Victoria tire ses cheveux avec plus de force. Il fait un très bon boulot en bas... Sa bouche est si utile. Elle ferme ses yeux en soupirant à cause des miracles qu'il performe dans sa fleur. Oh...putain. Il m'a mordu...encore... Victoria tire ses cheveux pour lui signaler qu'il peut refaire ce petit geste. Elle gémit, et tremble.
« Bois tout. » dit-elle d'un ton assez dominateur.
Et il obéit. Victoria adore cela – un homme qui exécute ses ordres, et satisfait ses moindres caprices. Il lèche, et il devient rouge dans le processus. On peut entendre les sons sexuels dans la chambre. Le boulot terminé, elle pousse doucement la tête de son esclave sur le côté, et s'étend dans son lit. Il n'a pas permission de faire un geste, sinon cela résulterait à une grave punition. Elle cherche sa culotte... Ah, la voilà. Le téléphone vibre, et elle met la culotte sur le visage de son esclave – qui ne se plaint de rien, et se contente de respirer à travers le tissue.
« Oui. »
« Nous avons besoin de vous. Au plus vite. » Une voix étrangement travaillée lui dit.
« Aie-je le choix ? » Victoria regarde son esclave avec une nouvelle idée en tête.
« Les infos vous seront transmises sur votre ordinateur. » et la ligne fut coupée.
Victoria lance le téléphone sur le lit, et s'assoie. Elle penche sa tête de côté et regarde l'homme qui a décidé de s'offrir pour la soirée.
Ça fait quoi d'être un esclave ? »
Il ne répond pas ; il sait qu'il n'a pas le droit. Génial. Elle se relève, et l'ordonne de la suivre sous la douche. A genoux devant elle, il est nu avec le visage rougi et les fesses en l'air. Un beau corps, avec surement une belle personnalité, il peut avoir n'importe quelle femme qu'il veut. Ce qui démolit l'humeur de la situation. Elle abuse, il adore, c'est tordu.
« C'est tout pour ce soir. Tu peux te détendre. » Victoria n'attend pas sa réponse, et se déshabille.
Il se relève, craque ses doigts, et s'étire. Il essaie de toucher le dos de Victoria, mais cette dernière tourne son bras et le plaque au mur.
« Tu aimes ça hein ? » elle chuchote dans son oreille, en lui pressant doucement ses fesses. Il gémit et ondule ses hanches. Elle le retourne. « Réponds-moi, William. »
« Oui... Oui. Tu sais que j'adore tout ce que tu me fais. Absolument tout. Même cette torture humiliante que tu me fais maintenant. Oui tu agis sur tous mes sens, et oui tu es maitresse de ma vie.»
« Faux. William il faut que tu arrêtes. » Victoria le lâche, et s'enroule d'une serviette.
C'est un peu ridicule...pourquoi toujours rappeler que cela doit se terminer, mais à chaque fois qu'il s'offre, elle accepte sans hésiter ?
« Dois-je te rassurer qu'on est en rien un couple ? Tu peux faire ce que tu veux, du moment où tu ne me laisse pas tomber, Victoria. » William se retourne et la regarde.
Victoria secoue sa tête. « Bon Dieu... Il te faut une femme, une petite aime, je sais plus. Ça doit arrêter.»
« Donc... Tu veux arrêter d'être ma maitresse...parce que tu crois qu'en me laissant, je vais trouver le bonheur ? Mais merde, t'es qui toi pour me dire comment me sentir ? »
Victoria est surprise de cette question. « Excuse-moi ? »
« Tu m'as bien entendu. Bien que tu sois, ou que tu étais ma maitresse, tu n'as aucune putain de droit sur mes émotions. Espèce de prétentieuse. Tu penses vraiment avoir le control, ou la maitrise de toutes les façades de la vie toi ? Est-ce que t'es folle ? » William s'approche d'elle.
Victoria essaie de le gifler, mais il retient la main et la retourne brutalement, pour la presser contre une grande érection. « Est-ce que ça te parait facile à contrôler, ça ? » demande-t-il d'un ton menaçant.
Elle aurait pu le tuer, la maintenant tout de suite... Mais elle était tout aussi excitée que lui. Bref, elle ne le tuerait jamais de toute façon parce que son corps est si bon. Quelle tension sexuelle surchargée !
« Je ne suis peut-être pas l'homme de ta vie, mais je ne suis pas non plus le dernier idiot que tu manipuleras. » William relâche Victoria, et sort de la salle de bain.
OK... Que venait-il se passer... ?
Victoria entre sous la douche, et laisse l'eau chaude réconforter ses muscles. Milles et une pensées tourbillonnent sa jolie cervelle, et elle sent qu'une migraine se manifestée. La porte de la douche s'ouvre, et William soulève une Victoria toute étourdie. Il ouvre ses jambes, et s'enfonce avec force. Elle cri, tandis qu'il grogne. Elle le retient pourtant, et en demande davantage quand elle mord ses oreilles et tire ses cheveux.
Il pousse et pousse, tout en grognant dans ses oreilles. Victoria le griffe avec force, faisant sa peau devenir rouge. Il presse ses fesses, et pousse son visage contre le carrelage pour la forcer à le regarder. Victoria peut y voir son âme qui parle assez clairement. Il enfouit son membre au plus profond d'elle, et elle soupire de satisfaction. Il joue avec son clitoris, ce qui crée des gigotements incessants, et des bouffées de chaleurs.
Il embrasse Victoria, qui le laisse entrer, et mord ses lèvres. Le deuxième baiser change tout... Il continue de la pénétrer doucement, et la regarde droit aux yeux. Il ralenti considérablement, et l'embrasse sensuellement. Leurs lèvres se mélangent parfaitement, et leurs âmes se fondent ensemble. Victoria gémit, elle tremble.
« Je t'aime. » William soupire faiblement, et embrasse sa maitresse encore une fois.
Puis William accélère le rythme sur Victoria : il dévore ses seins, et mord son cou. Il est enragé, et se déchaine sur Victoria. William jouie, et pose Victoria au sol de sa grande douche. De l'eau n'a jamais cessé de couler, et tous deux se regardent...
Du martellement... C'est ce que c'était supposer être. Tous deux devaient passer leurs frustrations de corps à corps. William voulait faire comprendre à Victoria qu'il l'a choisi comme maitresse de son corps...
Et aussi de son coeur.
***~***
Victoria se change, et l'image du dos de William quittant sa salle de bain continue de se rejouer dans sa mémoire. Elle se sent bizarre... Bordel. En s'attachant les cheveux, elle se souvient d'une mission qu'on lui a envoyée, avant sa session de martellement avec William. Et merde.
Elle ouvre son laptop spécial et regarde sa prochaine victime. Oh... intéressant, on veut maintenant l'emmener en Afrique. Trop fort ces gens-là. L'interpole a besoin de l'aide de la CIA pour arrêter un grand trafiquant d'enfants-esclaves. Elle aura un partenaire qui s'est déjà intégrer dans le clan depuis 5 ans, et qui est devenu le second du fameux Mosi Onyeka.
Victoria ouvre la photo pour voir l'Adonis Africain quelle a perçue dans la célébration qui se déroulait chez Igor. Alors, son nom est Gero Kaffir...
Gerrrrooooo..... Kaffiiiirrrrrrrr. Ça roule si bien dans ma langue.
Inconsciemment, Victoria se lèche la langue, et regarde les autres photos prises de cet homme. Si beau... avec une belle peau reflétant sa saveur : du chocolat pur. Naturellement sucrée, j'en suis certaine. Soudainement, Victoria pense à William, et l'image de ce dernier n'arrête pas de s'interférer aux fantasmes qu'elle commence à avoir de son Roi Africain.
Victoria ferme son ordinateur avec frustration. De l'air, il lui faut de l'air. Elle prend les clefs de sa moto et sort. En roulant sa bécane, elle se demande ce qu'elle doit faire pour que William ne revienne plus, mais en y repensant, son cur pince de douleur. Merde.
Elle s'arrête devant le bar appeler Le Likor, et confirme sa mission. Elle rentre pour y voir un verre, et commande du Black Label. Elle remarque un silence assez mystérieux, et regarde atour.
On peut voir un certain Gero Kaffir qui la regarde directement aux yeux, et on peut aussi ressentir la chaleur qui émane de lui.
Et merde.
{Encore une Histoire! Ce projet va me prendre du temps, parce que je veux ecrire en Anglais pour une fois, mais je suis excitee d'y avoir penser
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Mon Seul Choix
RomanceLivre # 2 de la série Benedicto - l'histoire d'Analyssa, enfant aîné de Guido, soeur d'Antonio et de Frederico. Femme d'affaires aux looks merveilleux, bénévole, sexy, et débrouillarde dans un monde ou les hommes dominent incessamment. Bien sur, ce...