Chapitre II
La porte de la villa de mon grand frère et de ses meilleurs amis, s'ouvrit et je ne vis mon frère que quelques petite secondes, parce qu'il m'avait sauté dans les bras aussitôt la porte ouverte.
Il me serrait dans ses bras, alors que moi je ne lui rendais même pas son étreinte.
Je restais les bras ballants le long de mon corps, sans prendre la peine de lui faire croire des choses qui seraient des mensonges, parce qu'à la vérité, même son contact me répugnait.
C'est pourquoi, je ne tint plus et je le repoussais avec force et avec hargne , mon regard flamboyant de colère directement tourné vers mon frère et ses meilleurs amis.
N'ayant pas vu ma colère, mon frère ne se gêna pas pour continué à s'enfoncer et à me rendre encore plus hargneuse.
- Tu m'a tellement manqué ma petite soeur d'amour!
Je le regardais avec tout le mépris, la colère, et la douleur - que je cachais - que je ressentais pour lui, alors qu'avec un sourire niais je lui disais :
- Je t'ai manqué? Laisse moi rire!
Harry eut un regard que je qualifierais comme perdu, alors que ses yeux se faisaient inquisiteurs.
- Mais... qu'est-ce-que tu veux dire?
Décidèment, ça faisait mal de voir que son propre frère ne nous connaissait plus. Enfin, après tout j'étais habituée à la douleur qu'il m'infligé.
Après tout, c'était de sa faute si depuis trois ans je n'étais plus moi-même, mais plutôt l'ombre de ce que j'étais.
Avant, j'étais la figure même de la gaieté, de la joie et de la gentillesse. Maintenant, j'étais celle de la colère, de la haine, de la méchanceté, de la non-joie de vivre... J'étais devenue d'une certaine façon une personne qui voit tout en noire.
Obscure.
- Laisse tomber... Bref, dégage, j'ai une chambre à trouver moi! Marmonais-je méchamment.
Comme il ne faisait pas mine de bouger, je le poussais fort un bon coup, puis je passais devant lui avec mes valises , tel une furie.
Puis consciente que j'ignorais où se trouvait ma chambre, je me tournais et je pus remarquai pour la première fois les autres garçons.
Ils me regardaient tous, le regard complètement perdue, tout en étant choqués je dirais, alors que je les ignoraient et que je me tournais vers un avec des cheveux courts chatains, très musclés. Il me semblait qu'il s'appelait Lane, ou Liam. Je ne savais pas vraiment.
- Eh, toi c'est Lane, non?
Etonné, il me regarda les yeux interrogateurs, alors qu'il tournait la tête derrière lui.
- Oui, c'est bien de toi que je parle L'andouille!
Il me servit un sourire hautain, alors qu'il s'avanca vers moi et arrivé à seulement quelques petits centimètres de moi, tout en plongeant ses yeux dans les miens, il dit :
- Je ne suis pas malpolie tu sais, mais c'est bien toi!
Et je compris aussitôt qu'il s'aggissait de celui avec lequel j'avais "parler" avan de pouvoir entrer dans la propriété.
- Oh c'est vrai? J'en ai complètement rien à foutre!
Du coin de l'oeil, je vis la bouche de mon frère qui menaçait de tomber tellement il semblait choqué par mon comportement.
Et j'avais d'ailleurs raison, il était bel et bien choqué, parce que ce qu'il dit juste après, n'était qu'une façon de confirmer ce que je pensais bien.
- Je...tu n'étais pas comme ça avant...
- Sans blague? Non mais t'est vrai trop con, Harold!
Il tressaillit alors que je venais de l'appeler ainsi. Il n'aimait vraiment pas qu'on l'appel comme ça mais surtout, sur ce ton.
Il me défia du regard, alors que son regard se fit douloureux, et je compris que j'avais enfin réussis à lui rendre un mini centième de ce que j'ai déjà vécus par sa faute.
La douleur, la tristesse, le choc...
- Et pourquoi ça? Demanda-t-il sur un ton qu'il voulait assuré mais qui suintait de tristesse.
- Parce que tu ne te rends pas compte de la vérité, lui crachais-je au visage.
- Ah oui? Et qu'elle est cette vérité?
Je ne sais même pas pourquoi j'avais décider de lui répondre, tout comme je ne savais pas d'où me venait l'inspiration que j'eus.
Enfin, si j'avais une petite idée.
C'était comme toujours la colère, la douleur, la trahison, la rage et tout ces sentiments négatifs qui dirigeaient mes moindres faits et gestes. Et encore plus mes paroles.
- LA VERITE C EST QUE TOI, TOI HAROLD EDWARD MILWARD STYLES TU N'EST QU'UN LÂCHE, UN CONNARD, UN ABRUTIS, ENFIN TOUT CE QUE TU VEUX ET TU SAIS POURQUOI? PARCE QUE TU NE ME CONNAIS PLUS! TU NE SAIS PAS COMMENT JE SUIS; COMMENT JE VIS! TU NE SAIS PLUS RIEN DE MOI, TA PROPRE SOEUR! PARCE QUE TU N'EST QU'UN CONNARD QUI NE PENSE QU'A SA FOUTUE GUEULE! AH... NON C EST VRAI TU FAIS AUSSI ATTENTION A TES DIRECTIONEUSES (OMG j'arrive pas à croire que j'ai écrit ça :3 ) MAIS TU SAIS QUOI? FAIS AUSSI ATTENTION A TA VRAIE FAMILLE CELLE DE SANG, CELLE QUI T'A ACCOMPAGNE DEPUIS TA NAISSANCE!
Puis sans même me préoccuper de rien d'autre, je montais en furie à l'étage.
Mais avant d'arrivé en haut, je pu clairement entendre Lane qui me reprenait avec méchanceté, comme sera toujours nos rapports d'ailleurs.
Distant et froid.
- C'EST DIRECTIONERS PAS DIRECTIONEUSES! APRES TU DIRAS A HARRY DE FAIRE ATTENTION A SA FAMILLE MAIS TOI T'EST MEME PAS FICHUE DE SAVOIR LE NOM DE LA FAN BASE DU GROUPE DE TON FRERE!
Je n'hésitais pas une seule seconde, je me tournai alors que j'étais juste en haut à la dernière marche. Je posais lourdement et bruyament mes valises puis je me tournai.
- MAIS MERDE POURQUOI EST-CE QUE JE ME PREOCCUPERAIS DE MON FRERE ALORS QUE LUI N'EN A RIEN A FOUTRE DE MOI? ET VOTRE GROUPE A GACHE MA VIE ALORS JE NE VAIS SUREMENT PAS M'Y INTERRESSER OU VOUS DIRES MERCI! ABRUTIS!
Puis je pris un immense plaisir à les voirs me regardait choqués comme jamais. Encore plus que tout à l'heure.
Puis je tournai le dos, et j'allais chercher moi-même où se trouvait ma chambre...
Laissant les garçons tous bluffaient.
To be continued...
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I hate you, but you love me, and finally I love you.
FanfictionDepuis que tout ça est arrivé, je ne peux pas m'en empêcher. Je le déteste. Je dois pourtant partir pendant un an avec lui et ses amis. Je les déteste. Eux, ils m'aiment malgré ce que je leur fait vivre. Je croyais que rien ne pourrais me faire...