Chapter 79

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* Anushka *



Je sors de la salle de bain et enfile rapidement un t-shirt et un jogging.

Le voyage a été épuisant et je souhaiterai bien me reposer mais si nous sommes ici c'est qu'il y'a une raison à cela cependant la fameuse cousine de Karsten ne m'inspire pas confiance.


           Je sors de la chambre qui est d'ailleurs immense, le lit est hyper grand et les mûrs peints dans des tons blancs et verts sont etonnement beau.
Je retrouve facilement mon chemin jusqu'au salon où Karsten discute d'une façon presqu'amicale avec un autre homme.


Assis sur le canapé il m'a l'air tout aussi grand que karsten, les cheveux qui retombent sur sa nuque


-bonjour; le saluais je


Il se tourne vers moi puis se lève et embrasse le dos de ma main


-soyez la bienvenue; me dit il


           Il est vêtu un cargo noir auquel est accroché plusieurs couteau et révolverts en plus d'un t-shirt de la même couleur qui déssine sa musculature très imposante. Aucun doute c'est un sicario.


Je lui repond d'un simple sourire et il s'en va après un dernier regard pour Karsten, je m'installe aux côtés de celui-ci qui passe son bras autour de mes épaules puis me rapproche de lui.

Une fine odeur de Cannabis flotte dans l'air, on est bien dans un acienda mais surtout dans le domaine d'un cartel


-que fait-on là? demandais je à Karsten


-on va le découvrir une fois que cette folle reviendra; me dit il


C'est vrai que sa cousine ne m'a pas l'air d'être quelqun de normal, elle n'est pas seule dans sa tête.


           Le bruit de talons qui claquent contre le sol retentit et on peut voir Scarlett se rapprocher. Elle est vêtue d'une longue robe verte dos nu supplément un decolté plongeant.


Elle s'installe en face de nous et aspire une poudre blanche qu'elle a posé sur la table puis coince une cigarette entre ses lèvres


-tu devrais arreter avec ça Scarlett


La voix de Karsten a été tranchante avec une petite pointe d'inquietude, cette simple phrase m'a fait comprendre qu'elle est accro pourtant je croyais que l'une des règles d'or etait de ne pas consommer sa propre marchandise.


-Sans ça je me serai déja suicidé; dit elle calmement; Bref on a un problème

SLAVEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant