Les cendres du diable

22

Alvaro me détache les mains alors que jetait coucher tremblante et allaitante j'avais l'impression d'avoir le bas ventre en feu
Je tourne la tête sur le côté à fin de croiser son regard
Je prend sa chemise au sol avant d'entrer dans la salle de bain sentant un liquide chaud s'échapper de mon intimité, je baisse la tête voyant la semence de Alvaro descendre le long de mes cuisses. Je me mord la lèvre sentant mes joues chauffer je m'assieds vite sur le culotte et fais pipi
.....
je regarde Alvaro il était penchée légèrement au dessus de moi il me prend par la joue

Alvaro: faite attention à ce que vous faites maître *me fixe*

Moi: p...pourquoi vous avez fais ça ? *larmes au yeux*

Alvaro: ne vous approchez plus jamais d'un autre homme *me serre la nuque* plus jamais

Moi: V...vous me faites mal Alvaro

Il me lâche avant de défaire les quelque moutons mis sur sa chemise et se me caresser les seins me faisant perdre la tête pitié qu'il arrête je vous en supplie

*le lendemain

J'ouvre les yeux à moitié réveiller et à moitié endormi, Alvaro n'était pas là comme vous pouvez le deviner
Je décide alors d'aller faire ma toilette je porte mes vêtements de la veille une fois fais j'attend qu'on frappe à ma porte et sort je rejoint Alvaro et ses hommes dehors dans la voiture
Nous prenons la route en silence. Vous n'avons pas passer la nuit ensemble ça serais idiot de penser que Alvaro puisse passer la nuit dans les bras d'une femme.

La route me semblais bien plus longue cette fois, le soleil battait son plein on pouvais l'observer à travers les fenêtre
Je me retrouve éjecté de mes pensée par une mains qui saisi mes écouteurs les arrachant c'était Alvaro

Moi: rendez les moi !

J'essayes de lui prendre des mains ce qui nous lance tout les 2 dans une luttes,
Je me retrouve assez vite sur lui et la seconde qui a suivis fu tellement brusque que je n'ai eu le temps de réaliser la situation
Alvaro m'embrassais fiévreusement le cou alors que mes mains se baladaient sur son corps. Assez vite je sent son érection qui tape à mon entre extrêmement vite , tellement que j'y l'impression que ceux-là avais pris 10 secondes. Je la sentais grandissante ce qui faisais monter une certaine chaleurs en moi que je n'arrivais pas à contrôler.
La tête penchée sur le côté à fin de lui laisser libre accès à mon cou des souffle saccadé et lourd m'échappais.

Je descendis mes mains jusqu'à son tailleurs que je défais avec la plus grande habilité. Ces mains descendant à mes fesses qu'il commence alors à caresser repousser ma jupe qui ne tenais plus bon.
Au même moment mes doigts glacer s'introduisent étroitement dans son boxeur venant lui arracher un grognement, à son coucher je pouvais sentir des veines férocement dressée laissant comprendre que son érection était douloureuse, je libère son anatomie qui était à l'endroit avant de le sentir se dresser  vigoureusement  touchant alors mon pas ventre presque accessible de par ma jupe courte qui était visiblement remontée

Mes lèvres viennent rejoindre les siennes avant de s'aventurer dans un rythme endiablée, toute logique nous avais quitté, toute conscience, tout remord, tout avais disparu quand nos corps avais compris que dans quelque heures qui ne pourrais plus se chercher de la elle manière

Ces mains se baladais sur mon corps tendis que la mienne c'était lancée dans une fellation  qui ne fais que rendre son érection encore plus redoutable, des grognement rock s'échappe de ces lèvres.
Sa main glisse étroitement entre mes cuisse pour venir pousser ma culotte sur le côté avant de venir repositionner ses mains sur mes hanches à fin de me soulever légèrement.
Il se présente devant mon entre m'attachant un gémissement, me regardant droit dans les yeux les lèvres entre ouverte, je ressentais chaque poussée chaque centimètres de sa verge je la sentais remonter en moi un souffle de bien être me traverse alors que mon front venais coller le sien.
Il guide mes mouvement alors que mes lèvres ne laissais s'échappait que de lourd gémissement, seuls le bruit de nos ébat était audible dans le véhicule nos souffles qui se mélangeais