~Mon Amour~

~~Chapitre 11

Tout est clean comme toujours, l'assistante sociale ne va pas tarder à venir faire son contrôle de routine, Lavé et tout beau nous sommes prêt à la recevoir Yoan et moi. Je vais lui ouvrir, l'invite à rentrer elle salut Yoan et je profite pour lui proposer un verre d'eau.
Elle vérifie la chambre de Yoan, et note sur un document. Après d'autres questions elle fait un câlin à Yoan puis nous laisse en me félicitant pour le confort et l'éducation que je lui donne, je m'allonge avec mon bébé en lui parlant.

C'est tout ce que je peux faire j'ai expliqué ce qui s'est passé à André qui me dit que si Jules m'aime il reviendra mais je ne veux plus qu'il s'amuse avec moi, j'ai compri tout ce qu'il disait à l'autre folle et ce jour là j'ai pleuré toute la nuit. Ma mère et ma soeur me manque tellement je me sens toute seule heureusement que j'ai André pour écouter mes peines de coeur.

Pour oublier Jules je lui ai envoyé deux lettres une lui rendant ma demission et l'autre lui remerçiant de m'avoir aidé pour Yoan. Et lui dire aussi de ne plus chercher à me revoir, pour terminer je lui ai raconté ce que j'ai vu concernant sa dulcinée, pas pour qu'il me revienne parce qu'on n'a jamais été ensemble on s'est embrassé une seule fois, je l'ai fais pour qu'il sache avec qui il sort. Je l'ai renvoyé de chez moi à plusieurs reprises et j'évite ces appels. J'ai bien fait de garder ce travail au Bowling avec ce que j'ai sur mon compte ça peut aller le temps de trouver un autre encore.

Je travaille et mon esprit est ailleurs, j'ai perdu une amie et pas n'importe laquelle. Une amie qui me fait perdre la tête quand elle est proche de moi, quand elle me touche je suis une autre personne à cause de mon silence démesuré elle ne veut plus me voir elle m'éloigne de son fils alors que je me suis attaché.

Anais à eu ce qu'elle voulait mais je vais la faire partir de chez moi, elle s'y est installé et dors dans mon lit. Son chantage me gâche la vie je l'ai donc suivi hier pour vérifier l'information que m'a donné Leatiçia mais je n'ai rien vu de suspect. Elle à simplement dit cela pour me faire mal, Anais n'a rien qui puisse m'intéressé pour la faire chanter aussi. Je ne veux pas rentré mais je suis obligé parce qu'elle à contacté le Directeur d'une presse à scandale pour lui dire qu'elle avait des informations sur moi, c'est pourquoi j'ai accepté qu'elle s'installe chez moi.

Son père ne cesse de me demander pardon pour le comportement de sa fille. Il a demisionné malgré mon refus, Oliver m'a dit de me méfier de lui qu'il n'est pas très clair.
Quelle saleté de vie, je ne peux plus être en paix dans ma propre maison, A peine je rentre qu'elle me rejoins sous la douche.

- J'aime ton corps d'athlète, je peux t'aider à te débarassé de cette serviette.

- Je suis exténué Anais, je veux pouvoir me douchrer et dormir en paix.

- Tu dis ça parce que tu es allé la voir.

- S'il te plaît rhabille toi, ça fait trois jours que je ne la vois plus  elle ne travaille plus au restaurant tu es contente?

- Oui très, je vais te comblé et te bichonné.

Je ne sais plus quel adjectif emploiyé pour lui dire que j'en ai ras le bol de la voir, mes nerfs sont à vif je vais lui donné ce qu'elle désire depuis longtemps une baise monumentale qui va la faire fuir même les putes que j'ai enculé n'ont pas reçu ce que je vais lui faire.
Je lui prends le bras et la jette sur le lit, je vois son large sourire quand j'enfile un préservatif.

- Non, je prends des pillules ce n'est pas la peine de te protéger, j'aime le contact de ta peau.

- Je me protège toujours tu es prête à recevoir ce que tu attends depuis longtemps?

- Oui j'ai hate.

C'est très bien, elle se débarasse de sa serviette de bain. Couchée  elle se caresse les seins et enfonce deux doigts entre ses jambes déjà humide et les suce en me  regardant quel perverse. Je n'ai pas le temps pour ça. je lui ordonne de se retourner et m'enfonce directement en elle, je l'entends émettre un petit cri ça commence bien, je la pillonne comme une bête en chaleur. J'accélère de plus en plus elle me demande d'aller tout doucement mais je ne l'écoute pas. Cette fois je la prends par derrière, je déteste la sodomie mais je veux tellement lui faire mal que j'adopte cette pratique une fois en elle je m'applique à fond que je l'entends pleurer. C'est bien, j'alterne en pénétrant les deux orifices qui commence déjà à s'agrandir. Un coup dans chaque orifice, elle ne tient plus et tremble et oui je suis cruel pas de sentiment pour cette dingue après ça elle me fuira. J'accélère de plus en plus.

- Ça va Anais?

- Non, tu es brutale j'aime pas.

- Je t'avais dit que je me comportais très mal avec les filles.

- Doucement, j'ai mal.

- C'est pas négociable.

- J'en peux plus Jules.

Elle râle encore mais plus rien ne m'interesse Leatiçia refuse de me voir, c'est de sa faute je me retire quand je jouis en lui donnant une énorme claque au fesses et part me douché. Je jette un regard vers elle qui éssuie ses larmes . J'ai été dur parce qu'elle saigne, voilà je suis satisfait un sourire s'agrandit sur mon visage car je comprend qu'Anais me fuira .Je sais que c'est pas gentille qu'une femme mérite le respect mais elle a réveillé ces démons qui étaient endormi depuis longtemps grâce à mes séances.