chapitre 31 première partie Arya

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les semaines qui ont suivi, on était pour le moins étrange. Yann a pris à mon goût les menasse de mon père beaucoup au trop sérieux. j'ai l'impression que mon petit ami a été remplacé par un garde du corps. Il ne m'écoute pas, ou seulement d'une oreille. Il est sur ces gardes 24 heures sur 24. je suis très loin de la vie que javez rêvé avec lui.

_Yann lui dis-je. Je vais prendre l'aire, j'étouffe ici.

_ non, tu restes là. m'ordonne-t-il.

_ je ne tes pas demander la permission répondis-je une pointe de colères dans la voix.

_ ne discute pas, c'est non le danger et partout.

_ le danger te monte surtout à la tête. n'arrivant plus à contenir mes émotions, je plaque mes mains sur mon visage pour cacher mes larmes. Et part me réfugier dans la chambre en prenant bien soins de fermer la porte à clef derrière moi.

_ Arya chuchote-t-il derrière la porte. Je suis désolé, mais comprends-moi. Une fois je tes laissés partirent sans moi. Et tu as fini séquestré chez ton père. Je ne veux pas d'une telle chose se reproduis.

j'ignore, c'est dire. Il tient, le même discourt depuis que nous sommes revenus.

_ Dès qu'il sera neutralisé reprend. Yann. Nous pourrons enfin être heureux.

j'ouvre la porte et manque de le faire tombé.

_ et si malgré tout ce que tu fais pour le mettre sous les barreaux. Il reste en liberté. Que vas-tu faire me garder, enfermer ici, telle une prisonnière. Tu m'infliges le sort que tu lui resserves, je ne trouve pas cela juste.

_ il a menasse de nous tuer Arya. ce n'est pas rien.

_ des paroles en l'air, jamais il ne ferait une chose pareille. Maltraiter ses enfants ok. Mais jamais il ne serait capable de tuer quelqu'un. Agacer, il tire nerveusement sur ses cheveux.

_ tu la vue comme moi. Tu as vu son regard quand nous sommes partis. Il veut notre peau, et il est hors de question que je prenne se risque.

_ je vais devenir folle.

_ ce n'est plus qu'une question de jours, sois patiente.

_ ses aussi ce que tu m'as, dit y a deux semaines, et nous sommes toujours au même point.

_ il a plus de couilles que je croyais, mais il ne sent sortira pas.

Je ne pense pas que se soi aussi facile, mais je préfère garder ça pour moi. Espérer voila tout ce qu'il me reste pour pouvoir avoir un jour une vie normale.

Devant mon silence, il m'attire à lui. j'aime son contact, toujours si rassurant.

Sa main se pose sur ma nuque puis glisse-le long de mon dos.

_ je t'aime Arya, dit-il comme je n'ai jamais n'aimer personne. Je ferais tout ce qu'il est en mon pouvoir pour que tu est un avenir heureux à mes côtés.

_ je t'aime aussi, souffle-je simplement.

Nous sommes interrompus par son téléphone. Il le saisit, regarde de quoi il s'agit. Puis me lance un regard des plus joyeux.

Je lève un sourcil interrogateur.

_Tons vœux es exaucés, tu vas pouvoir sortir d'appartement.

_ ses supers, mon père a était arrêtés ?

_ non, mais tu es devenu tata, il y a une heure. Et moi tonton, enfin, bref, il veuille que l'on aille les voir.

Je lui saute au cou et l'embrasse à pleine bouche, depuis que je suis avec lui, j'ai pris de l'assurance.

Il s'écarte délicatement de moi. Avant de me dire.

_ On y va, je ne veux pas te priver de voir le bébé. Mais on reste tout de même sur nos gardes d'accord?

Acquiesce. Toute la colère que j'éprouvai face à cette situation a complètement disparu.

Nous sortons main dans la main, j'ai presque envie de sauter sur place. Une page et sur le point de se fermer, et une autre c'est ouverte.

Nous nous rendons à l'hôpital en métro, c'est beaucoup plus long. Mais beaucoup plus sûr selon Yann. Je ne perds pas de t'en discuter sur un sujet au qu'elle, je n'aurais pas le dernier mot. Je préfère savourer ce moment de bonheur qui nous est offert.

_ un jour ce sera à son tour, me dit-il amuser.

_ on n'a pas tout le temps dit pensé, répondis-je et toute la vie devant nous.

  La station de métro et dessert, c'est bien la première fois que je vois cela. Yann semble inquiet. Il regarde partout autour de lui.

_ que se passe-t-il, demandé-je. Inquiète mon tour.

_ mauvais pré-sentiment. Répondit-il de plus en plus agité.

Avant que j'aie eu le temps de répondre, il se penche sur moi et me chuchote.

_ cours et ne te retourne pas.

_ quoi ? Pourquoi ?

_ cour hurle-t-il. Prise de panique, je fais ce qu'il me demande. Un bruit assourdissant me fait m'arrêter net. Yann ce tien à quelque mètre devant moi. La main sur son ventre couvert de sang.

toi et moi pour toujours et à jamaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant