, la violence n'est pas une solution. » dit-il.

Je passe ma main dans le creux de son dos pour le rapprocher plus près de moi.

« Et pourtant tu as adoré ça dans les toilettes tout à l'heure. » répliquais-je.

Il se retrouve coincé entre mon bras et mon corps sans échappatoire possible. Ses yeux quittent mes lèvres pour retrouver les miens.

« Peut être que je devrais admettre que je tolère certaines forme de violence en fin de compte. » répond t-il, ne lâchant pas mon regard.

J'aime beaucoup ce moment, cette position, la proximité du corps de Gabriel contre mon torse à moitié dénudé.

« J'aimerais que nous puissions passer que des moments comme ça, juste nous deux dans l'intimité de mon appartement, pouvant nous livrer sans retenu à nos envies. » avouais-je.

Il recommence à taper doucement sur mes lèvres avec la compresse imbibée, fixant celles-ci.

« C'est plutôt agréable c'est vrai, j'aime beaucoup me retrouver avec toi, d'autant plus lorsque tu portes une chemise trop déchirée pour recouvrir l'entièreté de ta peau. » dit-il, souriant timidement.

J'apprécie sa remarque, ressentant que la vue de mon corps lui plait. Je décide de pousser un peu plus cette idée en retirant totalement le vêtement.

« Et la tu te sens comment ? » l'interrogeais-je, un sourire provocateur aux lèvres.

Il ne me regarde pas et reste fixer sur mes lèvres, n'osant même pas baisser les yeux pour profiter de la vue que je lui offre.

« J'aimerais que tu cesses de parler constamment afin que je puisses enfin finir ce que je suis en train de faire. Restes tranquille juste deux petites secondes. » dit-il.

Je m'exécute sans dire un mot, je me détends et ferme les yeux à nouveau.

Plus vite il aura terminé, plus vite je pourrais lui sauter dessus.

Soudain je sens que les tapotements du tissu se font progressivement remplacer par quelque chose de plus humide et plus chaud, ses lèvres.

« Tu vois quand tu veux. » dit-il entre mes lèvres, souriant fièrement.

Je soupire, feintant un agacement.

« C'est bon tu as terminé ? » dis-je à mon tour.

Il pose à nouveau ses lèvres au coin des miennes, faisant attention à ne pas toucher les plaies qu'il vient de soigner.

« Bien au contraire Jordan, je ne fais que commencer. » murmure t-il, son souffle chaud venant caresser la peau de mon visage.

Des pensées sombres reviennent à mon esprit à l'entente des ces mots remplis de sous entendus. J'aime le voir doux et attentionné, mais j'aime encore plus le voir avenant et passionné.