Belle et Irrésistible

Chapitre 49

Dans la voiture avec Nina, on ne disaient rien. En même temps avec tout se qu'il s'était passé... J'avais embrassé mon meilleur ami. Qui a se moment est mon petit ami. Simon reste, pour moi. En cette instant, je suis tellement heureuse. Je sais que je l'aime. Vraiment. Nina a vu la scène mais elle n'a rien dit. Arrivé chez moi, le père a Nina se retourna et me dit qu'on était arrivé. Je fit la bise a Nina et sorti de la voiture.
En rentrant a la maison ma mère et mon pere commençaient le repas.

Monica: Luna ! Te voilà.
Miguel : C'est la première fois que tu travailles aussi tard.
Moi : C'est normal on va commencer une nouvelle chorégraphie. Je devais aider Tamara comme je suis bonne dans ca.
Miguel : Je ne veux pas que cela se reproduise pendant la semaine.
Monica : En week-end, nous sommes d'accord mais pas tout les soirs. Sinon, je serais obligé d'en parler avec Tamara.
Moi : Non ! Je me suis proposer.
Miguel : Préviens nous avant de te porter volontaire.
Monica : En faite, ma chérie, cela fait longtemps que Simon n'est pas venu manger à la maison. Demain midi, je comptais faire son plat favori. Dit lui de venir.
Miguel : Se serait une bonne idée.
Moi : Je lui proposerai.

Ma mère pose mon assiette devant moi, pour que je commence a marger. Je m'assoie et commence a manger. Je ne sais pas pourquoi mais je ne me sens pas heureuse... Pourtant, Simon reste et nous sortons ensemble. Le moment ou je l'ai embrasser était tellement merveilleux mais la rien. Peut-Être qu'il me manque. Manquer ? Je l'ai vu il y a moins d'une heure.

Monica : Luna ? Ça va ? Parait sur la lune.
Moi : Je pensais à se que je ferai demain.
Monica : Tu sort ?
Moi : Oui, je vais rejoindre Simon au parc et nous irons a la répétition.
Monica : Ne te fatigue pas trop ma chérie. Il te reste l'école.
Moi : Je sais maman, fait moi confiance.

Elle me pose un baisser sur le front.

Monica : Bon, je vais me coucher. Alors quand tu auras fini, range ton assiette dans le lave vaisselle.
Moi : Oui, maman bonne nuit.

Je me mis à manger seul. À repenser à ce moment avec Simon. Après avoir manger et ranger je monta dans la chambre. J'entendu mon téléphone vibrer, sûrement un message. Alors je pris et regarda. Un message de Matteo... Je l'avais complètement oublié lui. Enfin je n'ai pas pensé à lui une seul fois depuis que j'était sorti de sa voiture pour voir Simon. Je déverrouille le téléphone et commença à lire. " Salut Luna, c'est Matteo. Je voulais avoir si tout s'était bien passé, je sais que Simon est ton meilleur amis et que c'est important qu'il reste pour toi. Bonne nuit." Son message était tellement sérieuse que jamais je n'aurais pensé que une jour Matteo sera gentil avec Simon. Je l'aime bien. Je l'aime vraiment bien. Je prend mon pyjama, l'enfile et part dormir.
Le matin à mon réveil, je remarqua un autre message. Encore de Matteo. " Je t'offre le petit déjeuner sur la grande avenue, je viens te chercher à 9h et on iras au Jam&Roller". Je tourne ma tête vers  mon réveil pour voir l'heure. Il était 8h27. Je me lève très rapidement. Je court pour prendre une douche. 5 minutes après avoir terminer, je me mis à courir pour choisir mes vêtements. Je ne sais pas quoi choisir...

Moi : Mais qu'est-ce que je vais mettre ?

Je panique. Je prend prend un t-shirt blanc avec des cercles jaune, un short noir pour mettre sous ma jupe violette foncé, je prend un paire de collants et ma paire de bottines marron. Je descends vers la porte d'entrée sans faire de bruit pour pas que ma mère sache que je ne prend pas le petit déjeuner avec eux.

Monica : Luna ?
Moi : Maman ?
Monica : Ou est-ce que tu vas ? Comme ça ?
Moi : Je vais au Jam&Roller...
Monica : Viens manger avant.
Moi : Je peux pas, j'ai promis à Nina de manger à la Boulangerie avec elle. Il me semblait te l'avoir dit.
Monica : Non, ma chérie.
Moi : Je suis désolée, j'ai tellement la tête dans la lune.
Monica : Vas-y mais la prochaine fois oublie pas de me le dire.
Moi : Promis.

J'ouvre la porte et la referme directement derrière moi. Je prend mon téléphone et regarde l'heure, il est 8h55. Je descend les marche de l'entrée pour sortir de la propriété. En passant le portail, je tombe à nez sur Matteo.

Matteo : Luna.
Moi : Ho te voila. Comment tu vas le prétentieux ?
Matteo : Comme d'habitude mais toi ?
Moi : Bien, Simon reste. - Nous commençons à marcher vers la grande avenue.-
Matteo : C'est super. Comment tu as fait pour le convaincre.
Moi : Heu... J'ai parlé.
Matteo : Oui mais tu lui a dit quoi ?

Devais-je lui dire la vérité, sur le fait que je l'avais embrasser et lui dire que je lui avais avouer dès sentiments sur lesquels, encore aujourd'hui, je ne suis pas sûr à 100% ? Lui dire que je sort avec Simon. Alors que ce matin quand j'ai eu son message j'étais tellement heureuse de sortir manger avec lui que j'ai même menti à ma mère.

Moi : Je lui est parler d'amitié et tout ce qui va avec...
Matteo : Nous y voila.

Je n'avais pas remarqué qu'on y était déjà. Matteo m'ouvre  la porte et on entra dans le "restaurant". On s'installa à une table, il y avait déjà beaucoup de chose. Des croissants, des pains aux chocolats, des tartines, des confitures et plein d'autres trucs. Le serveur arrive, Matteo demanda un café au lait et moi un the à la menthe.

Matteo : Luna, je te trouve étrange.
Moi : Matteo pourquoi tu m'as invité ?
Matteo : Vraiment je sais pas. J'aime passer du temps avec la cascadeuse professionnelle.
Moi : Je pense que je devrais prendre sa comme un compliment ? Le prétentieux ?
Matteo : C'est un compliment à ma manière. Mais je comprend pas pourquoi pendant un moment tu as été si distante avec moi ?
Moi : J'étais perdu c'est tout.
Matteo : Pas moi.

Matteo se lève et s'approche de moi.

Matteo : Pas moi.

Il se penche vers moi et pose ses lèvre sur les miennes. Je sens comme une décharge électrique. Et comme d'habitude je m'arrive pas me détacher de lui. Je passe mes mains derrière son cou et dans ses magnifiques cheveux. Mais l'image de Simon arrive et je le repose.

Moi : Je peux pas Matteo, je pense que je sort avec Simon.
Matteo : Tu penses ?

Matteo me regarde bizarrement, jusqu'à se qu'on entendent tout les deux le bruit de plusieurs pareille photos.