Coucou, bon désolé les chapitres son cours, mais en moment, j'ai beaucoup de mal à écrire, j'ai l'impression que je ne progresse pas et que je n'arriver à rien. En bref petit coup de mou.
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Toute ma vie a été construite sur des mensonges. J'ai toujours su que quelque chose n'aller pas dans cette famille, vu le comportement de mon père et la soumission de ma mère. Mais jamais je n'aurais pensé cela, moi adoptais.
Le froid glacial de décembre fait frissonnait tout mon corps, je remonte la fermeture de ma veste et croise les bras autour de ma poitrine pour me réchauffer un minimum.
Malgré les idées noires qui traversent mon esprit, je peux être fier de moi, j'ai redressé la tête et j'ai dit ce que je pense à mon père enfin celui qui m'a élevé. Une chose que je n'avais encore jamais eue le cran de faire.
J'arpente les rues de Paris à grands pas, la nuit noire c'est installer et le peu d'éclairage qui échappe dès lampadaire ne me rassure pas du tout. Je m'arrête finalement sur un ponds et admire la saine. Une fois de plus des pensé néfaste vienne s'introduire dans ma tête. Je me sens si mal, j'ai l'impression d'être brisé de l'extérieure comme de l'intérieur. Sans que je me rende réellement compte de ce que je fais, me voilà derrière la rambarde. Il a gagné, je suis complètement perdu, je ne s'ai même pas ce que je dois faire. On va dire que j'ai toujours été obliger de demander la permission avant de faire quoi que se sois. Mais là je suis toute seule et il va falloir que je prenne la meilleure décision. Deux choix s'offrent à moi, sois que saute est rejoint mon frère dans les étoiles, sois je reste sur cette terre minable et me bat pour que justice soit faite. J'ai une folle envie d'opter pour la première, quoi que je fasse, il sera toujours plus fort.
Je pousse un profond soupire et lâche une main, je suis comme suspendu au-dessus du vide. J'hésite fortement à lâcher la deuxième, si je prends se risque, je ne pourrai plus revenir en arrière.
Fait le, me cris ma conscience et tu seras libéré.
J'essaie, mais je n'y arrive pas, j'ai trop peur et je ne suis qu'une lâche, tout comme mon père.
Je reste au moins une dixième de minute, accrocher là dans une position peu confortable me demandant pour la énième fois, pourquoi nous en sommes arrivés là.
Un bruit de moteur que je connais trop bien me fait revenir à la réalité. Je pris pour n'être que transparence. Mais la moto ralentit et finit par s'arrêter à quelques mètres de moi.
– Arya. la voix paniqué de Yann me fait rire. Malgré la colère que je ressens à son égard, je me m'empêcher d'être soulagé de le voire. Un mois, c'est peu mes pour moi, c'est comme s'il s'était passé plusieurs années sans se voir se parler ou même se toucher. Il me tellement manqué.
Sa main attrape fermement mon poignet et il laisse échapper un soupire de soulagement avant de me lancer.
– putain mes qu'est-ce que tu fous, tes compléments folle.
Et voilà, j'aurais dû me douter que notre retrouvaille se passerait comme cela. Il devrait apprendre à être aimable de temps en temps. Je prends la voix la plus féroce que je peux et lui répond.
– je n'ai pas besoin de recevoir des leçons de morale de ta part, tu as fait des choix et j'ai fait les miens.
Son visage se décompose sous mes yeux, merde j'y ai sûrement été peux peu fort. Je reprends avant qu'il me croie bonne à enfermer.
– je voulez juste admirer là vu de plus près. Ne vas pas t imaginer des choses.
Il ne me répond pas et me hisse de l'autre côté. Je ne sais pas si je dois le remercier ou lui crié dessus il m'a tout de même brisé le cœur.
– monte je te ramène chez toi.
Il est hors de question que je remette un pied chez eux.
– non, c'est gentil, mais je préfère marcher.
– ne discute pas, tu montes à point, c'est tout. Le ton qu'il empois ne me plaît pas du tout. J'ai passé un moi désastreux par sa faute et monsieur se permet de me donner des ordres.
– j'ai dit non, répondis-je en colère. Rentre chez toi et laisse-moi tranquille, c'est toi-même qu'il la dit, c'est mieux si l'on ne se voix plus.
– je sais ce que j'ai dit, mais j'ai été con, maintenant tu vas monter sur cette moto de grès ou de force, je te préviens.
J'exécute, de toute façon il ne lâchera pas l'affaire et moi tout ce don, j'ai envie, c'est de dormir.
Je prends le casque qu'il me tend et l'enfonce sur ma tête.
Le moteur gronde et nous voilà partis. Comme la première fois mon ventre se contracte, à croire que je m'habituerais jamais à cet engin de malheur.
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toi et moi pour toujours et à jamais
RomanceAimer peut détruire, mais aussi permettre de partager de nombreux moment bons ou mauvais, avec des instants de complicités. Arya 17 ans va en faire les frais. Jeune fille avec deux personnalités : pleine de vie, et légèrement rebelles au lycée. Mais...