Belle et Irrésistible

Chapitre 15

J'y crois pas. Mon corps entier tremble. Simon, mon meilleur ami est devant moi. Dans mes bras. A Buenos Aire. Je n'arrête pas de sourire. Il me prend ma main et la caresse, puis il sentit la bague qu'il m'avait offert.

Moi : Merci, pour cette bague magnifique et désolé mais je n'ai pas retrouvé la lettre.
Simon : C'est rien, c'est juste une lettre.
Moi : Je sais mais tu voulais à tout prix que je la lise.

Au fond, je n'aimais pas lui mentir mais la lettre était si bizarre. Je devais savoir se qu'elle voulait dire pour lui.

Moi : Il y avait marqué quoi ?

Il me regard puis baise la tête. Comme si il était gêné.

Simon : Heu... Rien d'important. Juste que tu allais me manquer.

Je sourie et le prend dans mes bras. Moi aussi, il m'avait beaucoup manqué. Je vois derrière lui deux valises, une grande et une toute petite. Je me recule.

Moi : Tu vas dormir ou ? Vivre ou ?
Simon : Ne t'inquiète pas, il y a un ami de mon oncle qui va m'héberger le temps que je trouve quelque chose.
Moi : Si tu veux, viens à la maison.
Simon : Non, ça va aller et je doit me débrouiller seul, me trouver un appartement.
Moi : Juste pour savoir, comment tu m'as trouvé ?
Simon : Bah... C'est facile, tu ne parles que du Jam&Roller !

Il commence à m'imiter.

Simon : " Simon, le Jam&Roller c'est trop bien"

J'éclate de rire et lui donne un coup amical sur l'épaule.

Moi : Bon viens ! Je t'offre un verre pour fêter ton arrivé !

Je lui prend la main et je le tire vers le bar. Je remarque que Matteo était parti. Arrivée au bar, Ramiro est toujours à sa place mais Nico et Pedro ne sont plus sur scène mais au bar entrain de servir les gens. Et la l'idée du siècle ! Simon est la ! Il peut faire partie du groupe ! Je laisse Simon s'assoir et je vais commander des verres.

Nico : Tu veux que je te serve quoi, Luna ?
Moi : Deux jus à la fraise, s'il te plait.

Il commence à préparer nos boissons.

Moi : Dis-moi tu n'as toujours pas de guitariste ?
Nico : Toujours pas depuis 10 minutes.
Moi : Bah... Mon meilleur ami est ici.
Nico : Je pensais qu'il ne vivait pas ici.
Moi : Il viens à peine d'arriver et il a sa guitare avec lui.

Il me donne les boissons.

Nico : Ok, je viens le voir après mon service, je fini dans 10 minutes, d'accord ?
Moi : D'accord.

Je prend les boissons et je rejoins Simon. Je dépose les boissons sur la table et m'assois.

Moi : Tu te souviens quand tu me disais que tu voulais intégré un groupe.
Simon : Mais je pense pas trop à sa en se moment, je pense à trouvé un travail.
Moi : Ho... Enfin, les deux serveurs Nico et Pedro font partie d'un groupe et il cherche un guitariste alors j'ai pensé à toi et je leur est parlé de toi et ils veulent te rencontrer.
Simon : Merci Luna, sa me fait plaisir. Je verrai si ça m'intéresse.

J'hoche mais tête et boit une gorgée de ma boisson. Puis Ambre arrive.

Ambre : Salut, Luna.
Moi : Salut.
Ambre : Bah, tu ne me présentes pas à ton ami.
Moi : Je te présente mon meilleur ami, Simon.
Ambre : Ha, le garçon qui t'a offert la bague.
Moi : Oui...
Ambre : Bon désolé de te déranger mais nous devons rentrer vite. Des paparazzis arrivent. Une voiture va arriver.
Moi : D'accord, je vais chercher mon affaire et je vais prévenir Nina.
Ambre : D'accord Lunita.

Ok... C'est la première fois qu'elle m'appelle ainsi. Je m'excuse au près de Simon pour le laisser seul, je prend mes affaires et va voir Nina.

Moi : Nina !

Elle se retourne en panique.

Nina : Je t'ai cherché partout.

Elle avait des boissons à la main. Mince, j'avais oublié !

Moi : Je suis terriblement désolé, Nina ! Simon, mon meilleur ami de Cancún viens d'arriver et des paparazzis qui arrive et je doit parti absolument !
Nina : D'accord, c'est pas grave. Mais pour la révisions ?
Moi : Demain après-midi chez moi, on révisera.

Je lui fait la bise, lui fait un câlin pour m'excuser et sort du Jam&Roller. Dehors, il n'y a que Ambre qui attend la voiture. Je vois qu'elle sourit, sûrement à cause des paparazzis. C'est bizarre, Matteo n'est pas avec nous. Je m'avance vers elle.

Ambre : Te voilà.
Moi : Oui, il n'est pas la Matteo ?
Ambre : Non, il a de la chance. Il est parti avant l'alerte de ma mère.
Moi : Ah, moi je trouve que sa fait longtemps qu'on ne les as pas vus.
Ambre : C'est se que tu crois. Ils sont partout avec leurs pareils. Normalement il sont deux ou trois mais ma mère m'a dit qu'ils étaient presque vingt !

Une voiture se gare et on entre à l'intérieur. A peine assise, le conducteur accéléré et des dizaines de photographes sortent des buissons et leurs cachets. Je regarde par la fenêtre étonné.

Ambre : Je te l'avais dit.