Chapitre 31 deuxième partis Arya

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Je tourne la tête de gauche à droite. Affoler, paniqué. Tous ces passés tellement vite. Pendant quelques secondes, je suis incapable de réfléchir. Puis je reprends peu à peu mes esprits. Yann est à terre gisant dans une mare de sang. Je crie tout mon désespoir, mais surtout la rage qui ses emparés de moi. Pourquoi maintenant et de cette façon aussi lâche, sois telle. Nous étions tellement heureux, il y a quelques minutes, et là tout s'écroule.

Malgré mes jambes tremblantes, je cours vers Yann. Il n'a pas le droit de me laisser, pas comme ça. Un nouveau bruit assourdissant se fait entendre et moins d'une seconde plus tard. Une douleur insupportable inonde mon l'épaule.

Mes pieds continus leurs routes, comme une marionnette qu'on oblige à avancer. Puis je m'écroule sur le corps inanimé de Yann. Comme si l'on venait de me couper les ficelles.
Une larme solitaire coule le long de ma joue, quand j'entends son cœur battre. Faiblement mes il bat.
À tâtons, car je suis incapable de garder les yeux ouverts, je cherche sa main que je finis par trouver.
Nos doigts s'enlacent doucement. j'aimerai faire plus, mais je suis désarmé. Toute mon énergie quitte peu à peu mon corps puis je sombre dans un grand trou noir. Aux images plus effroyables les unes que les autres.

le réveille se fait difficile. Tous mes muscles sont loures comme de la pierre et douloureux. j'ouvre les paupières mais les referment presque aussitôt, aveuglées par la lumière. Tout ce don j'ai pu apercevoir pendants sa cour instante. Sont des murs blancs. Les souvenirs des derniers événements reprennent leur place dans ma tête. Mon ventre se contacte. Yann ou est Yann.
j'ouvre une nouvelle fois les yeux et le cherche du regard. Mais je ne le trouve pas. Je suis seule dans cette chambre. 

_ Yann hurlé-je au bord des larmes. Yann.

Je tire sur la perfusion, il faut que je sorte d'ici et que je le retrouve.
Une infirmière arrive en trombe dans ma chambre, suivie d'un médecin.
_ mademoiselle dit-elle calmé vous. Votre ami va bien.
Ses mots ne me rassurent pas, il faut que je le voie pour en être sûr.

_ je veux le voir demandé-je en continuant de tirer comme une malade sur la perfusion.
_ non pas pour le moment répond-elle en reposant mon bras sur le lit.
_ votre ami a été placé en coma artificiel. Sa blessure et grave.
Je regarde le médecin m'expliquait la suite pour Yann et dans l'état qu'il se trouve. Je n'arrive pas à le croire. Des flots de larmes coulent le long de mes joues. 

_ Va-t-il sens sortir demandé-je entre deux sanglots.

_ votre ami et jeune et fort, il a tout ses chances.
_ quand puis-je le voir.
_ demain pas avant, vous avez tous les deux besoins de repos. Nous avons été dans l'obligation de prévenir la police en cas de blessure par balle. Dans quelque jours, ils viendront vous poser des questions sur l'accident.
j'acquiesce, de toute façon ses pas comme si on me donnait le choix.

_ je vais rester avec vous encore un moment, je dois changer votre pansement et vous dire quelque chose.
_ je vous écoute dis-je sens même la regarder.
_ Pour vous administrer le bon traitement, car vous étés arrivés inconscientes. Nous avons dû vous faire plusieurs examens. Votre groupe sanguin, vos allégis. Etc...
_ oui et, j'ai quelque chose qui ne va pas.
_ non tout va bien, mais vous étes enceinte.

j'écarquille les yeux. Ses une blague ou alors, ils se sont trompé. Je ne vois pas d'autre explication.

_ non ses pas possibles, il a des symptômes normalement, non . Et moi je n'ai rien eut.
_ pas forcément chaque grossesse et différente.
_ Vous éte vraiment sûr de vous.

_ nous avons effectuez-le test deux fois alors oui je suis sûr.
Je plaque mes mains sur mon visage. Je ne peux pas avoir un enfant. pas maintenant, je serais incapable de l'élever.
_ la décision vous appartient me dit l'infirmière avant de quitter la chambre.

Complètement perdu, je sors du lit. Avec ou non leur autorisation il faut que je voie Yann. Je décroche le petit sac rempli de liquide que je garde dans ma main. Car je ne ses pas comment retirer la perf de mon bras. Le couloir et vide, mes jambes sont faibles, mais je parvient tout de même à me déplacer. Une part une je vérifie les chambres. Puis fini part le trouver dans une chambre similaire à la mienne. Mon cœur se serre, jamais je n'aurai pensé voir Yann dans cet état.

j'approche et presse ma main dans la sienne.

_ je t'aime tellement dis-je en sentant les larmes coulées une nouvelle fois. Tu n'as pas le droit de me quitter, tu entant.
Je pose sa main sur mon ventre et reprends.
_ de nous quitter.
_ mademoiselle, nous avons pourtant été claire. Pas de visite aujourd'hui.
Je sursaute en entendant l'infirmière.


_ venait, je vais vous raccompagner à votre chambre. Je lâche la main de Yann malgré moi.
Durant ce cours trajet, j'ai pris une décision. Yann et sur ce lit part ma faute. s'il ne m'avait pas rencontré, jamais les chose n'aurez pas dégénéré ainsi. Il a voulu me libérer et voila ou nous en sommes. Je ne veux pas que quelque chose d'autre lui arrive à cause de moi.
_ Serait-il possible d'avoir une feuille et un crayon demandé-je à l'infirmière
_ Installez-vous je vous apporte ça tout de suite.

_ je fais ça pour toi dis-je à moi-même. Et j'espère qu'un jour tu comprendras.


toi et moi pour toujours et à jamaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant