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Le lendemain, Sirenna s'était assise au milieu de sa chambre en tailleur sans prendre la peine de s'asseoir sur le canapé, livre à la main, elle avait passé ses doigts dans ses long cheveux en lisant son livre avant de le reposer sur le tapis morose en cette journée, elle regrettait la veille, Amina avait rempli son cœur d'une absence si regretter de sa mère en retrouvant la joie d'un partage féminin qu'elle avait perdu depuis tant d'années, mais l'absence de Caleb c'était montré bénéfique résignée à rester ici, Sirenna sous les confidence de sa tante en avait appris plus sur l'homme d'ordinaire caverneux. Critiqué par la presse en le considérant comme un homme sans le moindre sentiment, sa réputation avait changé en rassemblant son pays d'une main de maître aimé et adoré, il avait sût faire de cette critique une force, perçu comme un dangereux ennemi plusieurs cheikh dont le nom n'était que figurant c'était rallié à lui et de bonne grâce Caleb leurs avait donné une chance inouï en leur offrant la possibilité d'être les protecteurs des villes voisine. Complètement hypnotisé par ces révélation, Sirenna en était restée bouche baie et l'était encore le portrait déjà bien remplie qu'elle avait fait de lui s'ajouter des confidences effrayante, dont Sirenna en frissonnait encore.

- bonjour Habibi

Posant ses mains sur le tapis, Sirenna fit volte-face en y trouvant l'homme dangereux dont l'histoire dépassé tout ce qu'elle aurait pût imaginait.

- bonjour murmura-t-elle.

D'un léger sourire transperçant il n'avait pas mis longtemps à la rejoindre.

- comment allez-vous ?

Accroupi près d'elle Sirenna s'était redressée.

- bien et vous ?

- maintenant... oui

De sa voix profonde, Sirenna avait frissonné un instant avant qu'il ne l'aide à se lever.

- vener j'ai quelque chose à vous montrer.

Serrant sa main dans la sienne, Sirenna le suivait sans un mot alors qu'il l'entraînait dans la cour principal, Sirenna balayait le grand jardin époustouflée le soleil qui refléter sur les colonnes de marbres lui donner une sensation de brulure sur ses joues, malgré ses ballerine qui séparer le sol de ses pieds, Sirenna avait l'impression qu'elle fondait à chacune de ses pas, Caleb était passé derrière lui en saisissent sa taille d'un mouvement de tête elle essayait de regarder derrière elle avant qu'il ne passe sa tête contre son visage.

- Ce n'est pas encore fini mais joyeux anniversaire souffla l'homme contre sa joue en l'incitant à regarder devant elle.

Prise d'une vague d'émotions mélanger à une gêne incontournable, Sirenna poussa un hoquet de surprise en regardant une serre en forme de pyramide se construire au loin, cela faisait des années qu'elle ne fêter plus son anniversaire et ce cadeau dépasser toute les folies.

- C'est pour moi ? Demanda Sirenna encore sous la surprise

- Pour qui d'autre

- Vous n'auriez pas dû c'est beaucoup trop s'exclama-t-elle en se retournant

- Ça ne vous fait pas plaisir ? Demanda l'homme le visage soudainement fermé

- Bien-sûr que si répondit-elle hâtivement

Capturant ses mains, Sirenna baissa les yeux sur elles en les voyant disparaitre dans les siennes.

- Il faudra prendre soins de cette serre sous cette chaleur croyez-vous en être capable ? Interrogea ce dernier une lueur de défi dans les yeux.

Sirenna savait très bien qu'à ses mots, il voulait lui faire comprendre que son destin, il l'avait déjà tracé lui-même fallait-il le mettre en colère à peine arrivé ?

- Oui murmura Sirenna en cachant l'expression de son visage quelque peu embarrasser.

Embrassant ses mains satisfaites, il soupira satisfait en hochant la tête.

- ce soir nous dinerons sur le balcon aller vous préparer annonça-t-il en relâchant ses mains.

Ne se faisant pas prier, Sirenna était passé devant lui en accélérant le pas pour le fuir et surtout reprendre ses esprits, après des minutes de désespoir à chercher sa chambre, Sirenna avait renfermé les portes en se collant à elles, loin d'imaginer qu'un parfait inconnu puisse lui souhaitez son anniversaire avec un cadeau sûrement coûteux, Sirenna posa une main sur sa bouche.

- seigneur murmura-t-elle

Détournant la tête vers son lit, Sirenna ouvra les yeux en grand en hésitant à s'approcher du paquet déposé sur celui-ci. Le ruban rouge détaché, elle s'attardait à ouvrir les deux papiers rose, dans un souffle de stupéfaction Sirenna détailler la robe rouge vif le cœur battant, la posant sur le lit elle mordillait ses ongles nerveusement était-ce un autre cadeau ou un moyen de lui dire que ce soir il posséderait son corps ? Vacillant un instant, Sirenna à l'aide de ses mains s'était assise sur le lit le souffle coupé. 

Captive du roiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant