Mon ventre commence à gargouiller, et l'entraînement n'est pas fini. Rose me regarde quand elle entend mon ventre, elle regarde en souriant.
«Mademoiselle n'a pas assez déjeuner ce matin, trop occuper à ce câliner avec son chéri» rigole t'elle.
Je sais que Antoine se promène avec des B-ready et des caprice-sun, je regarde Rose avec un grand sourire avant de descendre à la recherche de son sac de sport.
«Mel tu m'explique ce que tu fais ?» ma meilleure amie me regarde avec un air interrogateur, je la regarde avec un air choquer, je lui réplique
«Au lieu de me demander ce que je fais, aide moi à trouver le sac d'Antoine. »
Avec Rose on a fini par le trouver, en ouvrant ce sac j'ai cru mourir, l'odeur qui dégage. C'est horrible, faut que je nettoie ce truc en rentrant, quelqu'un vas finir par mourir si jamais il l'ouvre ce sac. Après quelques recherches avec le nez bouché, je trouve enfin les biscuits, j'en ai pris le paquet avec de quoi boire, puis je m'allonge sur la pelouse au côté de Rose. Alors que je commence à manger tranquillement je me reçoit un ballon dessus. Rose est morte de rire, je me relève pour voir l'auteur de cet acte. Hugo est mort de rire il est plié en deux et bien sûr Antoine parterre entrain de rire de plus belle
«On touche pas à sa bouffe, copine ou pas » c'était Olivier, un des 3 attaquants. Il compatissais à ma douleur
«Repose cette boîte Mel, c'est la mienne.» c'était l'autre mongolien parterre qui me sert de petit ami.
«Frère à cause de toi je vais avoir une bosse, tu ma niquer un short blanc. Alors je compte bien manger toute la boîte. » lui répondis-je avec un beau sourire.
Antoine ce révèle, et ce dirige vers moi.. Oh putain je commence à partir en courant vers les cages pour le cacher derrière Hugo mais il m'attrape avant je suis tombé tête première au sol. Au loin j'entends ma meilleure amie hurler«Putain Mel t'es vraiment conne ! Il court plus vite que toi, il s'entraîne tout les jours. C'était obligé que il allait te niquer. Mais tu va bien ?»
Merci Rose de me soutenir. Ben oui je vais bien, la tête dans le gazon, les genoux tout rouges et une masse toute deguelasse sur moi. Mon poignée droit me faisait affreusement mal.
«Lève toi Antoine, je me suis fait mal» lui dis-je en grimaçant de douleur.
Au début il m'a pas pris au sérieux puis il a vu ma tête et mon poignée, il prit une mine affreuse.«Putain bébé, je suis désolé. On va aller voir le médecin maintenant »
Il commençait à s'agiter par tout, pendant que je regagne le bord du terrain, il revient de son expédition avant de prendre son sac, il salut les mecs, il m'attrape ma main valide et il m'attire vers le fourgon qui nous attends devant le stade.
«Au cabinet du docteur Holt , c'est assez urgent » il avait presque aboyé sur le chauffeur.
«Calme toi mon cœur .. Il n'a rien fait ce pauvre chauffeur.» je posai ma main sur la sienne il pose sa tête dans mon cou. La voiture se stoppe rapidement devant le cabinet du médecin, Antoine m'entraîne rapidement dans le lotissement parisien très chic, un homme de la cinquantaine nous accueil.
«Antoine,Didier m'a expliqué, venez on va se mettre dans mon cabinet»
On rentre dans une pièce très luxueuse, le médecin m'installe sur sa table. Il examine mon poignée avant d'en tirer la conclusion
«On va devoir vous mettre un plâtre mademoiselle c'est une belle cassure dû poignée. Venez vous allons à la clinique. »
2h plus tard, on était sorti, avec un plâtre. Antoine était triste.. On était dans la voiture on rentré à l'hôtel
«Dit Antoine tu voudrai bien marquer quelque chose sur mon plâtre ?» je sorti un marqueur en lui faisait la moue. Il pris mon marqueur en souriant
«Bien sûr mon cœur. » il avait l'air amusé, il posa mon marqueur sur la banquette avant de poser ces lèvre sur les mienne. Que cela faisait du bien.
«Fait voir ce plâtre bébé, »il attrapa mon poignée, en faisant attention.
Il venait de finir. Il avait marqué:
«Je t'aime mon amour. A ❤️»
On était entrain de ce câliner aucune envie de rentrer à l'hôtel mais pourtant on venait d'arriver. Pour la première fois depuis longtemps j'avais pas envie de parler ou de voir les autres Je voulais juste me mettre au lit., chose que je réalisa, j'avais ignorée Rose, Hugo enfin tout le monde et j'étais montée me mettre sur le balcon. La porte de la chambre venait de claquer. Antoine«Je leur est dit que tu étais fatiguée. Mais me fait pas croire sa à moi ? Mel qu'est qui ce passe ?» il avait l'air inquiet.
La conversation avec rose ce matin me tourmenter. Devais-je lui en parler?
«Quand tu va rentré en Espagne ? On va devenir quoi ? » je soupirai, il s'approchait de moi avant de passer un de ces bras autour de moi. Avant de me répondre
«Je continuerai à jouer à Madrid, jusqu'à la fin de mon contrat, Paris-Madrid ce n'est pas si loin je pourrais toujours venir te voir et vice-versa.. Mais tu restera ma copine. C'est la seule solution que je peux te proposer pour le moment »
«T'aime jouer en Espagne pas vrai ? T'aime ce pays et cette équipe ?»
«Oui c'est devenu ma famille mais maintenant tu es aussi dans ma vie. C'est ma passion mais t'es ma copine..»
«Si t'es prêt à sacrifier sa pour moi ? Je peux aussi venir te rejoindre à Madrid en Septembre, après tout plus rien ne me retient à Paris, Rose part au Mexique.. Alors je peux passer l'été à Paris afin de voir mes parents et te rejoindre en septembre.»
VOUS LISEZ
La passion avant l'amour.. Avant toi.
FanficJe m'appelle Mélanie, mais on m'appelle Mel souvent. Je vis à Paris depuis petite, je vient d'avoir 18 ans, je vis avec ma meilleure amie Rose. Mes parents? Partis à l'autre bout du monde pour le travail, mon père est sélectionneur pour une équipe a...