Chapitre 19 troisième partis

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Je n'ai aucunement l'intention de rentrais chez moi. J'ai accepté de le suivre, ce qui ne veut pas dire que je dois l'écouter.

De gros flocons de neige viennent écraser sur nous, ce qui interrompt immédiatement mais pensait. C'est à la fois magnifique et effrayant. Étant petites, j'adorais faire des bataille de neige avec mon frère, mais depuis qu'il a disparu beaucoup de choses a changé. Y compris notre petit rituel que se passer chaque hiver.

_ on va devoir s'arrêter quelque part ça va devenir dangereux. Me dit Yann en tournant légèrement la tête vers moi.

_ tu as peur ? demandé-je sans tenir compte de mes propres angoisses.

_ oui, j'ai peur pour toi, je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose part ma faute. C'est parole me touche en pleine cœur. Je resserre mon étreinte, puis chuchote, un petit, je t'aime que moi seul peux entendre.

Il finit par s'arrêter devant une petite maison, que je n'aurais pas remarquée s'il avait continué son chemin. Il est décent et je limite. Yann frappe à la porte puis entre sans même attendre de réponse. Je le suis, mais reste tout de même bien derrière lui.

Nous atterrissons dans une pièce qui doit probablement être le salon. La décoration est très étrange mais toute en couleur, du noir, du vert et du rouge. L'odeur qu'elle dégage en revanche me donne envie de vomir, si je dois dormir ici, un bout coup d'aération ne sera pas de refus.

_ Poto ou tu te cache ? Crie Yann, Poto, c'est très bizarre comme prénom ou alors ce n'est qu'un surnom ou un diminutif. Aussitôt un homme très grand apparaît dans l'encadrement d'une porte.

_ et mec, sa va ? que me vaut cette visite.

J'essaye de me faire le plus discrète possible. Mais manque de bol, il m'a remarqué, son regard aussi rouge que mes mains gelées me scrute de long en large. Je me sens très mal à l'aise.

_ tien reprend t'il, je vois que tas apporté le dessert. Je rêve, où ce mec limite flippant me compare à de la nourriture. Je lance un regard apeuré à Yann qui me répond pour un clignement de tête.

_ non pas touche, elle est à moi. Je soupire de soulagement, en espérant que se cher poto, ai compris le message. Yann passe son bras autour de mes épaules et m'attire vers lui.

_ Arya je te présente Serge, un bon pote sur qui on peut toujours compté. Et Serge voici Arya. J'hésite un moment à serrer la main qu'il me t'en, puis finit par me résignés. Si Yann m'a emmené ici, c'est qu'il a forcément confiance en cette personne.

Les deux hommes partent dans une discussion qui ne m'intéresse pas du tout. Je me contente de les regarder à tour de rôle un sourire niais sur le visage. Au bout d'une petite demi-heure, qui m'a parue être une éterniser. Yann comprend enfin que mon corps est sur le point de ce transformer en classons, pour cause mes vêtements trempés.

_ vient avec moi je vais te donnait qu'il te faut pour te changer. j'obtempère sans discuter. Nous traversons un petit couloir qui mène à une petite chambre très sobre contrairement au reste de la maison.

_ c'est ici que l'on va dormir cette nuit me dit-il. Je suis à la fois angoissé et excité à l'idée de passer une nouvelle nuit avec Yann. Il se dirige vers une armoire, puis en sort des vêtements qu'il me t'en. Des affaires de femme a priori.

_Ça appartient à qui demandé-je curieuse.

_Sûrement à une ex de Serge.

Je ne trouve pas très correcte de mettre les vêtements de quelqu'un d'autre sans avoir eu sa permission. mais, j'ai tellement froid, que je ne me vois pas faire autrement.

Sans perdre une seconde Yann, se débarrasse de c'est fringue trempé. Je ne peux m'empêcher de regarder, je ne me lasserais jamais de ce corps si parfait.

_Tâtent quoi là, il ne vont pas ôté tout seul c'est vêtement. Je lève timidement les yeux vers lui. La chaleur qui se propage dans mes joues m'indique que je dois être aussi rouge d'une égressive.

_ je ... Je ne vais attendre que tu termines.

_tu peux-y allé sens crainte, je n'ait pas l'intention de te mater. Le ton qu'il emploi me fait clairement comprendre qu'il m'a prise sur le fait. Mon dieu, je n'est qu'une envie, c'est de me cacher sous le lit.

_ ok très bien, mes tu te retourne.

Il sourit de toutes ses dents puis s'exécute. En quatrième vitesse, je retire mes affaires que je jette à côté de moi, tout en jetant quelque regard vers Yann, qui a priori na ne pas bouger d'un pouce. J'enfile ce qui ma étai prêté et m'assois sur le lit. J'ai déjà plus chaud, même si c'est légèrement trop grand pour moi.

_ j'ai fini dit-je, à attention de Yann. Il se retourne mais le sourire qui illustrait son visage, il y a encore quelques minutes a disparu.

_Ça ne va pas lui mangé-je inquiète.

_ si très bien. Répondit-il froidement. Ok, là c'est sur, il a quelque chose contre moi, mais je n'ai pas l'intention de lui demander. J'ai déjà eu mon compte aujourd'hui.

Au bout de quelques minutes particulièrement pesantes, Yann prend la parole.

_ je peux te poser une question plutôt indiscrète. Je suis agréablement surprise de voir que le son de sa voix, c'est nettement adouci.

_ va répondit-je.

_ c'est quoi toute c'est cicatrice que tu a sur le corps . Et ne me dit pas que c'est à cause d'un rosier, on m'a déjà fait le coup. Je suis prise au dépourvu, je ne m'attendais pas à cela. Je tire nerveusement sur mes doigts et dis tout simplement.

_ on choisi c'est amis, mes pas sa famille.

_ je veux savoir qui ta infliger ça me répondit-il énervé.

_ ça na plus importance, maintenant le problème est réglé.

_ sen n'a pour moi. Cri t-il, je veux que tu me dises tout de suite son nom.

Le vert clair de ces yeux et maintenant devenus aussi noirs que mon pantalon. Sa mâchoire, c'est crisper . Il commence à me faire peur. Instinctivement je me lève et recule, m'arrêtant quand je sans le mur derrière moi. Yann de lève à son tour et vient vers moi.

_ tu ne sortira pas de cette chambre t'en que tu ne m'aura pas dit de qui il s'agit. insiste-t-il. Je baisse les yeux et réponds dans un murmure.

_ c'est le fumier qui m'a élevé.

Aussitôt le point de Yann vient s'écraser contre le mur tout pré de ma tête. Je sursaute.

_ je m'en douter hurle-t-il. Pourquoi, pourquoi ma tu jamais rien dit.

_ je ne pouvez pas en parler, hurlé-je à mon tour, il m'a toujours fait peur.

_ je n'arrive pas à comprendre comment un père peu torturé sont enfant.

_Peut-être que c'est parce que, je ne suis pas sa fille.

_ comment sa demande-t-il.

_ mes parents mon adopté, je les appris que ce soir.

Yann recule et s'assied sur le lit. Je observe qu'elle instant puis ramasse mon manteau par terre. Il faut que je sors de cette maison, depuis ce matin tout part en vrille. Je n'ai qu'une envie a l'heure qu'il est, c'est de partir très loin sans jamais me retourner.


toi et moi pour toujours et à jamaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant