Black Mirror [Z. Malik | H. Styles]

Chapter Twenty Nine

Hello! Tout d'abord, je voulais m'excuser pour cet énorme retard, encore une fois, mais j'ai eu du mal avec les cours et les attentats et tout... Alors je pose que maintenant! Bonne lecture!

~Wednesday 1st October 2014, 9:12pm~Quality Inn Hotel~

Zayn's point of view

- Nico, on connait pas ce mec, ça peut être des paroles en l'air, essaya Harry en mettant ses chaussures.

- On le connait pas mais il nous connait ! Il connait même Sorenza, putain ! C'est un gros bordel !

Nico était putain d'énervé depuis qu'il était rentré avec les filles. Pour être honnête, je pensais qu'une d'elles avait encore merdé mais pour une fois, elles n'y étaient pour rien.

Un gars du nom de Paul avait parlé à Sorenza et avait menacé son père à travers elle. Apparemment, Stewart devait du fric à Nico mais pas qu'à lui.

Paul avait raconté à la brune que Rick Stewart devait un gros montant à un petit gang qu'il remboursait en dealant pour eux. Et il devait aussi de l'argent à Paul, de l'argent qu'il avait misé sur des champions qui avaient perdus et qu'il n'avait jamais donné, et il se remboursait en combattant lui-même.

Décidemment, ce gars était une putain de source à emmerdes.

- On suit quand même le plan ? demandais-je.

- Bien sûr que oui ! Je suis Nico Di Angelo, on est les Black Mirror ! On va pas se faire baiser par un petit organisateur de combats illégaux qui dope ses gars !

- Mais il a promis de se venger si tu faisais de mal à ce putain de mec ! hurla Sixtine qui portait encore sa tenue de sport. « On va pas risquer nos vies ! Et en plus tu sais qu'il s'intéresse à Sorenza, il l'a veut clairement dans ses champions ! »

- Il ne l'aura pas, putain ! Jamais personne ne touchera un seul cheveu de ma fille !

- T'as un plan ? demandais-je en voyant Sorenza rentrer dans la chambre avec les cheveux mouillés.

Elle était dans sa chambre depuis qu'elle était revenue à l'hôtel pour prendre sa douche et se rhabiller. Elle était vêtue tout de noir et son visage était dur. Je ne savais pas vraiment si elle avait peur ou si elle avait la rage. Si elle tenait de son père, elle devait être furieuse.

Elle sortit une petite clé de la poche de son sweat trop grand pour la donner à sa demi-sœur qui sortit à son tour pour rejoindre sa chambre au bout du couloir.

- Pas vraiment, je sais juste qu'on va faire sa putain de fête à ce gars.

- Pas d'armes à feu alors ?

- Nan, on utilise les bonnes vieilles méthodes pour buter ce mec.

- Mais on saura récupérer aucun centime, alors ?

- On lui prend sa marchandise et on va récupérer le reste de mon pognon au combat de demain.

- T'es sûr ? me risquais-je.

- Ce connard a menacé mon bébé. Il mérite bien pire que ce qu'on va infliger à ce fils de pute de Stewart !

- Je veux être là.

La voix de Sorenza s'était faite forte et distincte, pourtant c'était comme si je ne l'avais pas entendue.

- Quoi ? cria son père.