Vampire's Love Game

Partagée en deux

Bonne lecture !!!! J'ai enfin publié un chapitre au bout de... 1 mois et demi ?? Bref, désolé pour l'attente :')

- «Qu'est ce que je fous...?» murmurais je, l'esprit troublé par ces sentiments inconnus.

Je secouais la tête, puis inspirais fort pour enlever cette sensation de gorge noué. Je n'aurai jamais cru m'attacher a Ayame un jour... En le côtoyant, j'avais pu constater une certaine noblesse d'esprit envers les autres. Une certaine tolérance et gentillesse envers les criminels de délits mineurs.
Lorsqu'il avait vu que je possédais des fleurs de Relia, il ne m'avait pas tué. Il m'avait offert une seconde chance. Avec du recul, il n'était pas si bête que ça : juste tolérant et gentil.

« Mais c'est un obstacle » chuchota une voix intérieure, celle qui m'avait conduite a survivre et a rester dans l'ombre.

« Au fond... Ce n'est qu'un malheureux pantin de la famille royale »

Baissant les yeux vers les divers papiers ou le sceau de la royauté était apposé, ma haine devint plus forte mais quelque chose semblait refréner ce désir de vengeance.

« Lui aussi. Il est en parti responsable du sort de mon père... De ma soeur... De ma mère...»

La chemise que je serrais entre mes mains était sur le point de se déchirer. Je vis une larme tomber d'elle même sur le tissu immaculé tandis que je me repliais sur moi même. J'essayais mes larmes de colère et de tristesse.

- Juste pour quelques heures... Je ne serais pas ton ennemie.

Je finis par me glisser dans les draps ou Ayame avait du dormir quelques jours auparavant. Son odeur y était encore présente, peut-être plus que sur les vêtements. Elle m'enveloppait et me rassurais, dans ce sentiment de sureté mes yeux s'alourdirent peu a peu.
J'étais en état de semi conscience, moitié réveillé afin de ne pas m'endormir complètement et moitié endormie pour mieux profiter du confort des draps.

Je commençais a m'endormir complètement lorsque j'entendis les serviteurs s'agiter dehors.

- Ravi de vous revoir, Ayame. fit une voix, probablement une de celles des domestiques.

En entendant ce prénom, j'ouvris brusquement les yeux et sortis précipitamment du lit.

- Pourquoi faut il toujours qu'il vienne au mauvais moment !! Ralais je a moitié sonnée.

Avant même que je puisse me diriger vers la sortie, Ayame était entré dans la chambre. Ses longs cheveux noirs était couvert de neige, les épaules tendues et fatiguées, ses yeux paraissaient aussi lassés du travail. Il remarqua enfin ma présence après avoir fermé la porte. Je restais la, un peu paniqué de le voir soudainement, avec le coeur serré.

- Tu ne te serais pas trompé de chambre, par hasard ? Lança t-il sombrement.

- Je cherchais juste... Du papier pour écrire...

Il vint dans ma direction mais ne sembla ne pas me regarder dans les yeux et passa a côté de moi comme du j'étais un fantôme.

- Cherche autre part alors. Je n'ai rien ici qui puisse t'intéresser. Dit il d'une voix ennuyé.

Plusieurs poignards vinrent s'enfoncer dans ma poitrine bien qu'ils soient invisibles.

«Quelle idiote je suis...»

- Tch. Non en effet. Y a rien qui puisse m'intéresser, repliquais je d'un ton cinglant.

Je lui jettais sa chemise à son dos tourné.

- Ravi que tu sois revenu ! Crachais je avant de me tourner dos a lui et de partir vers la porte.

- Azuya, je ne te conseillerais pas de me parler sur ce ton. Surtout pas maintenant.

Il me retourna avec force par le poignet. Ses mains étaient glaciales, sans doit a cause du froid a l'extérieur, je n'osais pas le regarder. Trop honteuse de ce que j'avais ressentie pour lui et trop en colère a cause de sa réaction.

- Regarde moi.

Je secouais la tête, refusant qu'il voit mes yeux colérique et embarrassé.

- Je te donne trois secondes pour me regarder dans les yeux.

Je gardais silence.

- 3.
-...
-2.
-...
-...1

Je levais la tête, ses yeux écarlates me fixaient avec sévérité. Je rebaissais le tête, ne pouvant soutenir son regard.

- Qu'est-ce que tu es venue faire ici ? Dans MA chambre. Étais tu en train de fouiller ?

- Je ne fouillais pas. Dis je.

Il resserra douloureusement sa poigne et me tira vers lui.

- Je t'ai dit de me regarder. Chuchota t-il avec froideur, il prit mon menton de ses doigts pour me forcer a le regarder dans les yeux. Un sourire narquois s'étira sur ses lèvres.

- Tu as pleurée ?

Piquée a vif, je me degageais brusquement de sa poigne.
- Lâche moi ! Hurlais je.
- Non, je ne te laisserais pas partir. Dit il avec un sourire sadique.

Il me prit par ma taille et me lança sur le lit pour se poser au dessus de moi. Il s'approcha alors de mon visage tandis que je restais pétrifiée, il lécha les quelques larmes qui avaient coulés.

- Il va falloir que tu sois plus obéissante.

Voilà j'espère qu'il vous a plus, comme ça fait longtemps, j'ai un peu fait n'importe quoi :')