Control The Uncontrollable // The Acolyte - French translation by @rom-1190

31. Enfer

Avec une main, il fit claquer la porte en l'ouvrant et la referma aussi vite que vous étiez entrée. De l'autre main, il maintenait ton visage en place, gardant tes lèvres proches des siennes. Tes lèvres luttaient pour prendre le dessus. Qimir devait presque sourire en voyant que tu essayais même de résister. Ses lèvres étaient rugueuses, agressives, assoiffées de vengeance, et tu devais lui céder. Il te pressa contre la porte. Ses mains parcourant les côtés de ton corps, il pouvait déjà sentir ta peau nue sous ses doigts. Il se pressa contre toi, ses lèvres se frayant un chemin dans ton cou, et dans un mouvement audacieux, il enleva ton haut métallique, brisant la chaîne avec ses mains nues avant de le laisser tomber au sol.

Tu le regardas, choquée, mais Qimir souriait en t'embrassant à nouveau. En se penchant, il pouvait sentir tes seins contre sa poitrine. Alors que tes mains tentaient de les couvrir, Qimir attrapa tes deux mains et les leva au-dessus de ta tête. Tu étais impuissante face à son toucher. Il entrelaça tes doigts et se pencha vers ton cou. Cette fois, il ne se contenta pas de baiser ta peau innocente, mais veilla à laisser des marques.

Il pouvait déjà entendre tes gémissements alors que ses lèvres mordaient ta peau.

Il leva les yeux vers toi, passant de ta poitrine à tes épaules et ton cou, tu étais couverte des traces de son amour. C'était la vraie beauté, tombant entre les mains d'un autre.

Qimir se redressa et te regarda dans les yeux. Ils étaient devenus plus sombres qu'auparavant. Un signe que votre séparation avait pu être aussi difficile pour toi qu'elle l'avait été pour lui. Il y avait une différence majeure.

Tu l'avais quitté. Voler le Holocron ? Il pouvait vivre avec ça, et d'une manière sinistre, il devait admettre qu'il était impressionné. Avais-tu choisi de sauver Yord ?

Prévisible, tes principes étaient encore trop élevés, mais utiliser les Holocrons contre lui ? Le quitter ? Cela méritait des conséquences.

« A genoux, » la voix de Qimir était froide.

« Quoi ? » murmuras-tu, incertaine d'avoir bien entendu.

Au lieu d'utiliser des mots ou quoi que ce soit, Qimir te lâcha simplement et se déplaça sur le côté. Se dirigeant vers l'autre côté de la pièce, son corps tourné vers le centre de la pièce. Tu regardas le sol en bois, qui semblait froid même de là où tu étais. Tu te retournas vers Qimir. En effet, tu avais bien entendu. Il voulait que tu te mettes à terre. L'idée résonnait dans ta tête alors que tu essayais de la comprendre. Lentement, tu te dirigeas vers lui, tes mains couvrant tes seins tandis que tu te mettais à genoux, tentant de te maintenir émotionnellement.

« Abaisse tes mains, » ordonna Qimir, mais tu n'écoutas pas.

« J'ai dit abaisse tes mains, » répéta-t-il, et enfin tu obéissais en laissant tes mains tomber au sol.

Tu étais magnifique. Chaque coin, chaque courbe était un cadeau. Il était simplement tragique que l'Ordre ne puisse pas voir ce qu'il voyait en toi. Tu étais trop lumineuse pour l'obscurité, mais bien trop terne pour l'Ordre. Tu ne trouverais jamais de foyer à moins de faire un choix. Qimir allait te faciliter ce choix. Cela prendrait du temps, mais après aujourd'hui, le voyage commencerait enfin. Mais tu l'avais trahi, et il ne le prenait pas à la légère.

Tu devais comprendre, pour ton avenir, que ce comportement était inacceptable. Les actions ont des conséquences.

Il s'approcha de toi et te regarda de haut.

Tu étais si petite à côté de lui. Il était presque difficile d'imaginer les dommages que tu avais causés, mais Qimir se souvenait. Il n'oublie jamais, et tu apprendrais bientôt cela aussi.

« Je t'es manqué ? » murmura-t-il en posant sa main sous ton menton.

Il laissa son pouce effleurer tes lèvres pleines. Elles étaient puissantes. Qimir fit glisser son pouce entre tes lèvres, sentant la chaleur de ta bouche. Ta langue, désespérée de goûter. Tu commenças à hocher la tête.

« Bonne fille, » dit-il en te regardant avec des yeux glacials.

Un son satisfaisant de son doigt se détachant de tes lèvres exalta Qimir. Ses mains allèrent à son pantalons, le dénouant. Se dévoila devant toi une grande longueur. Il savait que tu n'étais pas prête.

Ton esprit était encore comme celui d'un enfant, ne sachant pas quoi faire de ton corps ni des possibilités qu'il offrait.

Maintenant, tu devais grandir et affronter les conséquences.

« Ouvre la bouche, » Qimir inclina la tête.

Tes yeux étaient effrayés alors que tu ouvrais lentement la bouche, mais pas assez largement.

« Plus grand, » ordonna-t-il.

Tu essayas d'ouvrir la bouche davantage pour lui, sans savoir ce qu'il comptait faire.

Qimir aurait été plus doux avec toi si tu avais été plus gentille, mais tu avais été cruelle, et il n'y avait qu'une seule réponse à la cruauté. Ce n'était que le début d'une nuit violente.