Vampire's Love Game

M.R.A

Je sors ce premier chapitre promis à l'avance parce que je ne sais pas si j'arriverai a écrire le 3ème (excusez votre écrivaine feignante qui adore dormir ×∆×)
J'espère tout de même qu'il vous plaira, j'ai essayé de faire de mon mieux. Bye bye le trop plein d'amour, hello l'action ♥
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«M.R.A»

- C'est le seul indice que je peux te donner. Maintenant c'est à toi de chercher de quoi il s'agit...

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- C'est tout ce qu'il t'a dit ? M.R.A ? murmura Miyaze

- Oui... Je lui ai montré la boîte avec la clé et la lettre mais il a rien voulu me dire d'autre...

Le tintement sonore de la pendule résonna entre les murs du Café Bleu. Celui-ci était désert, fermé exceptionnellement grâce à Miyaze, la propriétaire. Il reflétait exactement sa personnalité : des fauteuils de velours confortables, des peintures attrayantes remontant à plusieurs siècles auparavant, des tables aux gravures mystiques, un ambiance jazzy mais tranquille... On le reconnaissait aussi son goût pour les croyances et différentes ethnies humaines aux bibelots et figurines diverses.
Le Café Bleu était aussi connu pour son service de voyance qui attirait un grand nombre de la noblesse féminine, offrant a Miyaze des informations censées être dissimulées.

- C'est curieux, si vous avez un objectif commun pourquoi cherche t-il a t'en dire le moins possible ?

Je secouais la tête, ne connaissant pas moi même la réponse, ma camarade but une gorgée de sa tasse, pensive.

- C'est peut-être une sorte de code spécial. Le nom d'un dossier, ou d'un objet ? Dis je, en me frottant les tempes pour calmer le mal de tête causé par cette énigme.
Comme Luka avait dit ce matin, la piste n'avançait pas... Frustrée par ce manque d'action, je serrais instinctivement les poings.

- C'est une voie sans issue, Azuya. Il a dit ça pour t'empêcher de continuer ton enquête.

Elle sortie d'un pli de sa robe des cartes, celles qui lui permettait de faire la voyance et commença à mélanger les cartes par réflexe.
Je levais la tête, ne comprenant pas ce qu'elle faisait, Miyaze ne m'avait jamais fait tirer des cartes de voyance.

- J'ai enquêté sur Ayame, finit elle par lâcher en me fixant droit dans les yeux, d'un regard réprobateur. Comme celui d'un patron qui fait remarquer à son employé son inadvertance dans son travail.