~Mon Amour~

Chapitre 18~~

Je ne réalise pas que je me marie tout s'est passé aussi rapidement. Moi qui haïssait les femmes, les traitaient de tout les noms je me marie j'ai atrocement peur pour l'avenir, peur que ma futur femme ne m'aime plus, peur qu'elle me trompe, peur que Anais débarque en faisant un scandale malgré la sécurité. J'avais carrément flipé il y a deux jours mais la psychologue m'a aidé comme toujours. Mon père est venue avec sa compagne qui est très agréable elle sera mon témoin et André celui de Leati.

Je suis dans la petite chapelle discrète que nous à trouvé l'organisatrice. Je fixe l'entrée, je vois ma dulcinée magnifique dans sa robe au bras de mon père qui est très fièr à en voir l'expression de son visage. Je suis perdu dans les yeux de cette fille qui est aussi toute émue, le prête prononce son traditionnel sermon, nous béni et passe à la question magique nous répondons avec empressement ce qui fait rire la salle.

Les alliances échangés nous scélons notre engagement par un baiser rempli de promesse et surtout d'amour. Nous réjoignons la salle de reception juste à côté, je peux voir quelques photographes cachés du moment où ils sont loin ça va, tout est magnifique surtout quand Leatiçia me fait un discours me promettant son amour à l'infini, elle vient vers moi et m'embrasse chastement, des applaudissements, les félicitations se font de part et d'autres.

C'est dans cette ambiance festif que nous prenons congé d'eux en laissant mon beau champion avec ma futur belle mère et mon père qui ont insisté auprès de la femme d'Henri pour le garder pendant notre lune de miel en Italie.

Nous avons dormi dans le jet qui nous conduisait à bon port, une voiture nous attendais déjà pour nous ramené au somptueux hôtel que nous avons réservé. Je regarde ma femme qui sourit tout le temps elle est trop belle, elle m'appartient mon membre se durci à cette charmante pensée. Le room service pose nos affaires et nous souhaite un agréable séjour, la porte refermé je coince ma bien aimée contre le mûr et la couvre de baisers.

- Mon chéri, je veux aussi de toi mais je suis exténuée.

- S'il te plaît, j'en ai eu envie durant le trajet tu me rends complètement dingue, regarde l'effet que tu me fait?

Elle baisse le regard sur mon jean et vois parfaitement à quoi je fais allusion, elle me mord la lèvre inférieur et se décolle en se déshabillant sensuellement pour rejoindre la douche, tel un prédacteur je me débarasse de mes vêtements pour la suivre. Mes mains sur ses hanches elle caresse mon torse.

- J'ai décidé d'arrêté la pillule maintenant que nous sommes mariés tu en penses quoi?

- C'est une très belle idée ma coquine j'ai hâte d'être à nouveau papa, c'est yoan qui sera jaloux.

Elle éclate de rire et m'embrasse sauvagement, je manque d'air, elle continue son délice sensuel elle est mon unique. Elle sait comment faire avec moi, elle enfonce mon membre dans sa bouche, là c'est la fin je ne tiens plus jamais on ne m'avais faire sentir cette sensation, l'homme qui lui jette ne serais ce qu'un regard je lui tord la mâchoire et le decoupe en morceau elle est à moi et à personne d'autre, elle m'offre géneureusement son entrée et étant derrière je m'enfonce en elle, le cri qu'elle prononce me parcours le corps un petit cri très érotique je dirais. J'accélère la cadence jusqu'à ce que nous arrivons tout les deux au sommet, elle se redresse m'embrasse en me disant:

- Prépare toi chaque jour on voyagera ensemble dans cet univers féerique.

- Je t'aime à la folie Madame Connor.

- Moi aussi je t'aime Monsieur Connor.

On s'embrasse encore une fois et nous prenons une douche pour ensuite dormir tout nu en étant enlacés.

Nous décidons de rester au loft ce soir car nous avons passé la journée à faire l'amour comme des malades. Nous discutons en grignotant des chips accompagné de bières.

- Te rends tu compte que je n'ai pas encore rencontré Oliver ton homme de maison?

- Oui, quand tu viens en weekend chez moi il n'est pas là ainsi que les autres jours.

- Je sais, au mariage aussi je ne l'ai pas vu.

- Tu sais Oliver travaille pour moi depuis 2 ans, il est très réservé même s'il me ramène des fois à l'ordre je le considère comme un père.

- Je suis impatiente de le rencontrer alors.

- Tu le veras constament puisque tu vas t'installé avec moi.

- Oui tu as raison, pour mes affaires comment on fera?

- Henri, André et mon père s'occupe de tout, Yoan sera content de sa nouvelle chambre la meilleure décoratrice de Lyon s'occupe de tout.

- Comme c'est adorable toute cet attention Jules je t'aime, je t'aime et je t'aime.

Je ris et l'embrasse tendrement, le goût de ses lèvres sont un peu salés à cause des chips, j'adore j'approfondis le baiser, elle profite pour caresser mon torse.

- On doit appelé notre champion.

- Oui quel parents irrésponsables nous faisons.

- Toi oui, moi non mon chéri.

Elle me tappe, je rigole encore, elle allume le macbook et lance l'appel vidéo.

- Arrange tes cheveux ma coquine.

Elle s'arrange, moi aussi ensuite nous appelons ceux qu'on aime, Yoan nous fait des signes avec ses mains ce qui nous faire rire, mon père nous raconte tout ce qu'il font avec Yoan ça nous soulage qu'il pleure pas on fait pleins de coucou à mes parents et nous coupons l'appel.

- J'ai un cadeau de mariage pour toi, attends moi je reviens.

Je la suis du regard tout impatient, elle s'assois en me tendant un coffret je l'ouvre en voyant une magnifique montre en or.

- Ma chérie tu n'aurais pas dû, tu es le plus beau cadeau que Dieu m'ai donné. C'est à moi de te couvrir de cadeaux.

- Je l'ai fait avec tout l'amour que je ressens pour toi, tu acceptes sinon je me fache.

- Bien sûr que je l'accepte crois moi que tu seras béat face à mon cadeau quand on rentrera.

- Je n'attends que ça, bon on fait quoi?

- On fait ce qu'on sais bien faire tout les deux.

- Tu crois qu'on n'a encore la force?

- Oui toujours prêt pour toi ma lionne.

- Demain je t'en supplie, cuisinons plus tôt je meurs de faim.

- A vos ordres Madame Connor.

Nous cuisinons collé serré, en se donnant des baisers au passage que c'est romantique l'amour. Nous dégustons ce délicieux repas confectionné avec amour, la vaisselle ainsi faite nous sommes sur la terrasse à contempler les étoiles nous parlons du futur. Leatiçia m'avoue qu'une partie d'elle voudrais rencontrer son père car malgré son abandon elle espère le revoir un jour et l'autre partie le déteste pour toute ces années de souffrance. La voir ainsi, partarger entre deux sentiments me brise parce que je ressens aussi cette sensation. Je lui propose de rentrer dormir, allongé à mes côtés je l'embrasse en la rassurant c'est avec plein d'espoir que nous nous endormons.