Captive du roi

L'après

Posant un regard sur la jeune femme qui visiblement avait décider de le fuir, Caleb affichait un regard neutre en refoulant sa colère.

- Vous avez décider de ne plus parler.

Les bras collés contre sa poitrine, elle leva les yeux timidement en secouant de la tête.

- J'ai pour but que vous vous lassiez de moi le plus rapidement possible déclara-t-elle

Éclatant de rire fasse à la mou boudeuse de la jeune femme, Caleb pencha son corps au dessus de la table car elle ne faisait qu'accroître son désir pour elle.

- Je suis un homme patient Sirenna je ne me lasserai jamais de vous.

- Mais pourquoi moi ? Demanda la jeune femme

Se levant d'un bon, Caleb n'avait pas mis longtemps à la rejoindre se mettant derrière sa chaise, Caleb respirait son odeur naturelle enivrante avant de répondre.

- Vous êtes celle que j'attendais depuis longtemps ma réponse vous semble assez complète ?

Frissonnant à son souffle contre son oreille, Sirenna peinait à se concentrer. Personne ne lui avait dit de tels mots était-ce de la sincérité, Sirenna se refusait à le croire.

- Elle est incomplète vous ne me connaissez même pas.

- Bien-sûr que je vous connais riposta l'homme d'une voix rauque et puis une fois marié, j'aurai tout le temps de vous découvrir.

La respiration saccader, Sirenna cherchait à calmé tout son être qui vibrer malgré elle à cette voix

- On n'épouse pas les gens par simple fantasme !

- Un fantasme ? C'est vrai que vous m'en inspirer beaucoup déclara-t-il en effleurant ses cheveux

Reculant sa chaise malgré son corps qui bloqué tout passage, Sirenna buttait contre les pieds de la table le corps frêle en se retournant.

- Sa suffit ! Allez chercher une autre femme pour vos jeux sadique.

La bouche vivement touché par des doigts virile, Sirenna bascula son corps en arrière contre la table, prise dans ses filets Sirenna le voyait approcher sa bouche de la sienne en lui saisissant le menton, sa peau électrifiée elle poussa une plainte à demi voix quand son visage si proche laissé sa barbe glisser dans son cou.

Respirant le souffle tiède de la jeune femme, Caleb explorait son visage en proie d'un désir violent, prêt à l'embrasser avec ardeur, Caleb se contentait de savourer ce moment car malgré l'empreinte qu'elle laissait sur lui à chaque moment il savait qu'elle n'était pas prête. Relâchant sa prise sur son menton délicat, Caleb recula à contre cœur.

- Il n'y a rien de sadique à s'éprendre d'une femme déclara-t-il en s'éloignant d'elle.