Je suis en paix quand je rentre les soirs plus de prise de tête, j'ai prévenu Oliver que je dors à l'hôtel pour qu'il ne s'inquiète pas sans toute fois lui révélé que je suis dans une suite privée. Anais semble s'être calmé, ses appels incescants ont diminué pour mon plus grand bonheur. Henri m'a prévenu que Leatiçia avait annulé nôtre combat car elle est beaucoup occupé au travail et qu'elle me contactera.
Il est 8h, je ne suis pas encore au travail, je vais prendre une bonne douche pour y aller.Enchaîné tout ces boulots à la fois m'épuise, j'ai des douleurs partout mon dos me fait atrocement mal parce que je fais le ménage minitieusement dans presque 5 chambres, je dois tout rangé derrière ces riches pourri gâté qui n'ont pas le temps de ranger derrière eux. D'ailleurs je suis dans une suite semblable à celle que je viens de quitter. Des chemises traînent partout non c'est pas croiyable, je mets tout ceci dans le panier à linge sale, je m'attaque au fauteuil, ensuite je mets mes écouteurs et passe l'aspirateur qui fais un terrible bruit. Je passe dans les moindres recoins, des mains m'enlève les écouteurs je sursaute et me retourne pour voir la personne. C'est Jules, qui sort de la douche les cheveux mouillés et sa serviette à la hanche, son corps athlétique est superbe, il est vraiment canon, sa barbe le rend carément viril et mignon il faut que je me concentre.
- Tu as fini de regarder?
- Quoi?
- Mon physique qui te fais perdre la tête à en devenir toute rouge.
J'arrête l'aspirateur et je m'éloigne de lui.
- D'habitude à cette heure je ne croise personne, je suis désolée de t'avoir dérangé je repasserais plus tard.
-Non, tu peux continuer je vais m'habillé pour partir.
J'hôche la tête et le regarde partir, il est à tomber.
Il a une maison qu'est ce qu'il fou ici?
Il à passer une nuit torride avec sa copine qui a pris le bain avec lui après avoir fini de faire l'amour. Je ne sais même pas pourquoi je pense à tout ça, ce qu'il fait de sa vie ne m'intéresse pas où si? Bof j'ai juste rougis un tout petit peu, n'importe quel fille ferais pareil devant ces tablettes de chocolat. Je m'aide d'un tabouret pour nettoyé le grand meuble qui se trouve au salon, sa voix m'arrête dans ma tâche.
- Henri m'a dit que tu annulais le rendez vous.
Toujours arrêtee sur le tabouret je détourne la tête dans sa direction pour lui répondre.
- Oui, je n'ai pas le temps ce boulot de femme de chambre à changé ces horaires donc je te ferais signe dès que je pourrais.
- C'est d'accord.
Il est éléguant dans son costume marron, il note quelque chose sur un bout de papier et s'approche de moi, je descends du tabouret mais sa présence me fait perdre l'équilibre il me ratrappe à temps.
-Fait attention la prochaine fois.
Je suis dans ses bras, son parfun me transporte, sa main sur mon corps, ses lèvres tout près des miennes oh mon Dieu je préfère me taire, je le remercie et lui demande de me poser ce qu'il fait sans protester.
- Tu n'as pas de maison? Où celle ci est pour tes coups d'un soir?
Elle commence à me provoquer, elle sait que je déteste qu'on me mette hors de moi, je remercie le docteur Caster qui m'aide en ce sens, je vais jouer son jeu et voir si elle en pince pour moi.
- Ça te dérange que j'entraîne mes coups d'un soir ici?
- Non, absolument pas.
Elle semble nerveuse et mal à l'aise, elle nettoie sans cesse le meuble qui est déjà neuf. Je commence à la cernée si ça continue comme ça cela voudra dire qu'elle n'est peut être pas en couple.
- Tu veux savoir ce qu'on n'a fais cette nuit ?
- Non, vos histoires de jambes en l'air ne m'interese pas, maintenant laissez moi travaillez s'il vous plaît.
Elle est furieuse, je dirais même très vu qu'elle a recomencer à me vouvoyer et n'a pas aimé ma repartie, je veux l'ennuiyé une dernière fois. Je la retrouve dans ma chambre à ranger mon bazar, elle est de dos et je me place derrière en lui mettant une main dans le bas du dos elle frisonne à mon contact.
-Qu'est ce que vous faîtes idiot?
Elle veut se retourner mais je l'empêche, je me colle à elle, et place ma tête dans son cou elle se débat mais pas pour longtemps.
- J'aime quand tu me vouvoie dans ces circonstances, j'aime te savoir jalouse, voici mon numéro laisse le tient sur la table avant de partir, on n'a une revanche à prendre Bonne journée Mademoiselle Roussot.
Il me jette un dernier regard sensuel et sort, je me laisse tomber sur le lit.
C'était quoi ça?
Je suis toute retournée, pire encore quand j'ai senti son érection et son souffle chaud dans mon cou. C'est son travail de coucher avec toutes les filles de Lyon, je ne serais pas la prochaine sur sa liste. Je vais maintenir une distance entre nous pour ne pas souffrir demain. Mon ex m'a fait prendre conscience que les hommes n'ont pas de pitié.
Je continue mes tâches pour aller chercher mon trésor chez la femme d'Henri.Je suis à l'usine pour un entretien avec tout les employés parce que le travail du mois passé n'a pas été satisfaisant.
- Bonjour Monsieur Connor, les employés sont en salle de réunion.
- Bonjour à vous Monsieur Drumont, je vous suit.
C'est le chef de l'usine c'est lui qui me réprésente ici, il est rigoureux comme moi. Je salue tout le monde et passe à l'essantiel, je leur explique que le rendement à baisser et que si on veut être toujours les meilleurs, ils faut qu'on soit plus éficace la prochaine fois. Ils acquissent tous de la tête et m'assurent ne plus commettre d'erreur. Je leur demande de partir pour que je m'entretienne avec monsieur Drumont.
- Vous avez trouvez un remplaçant pour le poste qu'occupait Mademoiselle Mercier?
- Non, personne ne corespond au profil mais j'y travaille.
- Faîtes au mieux et prevenez moi de tout. Il faut qu'on résolve ce problème au plus vite.
- Vous ne serez pas deçu Monsieur Connor.
Je vérifie comment chaque employé travaille satisfait, je prends congé d'eux et m'arrête dans un restaurant pour déjeuner.
Je stationne devant Textile compagny. Et une vilaine migraine s'empare de moi, je demande à la sécrétaire de m'apporter des cachets et de ne surtout pas me déranger.J'ai besoin de me reposer un peu, je travaille beaucoup ces derniers temps et je ne penses pas un peu à moi, je veux tout contrôlé c'est ça mon problème. Depuis un moment je ne vais plus me tapper ces filles dans les boîtes de nuit ça me change et ça ne me manque pas du tout. Le docteur Caster dit que je suis amoureux de Leatiçia mais c'est faux je la désire juste comme les autres. Je m'endors sans le savoir.
- Monsieur Connor réveillez vous, nous rentrons.
- J'ai dormi combien de temps?
- Tout l'après midi et vous avez de la fièvre.
Je me redresse, passe mes mains sur mon visage pour bien me réveillé, je me sens faible et j'ai le tourni. La sécrétaire me regarde elle à l'air paniquée, elle propose de me conduire à l'hôpital j'accepte parce que je ne peux pas conduire. Je fais un effort pour marcher et rejoindre la voiture. En route j'appelle Oliver pour qu'il vienne m'assister je n'ai personne c'est lui qui me supporte et je ne veux pas déranger Monsieur Mercier sinon sa fille le saura. Le mèdecin fini de s'occuper de moi et me donne 4 jours de repos parce que la fièvre est très forte. Oliver m'achète ce dont j'ai besoin à la phamarcie et nous rentrons à ma suite. Je lui dit et fait promettre de ne rien dire. Il sourit et me dit que Anais ne vient plus me voir et qu'on devrait rentrer à la propriété mais je refuse.
Une fois fini de manger, j'avale mes médicaments et me couche Oliver reste dans la chambre d'amis pour veiller sur moi. C'est le meilleur, je ne le remercirais jamais assez. Le problème avec lui c'est qu'il ne parle jamais de sa famille en deux ans il m'a simplement dit qu'il a deux adorables filles rien de plus. Il est aussi réservé que moi en martière de famille. Je m'endors fatigué de penser et réfléchir.
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~Mon Amour~
RomanceToutes les femmes sont les mêmes pour lui, il ne pensais pas changer aussi rapidement d'avis. jusqu'au jour où il tombera amoureux...