Épilogue

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Après Londres, Sirenna n'avait jamais plus entendu parler d'Erwan, Caleb avait coupé court au voyage en la ramenant en urgence à Saharazan en prenant soin d'elle et Sirenna n'avait plus la force de le contredire quand ses ordres dépassé tous les entendements.

Les jours passé et son amour pour elle s'étendait un peu plus chaque jours, son ventre arrondis donné à son corps toute les formes qu'il avait imaginé tant de fois en secret.

Sa grossesse bientôt achevé, Sirenna portait les traits d'une femme radieuse malgré les derniers jours difficiles et Caleb se demandait où elle cherchait toute la forces nécessaires, il ne lui avait suffi d'un seul regard posé sur elle lors de son accouchement pour comprendre, alors que lui était en passe de tomber fou, elle se concentrait sur ses respirations tout en poussant assez fort, ses doigts emmêlés dans les siens elle serrait sa main en grimaçant assez pour l'inquiéter d'avantage.

Dans un dernier supplice, leurs deux fils serrés contre sa poitrine, Sirenna posa ses lèvres sur leurs petites têtes en fermant les yeux apaisée par les douces caresses de Caleb sur son visage en sueur.

- tu as étais fantastique mon amour.

Arcan un sourcil, Sirenna considérait ses fils avec la nette impression qu'il se jouait d'elle, alors qu'ils gazouillaient collé l'un contre l'autre, Sirenna sentait la chaleur de son mari se poser sur leur lit.

- que faite vous mes amour susurra-t-il contre son oreille.

Basculant sa tête contre la sienne, Sirenna posa sa main sur sa joue bronzé.

- je commence à trouver leurs points faibles pour les différencier.

- fait moi partagé souffla-t-il d'une voix douce en caressant la jambe de l'un d'eux.

- fahd a la même bouche que toi fit-elle remarquer et Fahim regarde son nez reprit elle en désignant celui-ci en soulignant sa petite bosse.

Rejoignant sa déduction, Caleb avait saisie l'un de ses fils en embrassant sa joue.

- une fois quoi votre mère vous aura totalement identifié, nous n'aurons plus besoin de ses pyjamas déclara l'homme en parlant à son fils moqueur.

Tapant son épaule en souriant, Sirenna avait calé Fahd contre sa poitrine.

- je les ai totalement identifiés mais il se trouve qu'il se joue de moi avec leurs regard perçant rétorqua Sirenna en esquissant un sourire un peu comme toi.

D'un bras puissant, il s'était saisie de sa taille en glissant ses lèvres sur sa bouche.

- te voilà prisonnière de nos regard ténébreux souligne l'homme d'une voix rauque.

- j'espère bien faire pencher la balance très vite rétorqua-t-elle les yeux plissés.

Reculant alors que Fahim s'agitait dans son bras, Caleb détaillait le visage de sa femme en glissant une mèche de ses cheveux entre ses doigts.

- une petite fille qui puisse être aussi belle que toi ? Il me tarde mon ange.

- je t'aime Caleb

- et moi plus que de raison habibi.

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Captive du roiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant