La passion avant l'amour.. Avant toi.

XVIII

Melanie.

Dieu sois loué, je sors dans peu de temps. L'opération a eu lieu ce matin, mais ça va j'ai pas très mal, je peux pas conduire, j'ai une simple attelle. C'est Antoine qui devait venir me récupérer, mais il peut pas donc c'est Maud qui est venu.
J'étais contente de rentrée, jusqu'à que je vois l'occupation de Antoine, le sourire de sa pute, et de désarrois de Théo. Antoine était sur le canapé avec Elena, son ex, la gérante de mon magasin géniale non ?
Apparement personne ne s'attendait à ce que j'arrive aussitôt vu leur tête, j'ignore les deux ex et me dirige vers Théo.

«-Salut mon petit Theo, j'espère que ta pas fais le con pendant mon absence.

-J'ai eu peur que tu es mal, mais non tu râle toujours t'es en bonne santé. Je me suis beaucoup inquiété pour toi, Maud et Antoine aussi.

-Antoine ? La blague, je ressent son inquiétude d'ici. Vu qu'on ai mardi, je te laisse au repos jusqu'à lundi prochain, pas de travail pour nous profite un peu.

-C'est cool, merci, je vais pouvoir aller voir le match de mon frère, tu seras là ?

La question semble intéresser tous le monde, y compris Antoine, qui maintenant qu'il a entendu notre conversation, ne calcule plus Elena. Je vois ces yeux remplis de regret.

-On verra, pour le moment j'ai quelque chose à faire c'est quand ?

-Moi je veux bien venir, Théo. Réplique Elena. Maud la dévisage, Théo pouffe de rire er Antoine sent que pour lui mes problèmes arrive. Je regarde donc, l'ex de mon copain, avant de lui répondre aimablement

-Tu seras à travailler. Tu feras la fermeture du magasin jusqu'à mon retour. C'est à dire, 14h-22h. »

Maud rigole, mais Elena plus tellement, mais elle continuer à draguer Antoine sous mon nez. Agacer par la situation, je part dans notre chambre pour prendre quelques affaires que j'installe dans une petite valise. Je prend aussi mon matériel pour travaillée, avant de me rendre dans le salon. Quelques jours  seul ne me feront aucun mal. Quant Théo voit ma valise, il bouscule son frère afin de lui montrer.

«-Tu vas où ? Me questionne mon copain.

-Je pars quelques jours.

-Où?

-En Espagne. Quelque part.

-Pourquoi?

-Parce que je vais vous laisser continuer votre petit jeu avec mademoiselle. Je ne veux pas déranger. »

Je sais conduire m'est interdis, je m'assois donc dans le jardin cherchant une solution, le claquement  de porte me fais comprendre que Antoine a virer Elena d'ici. Finalement, je traverse la route, pour sonné chez Hugo. Noam est chez sa mamie à Nice, donc Hugo est seul, chez lui apparemment. Quant il vient m'ouvrir, une femme est derrière lui, elle est très jolie, brune au yeux marrons tout à fais son style.

«-Tu as besoin de quelques chose Melanie?

Il est tout timide, il c'est pas où se mettre, c'est trop mignon, je salut la fille de derrière qui porte un maillot de mon joli capitaine.

-Non, je venais te dire bonjour, mais je vais pas dérangé plus. Tient moi au courent, de la date du retour de Noam.

-Hum. D'accord, Ben bisous alors.

-Bisous Hugo.»

Me revoilà, au même endroit, devant une maison ma valise à la main. Je fini donc par appeler un taxi.

ANTOINE.

Deux jours, deux jours qu'elle ai parti je ne sais où. Théo et Maud on des nouvelles mais ils refusent de me dire où elle est. Hugo est comme moi sans nouvelles, il m'a raconté qu'il l'avait mis doucement à la porte. J'ai aussi appeler Rose, qui m'a clairement expliqué sa manière de voir la chose elle n'était pas contente du tout, Mickaël m'a dis qu'elle n'était pas à Paris non plus. Mon petit frère rentre dans le salon, en voyant mon d'espoir il souffle d'agacement.

«Elle est toujours à Madrid, à l'hôtel près du stade chambre n•7

Je me tourne vers Théo il vient vraiment de me dire où ma copine été.

-Merci bro je pensais devenir fou. »

J'attrape mon téléphone et mes clefs de voiture avant de quitter la demeure. Un fou sur la route, elle est donc cette hôtel qui donne sur le stade où je m'entraîne. Arriver devant sa chambre, je frappe plusieurs fois, je tombe sur une Melanie qui porte un haut d'homme que je ne reconnais pas, les yeux rouges. Elle n'est pas seule dans cette chambre, je rentre comme un fou furieux, pendant que je cherche l'homme qui était avec ma copine elle se pose sur son lit.

«-Tu m'explique ce que tu cherche Antoine

-Le mec à qui appartient ton haut. Un joueur de foot de l'Altético en plus  je m'attend à voir plus exactement. Il est où?

Elle me regarde d'un air d'espérer, elle hoche la tête et tout.

-Tu vas l'attendre longtemps je pense. Tu peux t'arrêter et regarder à qui appartient ce maillot pour aller lui casser la gueule après si tu veux.»

Je l'ai jamais vu autant sur d'elle, elle veut vraiment, que je m'énerve sur ce pauvre mec. Elle se met donc dos à moi, pour que je puisse voir à qui je vais devoir casser le nez. Quand je vois "7" "GRIEZMANN" je me sens vraiment con, C'est un de mes maillots.

«-Ben je pensais que tu devais aller casser la gueule à l'abruti  qui portent ce maillot

-Un vrai abruti ce mec ta raison. Tu vient au match samedi ?

-Évidemment que je vient au match

-Tu compte rentré à la maison ?

J'ai été con de pensée qu'elle avait quelqu'un d'autre. J'ai vraiment de la chance de l'avoir, elle n'est pas comme les autres, elle ne porte pas des habits à 100€, elle ne vas pas au coiffeur toute les semaines, elle a pas besoin de 100 tonnes de maquillage.. elle est naturellement parfaite, pendant que je la contemple, elle se rapproche de manière à être prêt de moi, toujours assise sur son lit maintenant plus au bout du lit, elle sourit. Je me joins à elle, assis côte à côte.

«Toi, moi une chambre d'hôtel c'est du déjà vu. M'informe t'elle, en partant en fou rire.

-Même hôtel en plus non? C'était quand tu étais venu me voir jouer, j'étais passé te voir après.

-Oui, tu avais super bien jouer ce soir la, en plus. J'étais fière de toi, par contre ta copine n'était pas fiére que je sois la avec un maillot à toi

-Tu te rappelles ce qu'on as fais ce soir là quand je suis venu te voir ?

-Non, plus vraiment, tu peux me le rappeler.

-J'ai fais sa..

Je me suis jeter comme un sauvage a ces lèvres, quand elle à grimpée sur mes genoux, j'en ai profiter pour lui enlever de maillot qu'elle porte si bien avant de la mener au 7 eme ciel, de lui montrer à quel point je l'aime.. tout comme la première fois qu'elle est venue dans cette hôtel